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Clment Magloire
DlRECiELtt '
35B. RUE AMERICAiwt i3D8
TELEPHONE, N 2242
Si feu Mii!(7 qi c votre vie
Mil idllr, ;i|i|iH'inz :i ut- pas vtn
nilluiM.;Mnrr lni|) \ile, il i.t* pais
itn iiaeker Irep lacilraeal in
ijrns H des thtSMi
25 me ANNEE N 7G07
I 01 I I I ( I i)
MRECREDI21 FEVRIER 1932
III
oo
Du temps du Dr Freeman,
(i faisan remarquer uvec mi-
tau que la concentration eu-
|K ses mains, au litre de di-
rection, de nos services agri-
coles et professionnels, lui
donnait plus de pouvoirs el
plus d'action que n'en avaient,
respectivement, nos secrtai-
res d'Etat de l'agriculture el
du travail, desquels il tal
sens relever.
On sait que, dans ce dou-
ble domaine, l'hatiai.isation
a consist ddouble r ce
gui tait justeet rationnel k
Service Technique en, d'une
part, un Service de la Pro-
duction Nationale, subdivise
lui-mme en autant de set-
lions qu'il tait ncessaire ei,
d'autre part, un Service de
l'Enseignement professionnel
dont relvent toutes es co-
les de cet ordre clans la R-
publique.
S'il faut admettre et cela
est un fait que ces deux
services, pour ce qui concer-
ne Port-au-Prince, installs
Damicn et au btiment de la
place du March de la Cath-
drale, reprsentent des orga-
nismes centraux de direction
dont l'action doit s'exercer
dans toute la Rpublique, il
fautdu mme coup reconna-
tre qu'ils font double emploi
avec les ministres dont ils re-
lvent. Pour s'en rendre comp-
te, on n'a qu' se poser cette
question et essayer d'y re-
pondre : avec les services de
Damien, que reste-l-ii faire
au ministre de l'agriculture,
et (Mie restc-t- 1 faire au
ministre du travail, au point
devuede renseignement pro-
fessionnel, avec ceux du b-
timent de la place du Mar
eh?
En.ralit, on sa plaignait
que le Dr Freeman clipst
les ministres et on la li-
min pour installer sa pla-
ce d'autres qui n sont tou-
jours pas les ministres, et
les services hatianiss con-
tinuent de mettre certaine
coquetterie, la Freeman, de
*e montrer indpendants des
ministres, se contentant de
garder leur contact avec le
palais, en se doutant peine
i bue Freeman faisait la m-
me chose.
Il conviendrait, puisque,
pour nous rpter, ces serv -
ces reprsentent pour la Repu
, blique des organismes cen
, Iraux de direction de don*
1 ner chacune da leurs sec-
tions sa place au ministre
intress avec une rglemen
talion dterminant les lches,
les responsabilits, les sanc-
tions, les rapports avec la hi-
rarchie ministrielle.
Damien institut agronomi-
que resterait sa place, sans
empiter pour cela sur les
services ministriels dans la
direction administrative des
choses de l'agriculture. Tout
aussi bien, les vastes services
dont est susceptible rensei-
gnement professionnel de
vraient tre organises selon
les besoins des diffrentes r-
gions et relever directement
de leur ministre spcial or-
ganis en consquence.
Un redressement dans ce
double sens donnerait cer-
tainement lieu des com-
pressions utiles, car, en ju-
ger d'aprs la gnralit des
choix faits par le gouverne-
ment lors de la rcente ha-
tianisalion, abstraction faite
des postes rellement tech-
niques il y a bien peu de
besogne administrative ex-
pdier auquel n'et pu suffira
un employ moyen de mi-
nistre.
