Clment Magloire
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1358. RUE AMEH1CAINE 1358
TELEPHONE N#2242
2G me"ANNEE'N# 7(>98
l> il rsl |ios ainiiT lavri esets
e 'amit-rqurflalleiwe etaijral>le
il lasl mimer ftpre eldorc, allli-
aftllC cl M>f,-r ;i| |||| rl ;,,,.
Ici pites ,i |M Messin .
JJO.M a M
wOhT-AU PRINCE (HATI)
ACTUALIT
-VENDREDI 17 JUIN 1*2.7
- o.
I
ce par supprimer ou suspendre} j
coinmeon 1016,1a Constitution. ;
h4, l'arrt d'ajournement est '
miel. if
On en est-CMl avec la question
constitutionnelle et avec le con-
flit qu'elle a cr entre 1rs Pou-
Toirs ? Nul ne saurait le dire, lui-mme consli'tutio-
et cela sullil pour donne une '
ide du rgime sorti des agita- |
lions populaires et nationalistes; Il ,,'v a donc aucune issue
,lfnl,*i'- ... ,. rvolutionnaire possible a fimJ
Pourtant, c'tait bien pour passe actuelle : la idulion .lu
gV >ir la pratique d une politique : problme, de la crise doit tre
UVerie SL" rv?.uuon POf- I Irouvedans le cadre'de l'ordre
fiquedeliWO a eu heu, et ce-ides choses actuel ef constitua
prtendait-on. pour | lionnellemenl.el ce n'est pas une
des moindres beau ls de la si-
i- il
,ante, aussi clatante que celle
on en est rduit aux conjec-[ avec ,,! r v,,, qUt di
tuation qu'elle puisse permet-
lie aux occupants actuels du
Pouvoir de s'y terniser volup-
ueusemenl sous la protection
e la Constitution de 1911 et
que quelques
travers les
permettre au peuple d'adminis-
trer ou de contrler l'adminis-
tration de ses affaires. Or, nous
en sommes loin puisque voici
que, sur une question aussi bru-
E'
fun-s.inenie dans la presse, en-I temps de Horno el du Conseil
tre qu'un vendredi de la pies- d'Etat. Vovez vous-mmes '
! Alors que, jusleme il, un des
reproches le plus souvent adres-
s cel ordre de choses tait
"lie trop gran |e mobilit du
Conseil d'Etat o.'i, peu d'ex-
ceptions prs, le Prsident de
la Rpublique faisait se succ-
der ses amis trop souvent, voil
que, de nos jours, aprs que M.
Vincent a choisi lui-innie les
siens parmi les plus prouvs
sans doute ils parlent de gar-
der le pouvoir jusqu'en i936 !
Pieu qu' ce point de vue, de-
quel cot est le npotisme, de
quel ct est l'oligarchie ?
Le rapport del Commission
"orbes disait quelque part (pie,
de quelque cot (pic les choses
retournent en Hati, il est diffi-
cile, d'empcher (pie le gouver-
nement n'y devienne une oli-
garchie, parce que.lorcnient.la
petite proportion de gens clai-
rs et aptes ou gouvernement
par rapport l'ensemble de la
inasse.doit dterminer une con-
cenl ration du gouvernement
Irappc par un coup d'Klal. l'n J dans les mmes mains. La pro-
ocret spcial le cra rvolu- phtie est-elle en voie de se
lionnairement. Un Conseil d'E- ( raliser ?
lai n'est plus possible l'heure j Quoiqu'il en soil, l'orienla-
adiielle paice que nous vivons lion de la crise ne nous permet
sous un rgime constitutionnel, i pas de conclure autrement ; et
celui
ment,
le coexistence, la Constitution,
qui porte le nom de celte an-
ne-l, a liquid cette institu-
tion dliniliveinenl.Pour qu'elle
pi'il revivre, il faudrait les cil*-
ton stances rvolutionnaires
nouvelles qui eussent commen-
WEST INDIKS G UMGE
Sous h direction de
M.Arnold Y] UJN
Tlphone :
G
Rs:din y
24
' -
'ewux.
se soil, il n y a
jours, intervenu
vnements.
Les conjectures,grce l'obs-
curit de la silualion.sonl alles,
dans une certains partie de la
presse,)'usqu'a envisager un Con-
seil d'Etal possible.comme si au-
tomatiquement, le conflit pour-
rail y verser, el comme si l'ins-
titution lgislative qui a d fonc-
tionner dans le pays de 1918 a
1930 pouvait tre enlre enue l,
l'tal de soupape, pour d
congestionner, le cas chant,
les organes du nationalisme en
fonction,- alors, au contraire,
i|iie le rgime soi-disant popu-
laire qui mne nos affaires de-
puis deux ans est prcisment
sens nous avoir dbarrasss du
rgime trop touffant du Con-
seil d'Etat. Serait-ce donc que
nous tournons dans un cercle
?icieux ?