Il e.st certain qu'un minis-
tre de l'agriculture cl un mi
uislre du travail qui se res-
pcclenl, ac peuvent que se
trouver humilies de l'isole-
ment de lait dans lequel les
laisse l'organisation compli-
que et coteuse actuelle les
services de la Production na
tionale et de l'Enseignement
professionnel. Li le triomphe
que reprsente l'accord du .>
aot ne doit pas nous aveu
gler sur les caractristiques
du systme hybride nii-anie
ricain, mi-hatien, selon le
quel ces importants services
se trouvent administrs et (pu
ne parait gure prometteur
de rsultats pratiques.
(A suiu e).
Dans le Monde
scientifique
tien.
Monsieur JL. Gentil Tippen-
nauer, dont les thories scienti- j
tiques de la prvision du Temps, '
sont en passe de rvolutionner
monde savant, nous a fait le
trs grand honneur de dposer
*n nos bureaux sa douzime
Communication sur la thorie
lectro-magntique du temps.
rsente dans une langue l-
gante et claire, la communica-
w> de Monsieur Tippenhauer
rclame quand nime.pour tre
Parfaitement comprise, une cul-
ture Kcientifiqua dont malheu-
reusement nous sommes assez
Peif d'Hatiens nous prvaloir
juste titre... L'autorit nou
manque donc pour formuler nos
moindres apprciations sur les
inclusions suivantes du grand
-avant qUI Qe laissen.j>ae d'tre
-doublantes.
Les pulsations c'.ectro-ma-
Kuques gouvernent ns pro i
w P-^leiueut a uolre iusu ftiiou I temps.
seulement notre sant mais
aussi les coiiTiilsions de noir
cerveau et de celui des nations
entires, dinontranl ainsi que
les cataclysmes autrement in-
comprhensibles dsolant ua
temps en temps les nations di-
tes civilises sont des vne-
ments prvus et ncessaires
pour l'accomplissement intgral
du merveilleux pian du divin
Crateur.
Nous remercions avec d au-
tant plus de plaisir Mr Tippen-
hauer de son gracieux envoi,
que ces conclusions ne vont pas
a rencontre du dogme clue-
j-. ...
-vi na
Les conditions de r.otre relvement
Les restrictions administra-
tives ncessaires
ALIX ROY
30 'umo' rie succ .
En ces temps difficiles
chaque artisan, chaque
mnagre et chaque enfant
devraient prendre rgulire-
ment la SCOTTS EMUL-
SION. Cratrice de force
qui maintient la vitalit,
assure une bonne sant et
vous sauve des maladies
coteuses.
Quand il fr.t conon.;
il vaut oieux acheter une
seule bon COTTS
BMULSION lalit
est reconnue, i ue deux
bouteilles d'imitations
prix moindre, qui ne
raient avoir la mi
renforante, nutritive. pro-
tectrice que l'authentiq
f
4
- **r
" /
I
'
i
Efc
4
d'huia da foie de morue ~. >.-vg!*nn<
D
AjMIMnUl >.,Tc.
M.'.'
A Jrmie
Le Congrs des Magistrats
Communaux
UNE INITIATIVE DU PRFET BRUTUS
Le Pays n'a
pas paru hier
o
Notre confrre LE PAYS na
pas i)ii paratre hier aprs-mi-
,ii a cause d'un accident ue
presae.II pria ses aimables ec-
teurs le rautner de ce conlre-
l'nc vieille loi de 1881 vise
les communes en deux i.. go-
ries celles < j 11 s'admit) >li n
par elles-mmes el les mitres
q;n s'administrent sous le cou
ii Ole immdiat ei person el il
l'autorit suprieure.
En fait les communes de la
premire catgorie,bien que r-
putes iiiules ;uliilinisir;iii .es
sont pas moins, comme celles
de la seconde catgorie, lac
sous le contrle et la suive i
lance du Ministre de l'inli
reprsent auprs d'elles |> i
les Prfets.