Le Conseil d'Etat tait possi-
ble, en 1916, parce que la Cons-
titution de 1N89 venait d'tre
\.S
DEMAL
Porf-au-Princ
Il y a
vingt q ans
Lk.Matix il Juin twjt .;
! COBrTIlsUTIF
On syappelte^que les deux]
l'hambru s' aient runies en*
sembls A
cute'r le # ojet
Uessai e .,,
gnani U ,/ ,/, /,
situatio
I en
p mu du Coi
H npi -
RpuWi
... a vu trois journalistes des-
uaidi il.ois l'u-
ux pois-
meulient les prix
"! n qu'ils se fireat
les mar-
\ot des
11 m s el pailant
i:.titre iant
i fl obtenir un
bours, 7 , r
///.si1 h I *. i
e : ,, reintr
'oum el i; uche
SOIR
LA SI TION
:
CesileJout Port-au-Prince t ; n ,' '-'M nion c |
demain soir o SE4 SIDE-INW.fo aura i omPr
soire mo.itm.-irloise parles art ,., il p P
et Ralph Calaly. ? ill"
Des cli.inson!elles, des mon depuis deux
tout aussi .ni- estants, vous 1er,-il vi
Grande Bl "^ SEA"
i^p.l'^^V Sera au6raDt* ^mplct.
eastol
'|u" ure
11 m e ohli-
s coni-
s p ns, des
i pubref de li
' I Abeille.
'ie tristesse de
I as tant
le d i |( d-
u '[u'au-
! cou '( si prise
('mines
i. m: sera
de 1918 et que, prcis- si tout ce qu'on dit esl vrai, la
solution attendue ne peut tre
attendue que dans le sens de
frustrer le peuple que tous
onl peui d'appeler comme arbi-
tre et ne para il tre qu'une
ralisation de l'adage : passe-
moi la casse, je le passerai le
sn.
lions suffisent peine payer
nos importations. Le jeu con-
nexe des lments en pr-
sence et la balance dfavo-
rable de noire commerce ex
lrieur, qui ea rsulterait,
''OMS portent penser que le
dgrvement 1rs -.ruines (k-
coton serait une mesure anli-
(coiiomiquc. Les indus ries
nationales qui voluent
I ombre dos tarife existants ;m
moment ou ces industries onl
commenc lonctionner, se-
raient mises en tal d'inf-
mm .. r\v.v..-
producteur sur! .:,i
lini que l'articl ; est si
emenl dprci C rail
reluire noire pr i luil unC
vij iiulononie. l'eu nn| orle-
ll>ielc prix do Ininan
n peu plus u,
rtfwe l(* |
pi ('
sui
'os Usines serai
de payer pour la m.i
1 lucleur lui plus fort, pnr
le des prix p|us i \ une
obi
re
Kees
; n
i cilles
qu'elles,
vendre
eins pro-
Les graines de coton
A-T-OH INTERET A LES DEGREVER A L'EXFO.ANON?
(Voir le N* d'hier;
Voici les chiftres que nous actuels sur la graine de colon,
annoncions dans notre ar- il encaisse les droits desfca-
ticle d'hier: listlqne, sur 9,'} o/o de la
. ., ,. i ., production exporte, sous
io.-h,.degreyanlalasoiV!]()rme (|c ^
e nos raines de colonel a 17.r)0!, dollars, .lus les au
supposer que loute noire r- ,rcs (|n)i,s ettaisqne paienl
les usines : 4().()0().oo dollars
lin plus, l'econoinie interne
bnficierai! de la valeur des
sous-produits exports, soil
1!5.").00U dollars, auxquels il
iniere.
Le problme esl assez in-
ueux organises consquences seraienl nuisi
oies pour noire c nomie.
<*'A mesure vraimenl logique
el conslruclive.s'il en esl une
a prendre isolment, ce se-
rait le dgrvement dessous-
l"'(,('"'is ( rertilisanls ou lour-
teaux) leur sortit
Sur le plan d'une rforme
de nos lanlsdouaniers, il va
une lude magnifique faire,
en vue de stimuler la pro-
[juclion, d'activer et de loni-
lier noire
colle soil exporte franche de
droit, l'Etat perdrait cl la cir-
culation interne serait cen-
se bnficier de la valeur de
lient millions de tonnes
deux dollars et demi, (les
lioils non perus); soit vingl
deux mille cinq cents dol-
Uis,---------22.500.00
2o. En raison de la haus-
8edes prix de la matire pre-
mire, les usines cessant de
lonctionner, l'conomie in
terne serait saigne du mon
*ont des capitaux qu'il nous
laudrail sortir pour noire im-
portation de manlgiie; soit
environ 4.000.000 de Il>s. 15
intimes or, soil six millions
d dollars.
, "Jo. Il est vrai que notre
wonomic interne encaisserait
valeur des graines expor-
te0
n
faut ajouter la valeur de la
mari lgue qu'on serait dis- .
pens d'importer, soit ( ().
000 do"
viendraient
meilleur man li
duils siinihiires.
Mon opinion Cst que,dans
lelal actuel de notre Trso-
rerie, il ne l'anl. aucune i c-
torme de nos tarifs par com-
partimenta isols el lanches.
I ne rlorrae doit se faire sur
un plan d'ensemble.
t Si nn changement devail
selieeluer en ce moment, il
laudrail respecter les condi-
lions de vie de nos industries
nalionules qui fonctionnent
et ne peuvent fonctionner que
sous l'gide de certaine pro-
tection douanire. A toul
prendre, il vaudrait mieux
'exportation de h
Coton ou crer la
droits plus levs
prohibitifs, En ce
indrait, en mme
('toi'ix de ven
prohiber
graine de
sortie des
et mme
cas, il |
temps,
le de ce produit sut nos mar-
chs intrieurs aussi bien qtie
c'est
rgler
ceux de
la manlgue.
i:i
irs.
Donc l'conomie nationale
cl notre circulation bnficie-
raient de 735.000 dollars el
l'Etat de 57.1-00 dollars. Le d-
grvement propos s'analyse
en tin de compte en une op-
ration de dupe. Ceux-l qui
rclament cette mesure n'au-
raienl rien gagner et le pro
dnctenr encore moins. Avec-
la taxe actuelle, l'conomie
interne ne perd rien non plus.
Elle en profile au contraire.
n attire
1 .Soit9000tonnes un prix Celle mesure serait de nat
"y-n. suivant les stalisti- altrer et dtruire les sour-
de travail de ce pays.
Elle contribu 'rail inlimi
lues du C. P., soit 125.100. Il ces
^ressorlirai
une chose facile, trop facile
contrler.
^L'tablissement de p r i x
pour la manlgue el pour s;i
matire premire stabilisera I
le inarcbe dp la graine, de co
Ion et du coton, en mcltanl
le producteur l'abri des Hu<
lualions el en stimulant la
production du coton. La Sla
bilil des prix de \\ graine
de coton a une moyenne rai-
sonnable, ou mme un ma
Ninuiin en se basant sur les
prix moyens des drinw
quinze annes, favoriserai!
I augmentation de l'acri
du colon, puisque, en pieu
les prix de base des mardi
Propos
humides
La division t ;,1]r |,,s
poiiiieiena i tout seigneur, loin
nnncur ) ; |ea pd
f.nln lu twtfkiieieni, nlre 1rs .
iens en gnral. Oi ,,,!,, *
lopoi de boite et de foui, li ui
Propos et hors de propos. C'etl une
Kuene mlesllne lormes tnuliiples
,nv<' e 'i diirrenles. Chaque II,.-'
Ml bmmie conlre l'Hameii. La
'publique esl .,., vaste champ de
'"' Il ") esl que liruil darnies,
rles de mouruiils.
'"' ':' l'ion........ ,,
.....''en ijui ,
lui-mine, luule d'un Irre eunemi
endre. Dans cette lourmente ,
nousuvons oubli lu seule chose qui '
ious u.Miaii lorlemenl : l lihl \i
I
1 imbres. I)
: la
mes
'1rs po |
;' s et
les j |
i ( )
t ra.: |
i
on
lenl
e i n u
ton m ins affi m ili l
qu'a I ste la
tioo, sur i
d'un nrgan ofi ieux; l.-s
consultations entre l'x
et le LRislafil c
Elles s- lonl fo i de
fa coi liai l 'a p'us fi
la il mieu
Rien que i -nir.
trois on rji .: re mt,
annonc la n de
la la mi Ile. .
N ma bvi ns toui l'air d tre
les spectateurs d'une farce.
Farce sombre qui si iux i
dpens ,|e ce malheun u.\
pays. Parce
rc
.Nous n'avons p
nous, c'csl
publi me ne sachant
que loni, ce que veul
ceux qui prb ndenl tre
reprsenlanls. lia tii m
gneusement cach tes leur s
penses el leurs vin
Mais l'oninion \ m i ve.
\-t onab :
Qu'on en vle les I
Ces afl in |
c ire, re sont I
t d le monde, I. I i ititu
lion ;. luire, c< si ra la onsti-
tulion du pays. A ir sans
celui-ci,en paie
c'est pn si ne r contre lui!
ls.
i mort,
es bras
l'avis du pu
sment
' John H ,i i Gr-
l'iui. ie esl (re*
i vi sou-
i
min Jos*uti
ilonimi i! proies <
' l s' Ira si j h pid au
u iv< c une
. el la b'ts-
coup de
La u allieu-
'i >' rne a l'H
I
i'1 i: d'une noa-
Rebouxdoi
lai u p ^ d'loge, sur le ve-
roe el 'exqaisil du
ourt :
Ma maison n< di si mplil pas
on d'un imi a
i j'avais lait hommage d'une
incomptra-
ar. O le liduvc ton?
-i li question qu'on me pose
que instant. u dpt |m-
.. Paris.!
. lasa-
iclion gnrale qu'a ren-
uitsau rle de s, ecta '" uorainati m de Me
'i i : loi comme subs*
:,i en premire instance.
K n !, comme l'appellent
s ;s non brenx amis, oppar-
un peu au i Matin. Ce
rail donc plaider pour uos
paroisse que de rappeler
!!< s qualilij qui l'ont
au choix du Prsi-
il de la Rpublique..! Il
a i i aux rquisitoires
i pi -r.