Ainsi donc le systme qui
prvaut chez nous depuis lu
cration des Prlectures est bi< i
celle de la centralisation, m
une centralisation mesui
Laissant aux Conseils Commu-
naux une certaine libert d'ac-
tion dans la gestion des in tel
qui leur sonLconlis.
il eslarriv bien des lois cepen-
dant que les Cous i s Commu-
naux, pour ht plupart, soit par
impntie, soit par inclination
politique, ont en quelque suie
mal gre ces intrts, les ont
i ompromis m ime.Pourd auli
poui quoi ne pas le dire, ils i<
ei qu'une sincure .i la cliui e
.es contnbuaoles. ..es rede va li-
es qu'ils p;i_\ aient taul i m
>l. eacomme d illicite, prben-
des.
Il n'y a pas que cela, car
dehors des attributions qui
loi reconnail aux Magistrats
Communaux, il y en a oauti
qui lui incombent et qui si
pu eut de I inii l gnral
Commune, l'hygine par exi
pie, la salubrit des liabilatii -
des rues, l'application des i
o i ei .i i ..i mise
. eu e de deiu .. ulinu utaii
i-i Dieu d'autres.
.Nous ne parlera s de ce
qui se passe dans les u
eJtte livre iadw-mem
celles-ci n'tant visites qu une
lois par moi*, par le Chef du Ser-
. quun i iiou con-1
sidron i ,u Ji i n mme, )
an pleiue ville o fonctionne
u.iO a
les h
desi r. i
que lea immondices, les ordu-
i es mnagei es qu
dans les mari lu
rues, ne sont pas eulevi
mais avant de le t'a \ ei
les jours se pa S( lit. I
tale un peu partout est u ie
ciiosc d
l ne autre c ose si-
. laler. Ci : i il manie
i
i. util. es viennent laver des
tripailles q u i empuantissent
tout le quarlier.mt tlanl ainsi
danger par Les cilluves nau
seaooiiUi idega ni
le la sani pu
Ce n'esi p dans
le domaine d que
i intervention d me
doil s'exercer ; elle I iera tou-
jours utilemenl pi l'in-
trt des conti tbua i
C'est donc en \ ue ci unpi
aux admin ., ,,
le.s ue ia Cil
Lmiuu .vu.'.
su. s de s eh eti du
I Janvici
dit ei non, un lau
d aprs lequel
mettra tiavailler ; : i< ni
pour U i. ,.,,_
munes, pur une m
nisation de leur i lina
nentati m des i
troi -des
i nie il
ru
oc voiei'ic, -.u pariai) accoru
.LA S0GtT DES NATIONS El
LE lld-JAPOMIS
O
Il mblie le di i
membres de I Socit
J Natii qs est convoqu en ses
siou i xtraoi d u
pi u. C l< : 11 i i s : i. (
con* .
t .vuo ; n ; s
vont se u uoii pour dlibn i
ui .i .....
d i. i Oiiint donl s'd -
| ill ) s, |
dt la s. 11
d i i lei
v t | p< menti n lou
nur ta paix ; ntei naiionali.
On sait qi
' \ < n arali
e p la Chine, n'a
su i' e .i.ii
> le Conseil. C'est sans
utc ;i, mit OHM., i
n que celu
aPP
Lsi ce que l'iutorit de
tu d'impo-
i i uu i leul pacitiqui
ililleie; I BUX d
i^i i aux i
tanu .
On souhaite et on veul
e pertr.
Prooos
iniiiiide.s
Le
nen !00enit
.. de leur
il club, .
il .ut invile ii
llailieus.l i n nbn i ci 1011I
i
auLi | aisd'Ani
liquanl que 1rs Am-
. icuins i i- m leur liber iteur en lluii
eupi < ,i.ii le \ 111 i li ains. L'in
ic lu i e -i < i i ju- le ;i ce mo
ufiit-lii nous nii'u ii i-. .ce nu n-1 ux,um
iquc lutte puui noire libci al
i nous. Ils ne sont pus s,m, i
r >iii avec nue toute an
lui ne nous etoiiiu
.uis quu ij'avoii vu couler le mu \,
>.\H'l m. CAC n.l U'OK, .i
de lundi .i p | m ill Roui ton
Convocation
i
piii .- \
1
.,.:i
l Un I 1/2 pie -'S d i son
lo r C lu i
ath m
ml
. .i don
I r lr iw comporte des
I .< s .us d'ord i i .