>>'MH, CACHET DR,,o C\VUV,e
entrailles profonde* de S lem i fon M-Benoit, en face
iinclrea, lecture.
A vendre
n piano Plevi I en trs bon
eial.
r la rue des Mil mai-
la .
Service de la
Haitiana
Sret L? ,c
"uiiuaii une pciienciie duc wuhiuu -- i......... > ......... .
'" noire conomie de 497. der le capital tranger el /extrieurs pour le coton, ci
lollars. rarfier notre circulation qui 'impos pour la giaine di
L'alternative contraire plit dj de l'exode presque Ion, en se conjuguant avei
r*11 l'amne ace qui suit total de tous nos revenus vi lui du colon, donnerait
.Si l'Etat laisse les droits i simes, puisque nos expoi la- base toujours plus tavora
oie
? notre
des
et.
:i police le
1 i lufleut
ii i rie le numro 305.
S ir sa vitre, le laril de la
I marqu 0.26... mais
i on a le malheur de lui
mdie i ortfe l'arrive,
il se contente de remettre
1 n centimes, en sou-
i liant que la coui.se tait
pour lre paye
ien lard de cinquante
' s. .
... vi i rail avec plaisir la
ttte i..i tes sanctions
i )iihc II s conliavcn'ionsaux
emi i de la circulation
vhicules, le retrait pur
ople de la licence du
1 i ' i lou laits d'in-
le cor-
i donnera
l :
GOISSE
OLGA ICIIKIOWA.
1 Ai I
LbL ViVIVS ^ 17 J,/a 1
----UpNM
?-*chet Hrga.
Supp. -.- :v.ites Fivre, Grlpi im
, i i ........ i-.
Vaboratuire .iu '. i
l>l
*4jr-^
QmmuGatAUD.rUnmam.i LYON OULUN$(rra) ''"^y",^ Va'
CHRONIQUE
Au Tribu lai CrimineldeJ
Une sensa onnelle audience
Votre cuisine,
Madame
I
Le doctei X., leiuontiant
I >on ami /, \ee une mine
mauvaise loi dit : Qu'esl-ce
qui ne- vu pas encore ?
La digestion, docteur 1
Voire te m me, lui deman-
da l'homme
pas suivi mon avis de vous
iaire la cuisine avec la Man-
lgue des Usines ce Port au-
Piiuce et de Paint Marc?
-Elle trouve,docteur.millc
e pas s y con-
au '
Remde nouveau
LA
r~-?t
Parti pour la petih v le-'de d'o il sortail chaque fois plus| rajv0i, pour n
J... o j'avilis voir de i lieflls, accabl. I former
j'ai eu la bonne fortune l'arri- Interroger les tmoins I Quel '__jvj", y..
mou ami. con
linu.i le Docteur, avec ces
graisses trangres, d'une no-
civile lente, mais sre, elle
rer temps pour assis! -i g une art subtil et merveilleux mais
sensationnelle audience lu Tri- aussi comme il tourne la con-
bunal Criminel. fusion de l'avocal qui ne sait
("tait I" 7 |uin 19.. Une foule comment s'y prendre ... Il y a
considrable dp gens de loules des tmoins qu'il faut laisser I vous couduil proprement a
nu incea et de loules c mditions liler, que le dlenseur n'a aucun j la dliquescence. Comprenez
el mme de Nuis les .i ; s rem- intrt retenir... Mais a rttlr que votre estomac est dlicat.
plissait le Palais de.lu.lie, d- audience, on a vu un avocat de Seule,
bordit les portes et I 's fen- I i di ; use faire tant el si Dieu
trs, les galeries el mme qu'il Huit par accabler son client
la rue. Avec un intrt pas jusqu' le faire condamner...
Lie audition de t :inoiiiH,cou-
pee (I incidents, de belles tirades,
se prolonge fort avant dans la
nuit, et (pi.nid le Prsident gra-
\ eiiient dit Les dbats gll-
tonnant, es aeus suivaient
les dbats el le Prsi lent avait
beau affiler sa sonnette que les
applaudissements u cessaient
de se taire entendre, courunl
de leurs chos rp unies au
dehors les vois qui voulaienl
se faire enlen Ire. Sept accuss
taient sur la sellette pour r
bellion et tentalive d assassinai
iur la personne d un ,
de contributions.
Le Palais de Justice d : la pe-
tite ville, de .1. que proli
le Pnitencier Civil -I" la (iar-
de d'Hati est un btim ni en
maonnerie aux mur. pais per-
c 1 de |..... . le l'enlres.se cou
fo idanl presque avec le pla
qui est aussi 1res bas. l ne
tra Is o sonl et iblis li lis si
un- autre, droite,p i ir le \li
nis Aie Publie, une sorte de
choir sur laquelle esl | icb l"au-
diencier. A gauche une il uiue
de vieilles cliaises il pai
et puis, la barre
C'est tout le mobilier. Pour la
circonslaiK e l s bui eaux sonl
recouverts d'une i lole rouge
Le Pi sidenl de la < !our i
Procureur Gnral portent chu
Clin, non pas u ne loge,mais un
vareuse de la nu me couleur. I
tOUl cet ensemble se dgage Uli
air de pauvret, de misre pi ai -
cenlue le geste renouvel de;
avoe.d. se passant la mme ro-J
be tour de rle.
Mais ce l'y l:us de Jll .lue,
un caeln il excelle dnomination
est d'un ironie cruelle.
Onze heures. Le tirage au soi i
des Jurs vient de commencer...
L? Prsident les appelle ; U
Ministre Public les rcuse,tan
dis que la dlensedi si ne i sou
choix les noms de ces messieur
de la Justice Populaire qu'elle
sait sympathique aux accuss..
Les douze enlhi ^installent
dtna les conloitables a lau-
teuils. -
Il jurent de dcider d'api i
les charges el les moyens dt
dfense qui vont tre produits
mais au vrai ils pensent qui
n'y a va il ni criminels, m vo
leurs, tous ces honuli
que sonl les juges el les av
se trouveraient sur lu paille,( ai
en somme,il laid bien le recon
natre, le crime i si u ie industrii
qui lait marcher les., [Tah es.....
Sobrement, le Ministre Pu
blic expose I ulTaire. I .e grefliei
d'une vaix paalmodiuiile lit le
pices de la procdure, El l'on
passe l'inlerrogul t
moins. Pas de conl't 11 dations !
dit It Prsident. I I sonl in-
terdites. Elles ne 11 uvenl \ i .
lieu qu'au Cabinet du .1 ige d liu
truc t ion Lrreur. Da si allaii u
la Man'gUfi vgtale,
produit de notre gnreux
( oton, v us convient II ta"
I'. kiger de votre lemme.
-En end> .docteur, et pour
n dcider j'i mploierai ni.ne
des n gi'iicrts trappants.
Oh! que non, mon ami...
OfidROO
adopte par les Spiclalistts d* Pari
soulage immdiatement :
BRULURES CRAMPES
ACIDITS de i ESTOMAC
ULCRES GASTRIQUES
CONGESTION du FOIE
DIGESTION PNIBLE
il'MSOH RAPIDE
n e nus
mSm, FAI8>7*
i .r rs i .
n* mr. ; sua*
i r.rr.i.jel^a
raux sont ouverts n c'est un duel avec de la ''ouceur, du char-
[ui provoque l'admiration, mais me, comme le produit cent
|iii liuil par lasser cause des pour c ni h lt'eu que je vois
longueuis el des redites Il r commande!
Bec Pin.
esl quatre heures du matin
quauu le .lui) lalig l, aasomm,
[ourdi, pne re d mis la charn-
ue deiioei uiio i.
A si\ heures, vless eura les
.bues, reprenant leurs siges,
enl I r \ erdicl, ngatif
p mr si v h iceuss. Quant au
m ilheureux dont le dtenseur
i iil plaid la lgitime dfense,
le Tribunal l'a condamn 3
jus de rclusion el a mille
gourdes de dom nages intrts
en\ ii s la partie i i vile. Beau suc-
Uireui >. pariisaus. De { mande par ses cocktails re-
uomms. lin restaurant o
lo trouve toujours des mets
savamment prpaies est an-
nexe au Par National que
dirige Mme Kocsurt.
Bar National
Voulez-tous tre servi
souhait ? allez au
bar national,
PI ic G lr r I, eu lace de
M i"cr.
L'tablissement se recoin-
A vendre
Une ma bine e rire Un-
derw ( d No 5. en pu lait la'
. et un i rix relle en' insi
| gnffhnt.
S'adrr&se au
i Bureau du Journal
l'autre ct, le su< i es u'iail pa i
insignifiant. Quand la moiti
des uvocats leiend le. m luvai-
-, l'auli e m ti plaide
i les bonnes. Il eu esl ainsi
laii lous les paj s. ( l'est le ha-
.ii d qui di nie. ___
L'audience avait uur vingt
ieiii es. Les auditeurs en 1res
oui taire'. Re'irdons en haut,
jrand nombre avaient passe la toujours en haut.
uni a suivie les dbats, applau-
lissaul la n tt Puu el lanll
l'autre avoi .il qui avait su piai-
ler in muynis... (lu tait au lo
\pis k sacilice le Marche
-Terre et tant de cris t inci
aux qua ie v> nts du monde
pou- obtenir I** rtablissement
rum.Ainsi, votie nctliode, Mes- de nos Chambres Lgislatives,
iieurs les avo our rpter quelle honte que ce conflit entre
le mot de Me Campmchi, t I ns parlementaires et le Poo-
k redoulablemenl cicronienne
mais la technique nouvelle.celle
ie Me Henri Kobeit, a est faite
;. synthse, de mesure et i/v
-. mplicite ...
L'loqueau e des ides a l'ait
place celle des mots. A la
tribune comme au barreau.Le
dbat criminel, a-l-d crit, est
devenu une lutte furieuse et
rapide o les rpliques brillent
connue des laines, O les coups
sonl d u n e si foudroyante
promptitude que des acquitte-
ments oui i le obtenus aprs
us plaidoienes qui, paiiois,
n daieul pas une demi-heu-
re
Comment pourrais-je finir ma
chronique sans due un mol
d'un a* ocal de la dlense qui
m'a bien intrigu '.'...La robe.sa
robe, lui brlait les paules
comme uneluuiquede Nessus.