ne ie dbittuet
0 | 11 >, : ; 11
de i Lvuvre.le coniiti
. tnembi
i ni ca i rp nd e
Ite i nivocati
... To t que le mlier de c h ir
er cou me celui detiour*
- eue tout A condition
l'< n o r En eftet, trois amis
s'* lai Jjiagura issocii pour
une exp oiialion de chai bon,
l sont nrriv' g .'i I i Magislra**
i i le dernier petit
la chaise < m ule
Ht i dant que se ralisent
ses h i des amb tiont. Il n'y a
pas i mtiers...
- k
... v. qu'il n'y a pis plus
nui que les Amricains,
quand il leur prend hn'.Msie
ntre blea. Le malheur ist
qu'ils le sont pas souve t. A
I occasion do 200* anniversaire
le la inca de George VV s-
i ngto ils ont organis des
de chevaui, une d*
noir i arienne de guerre
el un I)armante rception au
h U ricain rk>ui>ion
.s i.'iiss rs et ar\ |uel
rail c nvi la i :i '-t
': incien e Notre Kit
> vu oars le l'rsi le \t
I h Itpubli |up, les maina
le lick i -, d ml aucun
nalh i sentent ne lui le hou.
I In n | ent paa non ple m i-
opol i le bonheur, Monsieur
Vmee il, et il est pi te que vos
lickeh l'aient rien rapport.
... a vu aux courses un mi*
i)is!i . qoi, i i isua de ch i ;i"
i i t, pluchait s tickets an i
in, lenli ment.n imro ip ps du*
mro, i om qi on tait au i u de
l'imjt cl un quand on prend
i nnaisi i e d'une cai te eo
emblant l .van ce d i II raiae*
lie qaa prsenterait la b'i
lie. Monsieur le Ministre cil
em comme un chas-
i au v.v el porta-t la t'e
in p u penche de col.com 113
de du lii-ui qu'on voit sur
les disques Victor coulant la
oix de son Mettre, L'tait lun
ri hcule vraiment exagr.
*
... a vu, toujours aux courte*],
pi i sonnaga qui visib't m*nt
I t trou bien ll au camp
iation. Les jambi s du pi -
Qageolaienl et un pa t
d i leu ii issement '-.li
illail les veux. AI. oui 1rs
ins avaient bien lot 1rs
'loi d njs, bire happer,
I ;k j and s i la.chewiog gum
idorablement lait les chose-',
s deai amricain !
. a k vu le niine persann-
ea heures aprs a
uns sur pied grce
! quelq l'nergique -.hampoinj.
I i s nu ige I ail la roue au
milieu
s li |a dois des &oui ir*s
oui i la un an!.
i, ni os l'ist,- .u m ) u --i' u
il s'appr i i v 'n m ii". m i
ilan ,!i . h o i-,
b Ile ; e ions de la relu pu r
me ''' i s i n i n i .-
lu ic i du h tul M)i 'io maii
lui en .'d)i il. s iii'iins s i >
que la I me, d . honni .a
le gi a tl regard.
i
m
n-1
l.i (n iplion. t
e congres, un
... \w\ qui
i : me te i
toute
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i
,
... v de i \\ '
<|ui i ce mp-is,
nu ni
., i lia i .i
n
Ami i ont alle i >'" -
hier i,si vous a m /.
i i honn< .i
aux dli ni. Aini i-
cain : Peuple d i
lanta de dis -it Russt I.
1-m quoi ait-il exagri '
EAU.S.V.P.
{Lu /ut
ion : u >
enr
passer en
. 1j.iv: l'opratio .
contrat!
i
t'
.
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i
LE t M DE 5. M. LE,
iJAibLt TERRE POHT-AUi
PhINCE.
o
!
--
;.'. -:\.
\
UN
Camion idal
M
...le seul pou-
vaut rpondre
. *
a vos besoins
LE QEN1E Dl SYSTl ME S AIDERA
A DCIDER QU'IL \ i \ QUI N SEUL CAMIOM
Chaque (
pour remplir
tincte.D '
nufa :turs !
qui rpond
n cessits.
Vous pou ir des
i m
m ^ qui oui r iolu
11. i s (Je |
i i
n n
quipera suppli
i ivenl
dus peu-
lom-
i rapi-
. bon m
de
I idge.
.
uis heu-
d mer les avan-
i s de ce service.
I
Samedi matin, parmi les
passagers du bateau touriste
< Otronto se trouvait Sir
William Jowilt, Procureur de
Sa Majest le Moi d'Angleterre
accompagn de Lady Jowitt,
Mesdemoiselles Dent et Van'
siilari; la dernire est la sur
du Sous Secrtaire d'Etat aux
Aflaires Etrangres du royau
me.
Ces distingus personnages
ont rendu visite au Prsident |
de la Rpublique. Ce lut
une charmante rception
qui a dur plus d'une heure
et laquelle assistait le Mi-
nistre des Helaiiou-. Extrieu j
res.Mr A. Lger.lls ont ensuite]
visit le Couseiller Financier
MrDe La Hue, et ont djeune
.m Club de l'lionville. Dans
I apre-midi,eu c-mpagnie de
Mret du de la Rue, ils ont
luit une excu siou a Kenskol
ou noue eu. mpion uaiionai
SyiMu uuloi leur tut pre.seule.
\ mi bt!ii'ci/tii vi?ileu
di n us regagnaient U
iio ienchant de l'accueil
,ii l< ui fut tait e i piomettau
ie enfuirleptus loi possible |
N i leur s mil ilous bo
ivage
/ i i t foun capacit < \qe
t la porte
ii i tont
r -t 00 lit i 1,6 i > /./Vos ),
l
CO N FI Ni
M B :L! DE
KNEER'S GARAGE
Distributeur
i;, pavij rince Phone2318 et '.!'J;il
ECHOS
-Le journal L'Opinion
est d'accord avec Le Ma-
tin qu'on ne peut toucher
aux droits acquis, en ce qui
concerna l'ordre Honneur el
Mrite, et que l'arrt le r-
glementation est inoprant a
regard des dj dcor ;.
? M. Paul PainleT,rpu-
| questions relatives la coo-
pration inter*araricaine.
Le dlgu d'Hati a ia
confrence 'lu dsarmement,
M. Constantiu Mayar I, y a
p irl de la dsillu< ion ha-
tienne toui ha ni la So i te deS
Natii us
I. h stoire l'u e opi iti< i.
louche d auto nobiles \ n s
ci achets par un sei vii t- h i
u i lise ert le scand de lu
iui .
Le Temps t fait juste-
blicain-soclaliste, aucieu pr-, ment remaquer que par leur
suleut duconsail.a dcharge nouvelle loi ci'immigrationjes
de constituer le cabinet Iran
Vais.
Il se dit dans Us cercle
journalistiques que Mr Ed-
mond Mangous.l'ui) des pro
pi ltaires de l'Imprimerie Lu
Pressc,va touder un journal
a caractre entire meut in-
dpendant.
(HalU est donc la tene
de libert pour l'tranger el
d'tranglement pour les liai
tiens,dit tort Justin cit notie
contrera Le Ralliement.
11 semble qu'il n'y a
pas eu seulement le comuiu
nique du Dpartement d'Etat,
mais aussi une lettre de M.
Slimson au prsident du co-
mit des finances du Sena
amricain pour repousser l
accusations de M.Georges l.
ger touchant l'emprunt de
1922.
Samedi dernier taient
de passage a Port au*Prince
le Procureur gnral b Lon-
dres de S. M. Britanni nie et
sa lemme. accomp igm s de
m idemo selle Vans i oeui
du Sous secrtaire d'Et il des
ifiaires trangres ai g Us
ont t reus par Mi te Pr
aident Vincent.