Il ne cessait de raicsser l'un
des accuss qu'il prsentait
comme un chel et qu'il appelait
.( m i:i bon. i .n.le accus >'. Si
uis Lai/.u us n'avait pas en-
i oi e l.ni l'loge de la Btise, il
eut mrit de l'crirc.Son suc-
ces lui grand aussi, puisqu'il lit
condamner son i lient a trois
Ooufl u\\ avocat lii revenii ans de prison et mille gour-
ringt cinq lois a la bure un des de dommages intrts.
tmoin pour des conlronlalions I P. IL
Comment
terminer
l'ornire ni nous nous dbat*
tons' lions non rsolues
.' .sont ans piti | our le repos dei
peuples .
I) uis le vu gini ge de la vigoa
1 dmocratie amricaine,
/^ p/ vi^ I nous avons eo, comme Etat, an
t-' ^-^ Il loi t m I heureux dbut. Contre
il i on Mu-, nous avons con*
d s babilu U qui d-
ni L.i.i i un ni adirer sur
de! cal mits. Nos m i
Une nation digne ('e ce no n
doit a ficher la pi t nhon
> uloir s'lever. Quant i> ni
|.ays, l'empirisme le t enl en
prisonnier L d< a i ai li m
et. Lorsqu'on se ci oit eu d
acte passer di ce leviet tagir, de noua donner dea di Nous concluons que notre
von Sxcutd 1 O.i aurai' d,
tout pi ix, viter ce scandale 11
tant en finir bien vite. Dans
notre article de la .semaine der-
ieic, sans (.rendit- position
pour l'une ou l'autre parties,
nous avions cru utile de mettre
sous bs yeux de lous nos con-
Clloyeoa les mauvais pronostics
que des journaux desLtats-Unis
publirent sur l'avenir de notre
ivfi Quelques amis sjournant
NewV-ik nous ont envoy
de- de< oupures de grande quo-
tidiens amricains, u d esi in-
di iue que le Dpartement d Liai
a'al'enii ce que les i hoses,
tout moment, se passent lis
mol ici. Nos dirigeants doivent
doivent viter de lournir des
argumenta dcisds ceux qui
soutiennent que nous sommes
incapables de diriger nos
affaire.
Au nom de la Patiie.que nos
divisions finiront par tuer, nous
vomirions voir nos hommes
I ibgnes de tous les res-
pects, se multiplier en vue de
trouver sans relard le moy> n
d'entente sincre propos r au
Prsident de la Rpublique, o< x
Mandataires du peuple et ans
Ministres. Ces vnrables mes-
sagers de la concorde pose-
raient en outre les responsables
| de nos ilesiines mditer sur
la gravit de l'heure et |urtr
te tout oublier pour travailler
au salut national. Nos popula-
tions, plonges dans l'inqui-
tude, attendent impatiemment
la j-olulion des questions d'in-
li- grerai.
1) auire par', en quoi la rvi-
sion constitutionnelle peut-elle
r.ous tre profitable quant pr*
1 ? I 'Occupation est encore
sur notre territoire. Nous de-
vons ai oir asai / de bon s ; s
comprendre que, |nsqu'eu
Ibdti. i It n'aura pas fini de nous
VIE SPORTIVE
Gare au vent de iFronde\
L'amabilit toujours sou-
riante et mme proverbiale de
Mi CI ment Magloire nous a
ouvert les colonnes de Le
Matin. La t Vie Sportive t est
ne avec l'indpendance qui
caractrise les nouvelles spor-
tives donnes sous cette ru-
brique. Notre but lail de
rendre service la cause
sportive et non ceux qui
seraient appels, un titre
quelconque, la direction
des Sports. N'avions-ooitt pas
loue au possible les ralisa-
tions de l'ancien Conseil et
ciitiqu partout ce qui tait
pour le moins critiquable?
Dans i'un et l'autre cas, nous
n'avons pas eu la prtention
de satisfaire io.it le monde.
Les adversaires du Conseil,
par calcul, condamnaient, par
des propos peu flatteurs, la
publication de la Vie Spor
tive ; par contre,ses amis en
encourageaient moralement
la parution Au milieu de
cette dualit, que l'autre ap-
pellerai! volontiers politique
BDorliu*, noua avons f ii notre
devoir, La t Vie Sportive i
sist maiiiteuue dans son ca-
dre d'indpendance. Que vo-
yons-nous maintenant ? Nous
sommes navrs de dire que
le Sport Ha ien est 'd-
tourne de son vrai bot : d-
veloppement des facults phy-
siques et morales de la jeu-
nesse. Ou se querelle pour
un iieu. La lutte spor ive a
laiss le noble terraiu du
Paic-Lecoute pour s'tendre
cn^ t beaut acadmique
Cin-laldu
t e s< m
La be le comdie :
Totte et sa Chance
Ou L'art de s'ddire un b?au pre rcalcitrant
aven Ai li Hoinne e Cnmen Boni.
1-; tue : 1 00 ; Balcon : 2,00.
DIMANCHE
AS UE'JRES
Lt grande production ;
Jours d Angoisse
fvpc Olga Tschtk- \vi
Entre : 2, 3 i gourdes
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pour viter la perte des documents importants d-
poss sous clef dans un tiroir votre bureau ou
dans votre demeure.
Remplacer ces documents coterait cher et
serait peut-tre impossible. Mais il vous cotera
trs peu pour les protger.
Ne remettez pas demain la location d'un
Coffret de Sret de crainte qu'il ne soit trop tard.
Pour deux sous par jour, vous achetez la protection.
Tt>iunu OhlifiBon. AMioo.
Document. T.kct. d'Auiium
ttpm, i, TtaU*
FSK1
la Banque Royale
du Canada
dans les journaux. En pr-
sence de cet anacijrooiq ni et
ne voulant pouser au une
cause qui so t le centre | ied
de la stabilit du Sport Ha-
tien , nous avons rs du de
suspendre provisoirement la
paruli n de la VieS| or.ive *.
Messieurs, accordez votre
lyre 1 Trop de tripotage^ Et
le Spoit Hatien s'en por
tera mieux.
*
Nous renouvelons ici nos
remerciements Mr Clment
Magloire et aux lecleurs de
son intressent quotidien.
Nous l'esprons trs prochain,
le moment o notre horiz iu
spor il Dsoins loatb e n-uv
nermetlra de reprendre la
VieSporlivei.
F. Hrard.
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rtc la t la raison, ch ir e l< ndami n aie, si noua :a
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savants lait mers'eille an fap
Hatien, d'aprs te qu'en di
sent les journaux du lieu.
Parlant de l'ajournement,
notre ronfrre' .'Abeilleicrii:
i M. Vincent, tant homme,
u'a pas, en sa qualit de. .
pre, la tendresse exagre...
du plican. Ses entrailles.par
consquent, ne doivent pas
tre cflertes ses., petits, i
major. Cel l'un de nos plus
distingus offi iers avec un
brillan tat de s-rvi-e.
- M. Voiny Paul Ire a t
nomm prfet de St-vfarc en
remplacement de M. Hriss
Guer.ier, nomm Chef de
service au Dpartement de
l'Intrieur.
Dimanche 19 juin, dans
I aprs-midi, il y aura, an
Haro-Leon te, une manifesta-
Un assassinat
Sibert
L'indi dernier, le chef de
district des habitations Siber
et Vaudreuil ( HASCO ). Mr
Louis Blanchard, s'apercevait
qu'un de ses journaliers;\aii
disparu. Aprs une enqute,
il finit par se rendre et mpte
:OLiS:ir;
ion sportive au profit de le-1 qu'il se trouvait en prsence
quipe hatienne qui partici- d'un crime, le disparu ayaut
pera aux Jeux Olympiques de eu rpon.ire un rendez*
Au Chili, le nouveau Angeles. vous de trois individus soup-
aouvernement socialiste fait'. i7 Uansson discours dins-. onus de lui avoir vol un
" ___ j_ i; ii __... lallation, le nnnv...... ,.. ,.it hr- ,i
Apre L c .s
et rlntc r gttoire les lemui s,
on procda arrestation
d'uu nomme Bnjamin,qui,a
/son tour, dnona deux au-
tres compres, entrantes un
laineux Albert, accus, il y a
an?, d'avoir assassin et jet
dans nu puits le fils du cbet
de section d s V r Mar
moulai.
1 laqu par la police, >ll>ert
de lui. Il s'attaque aux ]!,i!!,av0n: 'et "veau prle
banques et leurs avoirs. (" *ord dlt.: >olre politi.
parler
Le service des dbouchs
a t rtabli an deux bran*
ches : dbouchs extrieurs,
directeur: Monsieur Dhilippe
Lulontant.; dbouchs int
rieurs, directeur: M. Geerges
Uraau'.
I.e service payant de
laboratoire tabli l'Ecole
nationale de mdecine a sou-
lev la protestation des m-
decins qui crieni la on-
currence de 1 E ;it.
Le prix de la gizolinc
monte et descend, r acillant
enire 24 et 30 centimes.
Les quartieis du Boi*
Schul'z seront bientt clai
ls a l'lectricit, On y pose
des lampes comprises parmi
les 78 nouvelle* obtenues de
la Compagnie lectrique.
Un annonce que le ca-
pitaine Kbreau t promu
qu
de
sera celle de la dtense
l'Agriculture et de nos
agriculteurs. Excellent pro-
gramme.
beau
Dans l'aprs midi du ni) e
jour, aprs une battue e lie-
tue dans tout le do ma h e
des habitations de la Hasco,
Si ert, on finit par dcoo-
treize nations aurop- vnr.daus un puits duMiim
ennesout prsentes la Con
lrence de Lausanne e' repr
senles par 600 dlgus
Demain soir
ipuits Lereboara>\}t cadave
mutil du disparu.
lime Pau'ine v|\ie dridera
les plus graves. En outre,
Mrs Daniel Heurtelou, Daniel
liard, Melle Carmen Bo-
nn my, et bien d'autres t. 'en
luenx acteurs, vous rservent
d'agrables surprises. Att'a
vante soire, comme on voit
et qui fera les dlices de
' N'oubliez pas que c'est de-
main samedi qu'aura lieu, a
Cin Var'?, la pieu di de
fle thtrale et musicale
qu'organisent, au profit de
11-association des infirmires tous ceux qui s'y trouveront.
diplnes, Madame Jacque-
line- Wiener- Silvera et sa
Iroupe.
L'artiste Jules Hraux gra-
tifiera l'assistance de quelques pois, en lace de
eaux morceaux de violon, maie de jeunes
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forme par la ortenle lepu-
*.."i"^ |-ui m [jonce, >ioen t^
se dfendit coupa de man- Hls* Y, ,,,.*!' V
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ie ce genre. Le soleil ne se couche ja mis sur loi champ d i.-.lim q n embrasse ls
ses Polices contre incen iie cou/reit aussi les dbits occasionns par la fouir*
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pour Porl-au-Prime Ses Polices Maritimes mises par ses branches dEurope sont payables en H m.
Ses Polices contre accidents sont valables dans l'univers entier. Tous les vivi-
Le vapeur\Bolivar Voy. aura devraient donc prendre la prcaution de se m unir d'une^police contre jccidin'j.
10), partira de New Vorkle d'au moins 4000 dollars, la prime an i iclle u tait que de 1/2 /. soit20 dollars L. ^
24 courant,pour Ions les ports
hatiens.
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et
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1 f"M pie ii d'altitude L'tabli
tirai de Porl ar -Prince.
feulement l m imites d' lo sur une
asphalte. Vues rarrveiileuiat 1" la ville <*1 lu |. ut.
lioitaons d- ioutes eapec.
OIMERS GHUTERS Wllffl
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seaaaine ou de moi.
SOUS-CENTS
Mapilal fteanl Uallien
Accidents
13 juin 1932
Jean Melcoa f. I.'. ans ' < Sa-
line. Bls;m ira.:, hanl de la
rgion frontale.
Julienne St-I Le steamer iGuayaquiIest
trjix-des- Bossa les. i; osions [attendu P ri au-l'iince, ve-
Afent Gnral oour Haiti.
e'ort-au-Pnnce. 1 *. GlLG
JEAN BLAN'CHETJrme
S
AVIS AU COMMERC
La Panamfifttilrad Slea mship Line a l'a van tige d'aa
E
r
nsYiti, directement eha-jne mardi. Tous^ies steemers scit
paarvus de chambre triix ri^a ie
Dmrls t hcw \ork. Arrivages Po iau-rrinte
le ! juin 1932
i0 juin 10.^2
le 20 in in 1932
k 4 m W'1 wa
o 1! imllet 19.'t2
18 [uilltl 19j2
T
taUtai
ni llipU's au pied g h .
Qerli ude i> il* . 5 ai s, La
Saline. Contusion de la rgion
frontale et de le rg o i sa i e.
Saul Nol,30 ans, Gi md Ru<
Ci iluiion du | o
faussaint Lazai re, 30 ans,
Pr-V9 Ou Suit'-('a'ui, Luxatioi
de l'paule droite.
Coicou Elie, 28 ans, rue di
)*B{ahl. Blessure "contnse di
po ice droit.
Krai ois Andr, 0 mis, pia i
Ste-Aniie. Luxation du coude.
(iouisim- Marius, 18 an
Grmd Hue. Blescnre coituse du
pouce dioit.
Joseph Lucien, 3 ans, rue
Niiiion. Corps tranger du
tube digestil.
Elouore Thomas, 11 m. ru<
Cbarron. Morsure de chien di
COide droit.
lislia Jambon, 22 ans, quar-
tier Si.Antoine. Brlure de I:
j'inbe droi't-.
Prim Rodney, 3 ans,G and'
n.ni de*New-York, le lundi
20 juio,"|l932, avec 82 net
le correspondance et partira i
le mme jour directement!
our Lristobal, Canal Zone
prenant Irt et m die.
Port-au-Prince, le 15 juin*
1932. [
Jas U.C.VAN REED
Agent-Gnral
Conlusions II.oi triques.
Virgile Raphal 32 ans, Bel-
vir. ivhshik's tranchantes del
mai'i droite.
Benjamin Roger, 13 ans, Bel-
Air. Blessor < ontuse de l'orteil
Mirecia/Clment, 8 ans, Port- 1
in-Prince. Traumatisme du
crne (hospitalis).
Augustiu Siuison, 18 ans,
'ort-de-Pan. fracture du le-
nur gauche (hospitalis).
Antoine Ad m, 7 ans Place
ALIX ROY
30 annes de succs.
"Ancon" le 7 juin
SlMhtr "Guayaquii* le 14 jui 1 P 32
*a*mer -CristobiP le 21 iuin 1942
Steamer 'Bnenaventura" Ir 2, j -in
S'eamer "Ancon" le 6 jui' et 1932
lleamer "GuayaquiP le 12 juillet
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