Une conlrence d< >
de la mer des (. ^ m
tiendra San Jos fie Los
P.iia du 20 bu 27 mais ;
chaiu. Cette runion n'ai a au-
cun caractre officil I ou
erLemental On y traitera de*J
)ominicains visent a se pro
mer la ma nd'u'iivre a hou
iiarch.x Les malins caucu-
si (lies.
On rapporte ijue dix
muons dominicains so n i
rrivs au Cup*Hal ien avec
lessein
trants haltu nspour S m Pedro
le Maons. La Rpublique
caucasique recrute sans doute
les b ,is peur ses lolom. -
igricoles
Il i incendie qui clata
ivaiil-liitT soir SoUl t-J>aiee
( Idartissant)a brl une mai-
s mnetie. Les pompn rs s'a-
menrent rapidement sur le
lieu.
Au camp d'aviation,lundi
natin, il y a eu rfmonstra
iiuis Bi leoi es. Un pul
nombieux assistait a ce*
li etes volutions que
a hi illammi n' un saui emou
vaut de loOtH) pieds du 'Scr
gent Cobper en parachute.
;
A l'Abattoir
hous rect V ia la lettre sui-
vante :
Mon cher Directeur
Le service du march aux
bestiaux ue rapporte plus ce
qu'il savait donner dans le
temps. Ainsi, chaque jeudi,
pour les ventes, achats et
pesage de cochon, il rappor-
tait eu moyenne 1.) a 50 gdes.
Maintenant. OU es" tomb a
une moyenne de 15 a 'M gds.
Les samedis, pour les mou
lois et c ibr is de 5 ;i 40 g 1s.
on est tomb une moyeuu<
le l2 lo. t> me les recettes
&out diminues de 50o/o; ci
juin id le budget de l'a bal-
loir i ( iicitaire.
Attirez l'attention de l'ad-
ministration communale sur
I ii,et recev /, je v mus prie
nu meilleures s ilutalions.
Un Abonn.
PETITE C
GI'lEGRAPHIQUc
B V Ile des Mille Joies? ..
i ion mot lait d'avance
m I fUajl le rle des
8 j.' L)im i iche, t Hai-
(ii i. soi u compltement
. mu ue lu .tste, on
'e jours i h z Taldy.
L Hlrn 'b te par la vue
i u Coney IslinU gant. C'est
\ \v Y ik qui u soua les yeux
i loi s ses procds extrava-
s ie rclame et de publi-
. Mail alors qu'on croit que
chantemenl continuera.
Oju ut on lomb en plei-
e in igui ainou use. Les
ses 'lu i aine se lroulenl
I m- une or lonnance
la |n- |n a 11 i linal qui
t .1 s nieui rei njn.
' i uni ce \ iri ive ouvant
n r oma, oui le monde est
eurcux, aprs tes .nomenK
11 ibles et bouleverss. Le pr-
Cin-Jaldy
DEMAIN SOIR
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Le Plerin
On commencera par
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\ mise i scne riclie et som->
i. u s J< ( une
utiO |HI liiil
Le public, n an! stem u! sa-
li.slait.sppli ndil plusieurs re-
prises. Et la fin de la rpr-
i ntalioQ, Vaillant eut bien de
peine se drober aux tlici-
lalions endiousiastes ; c'est tout
dire... Une reprise aura lieu >
demain soir. Alls y en loule. \
J7.\H"B 4ci plu* &M tabtetla crime d nombrtiMri
Mohila Lucky Suikt nuit effr la jorfe U prcti a
ItTulit.: prectdt du "Waing" (frillaft).
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muiique de danae du monde, toua lei mardi, jeudi ( aam'li, U I ir,
par N. B. C
MA(
fendu fils Sidney est simple-
meut honnte, alors que celui
qui vient lui rclamer sa lorlu-
ne est admirable I grandeur
dame.
Mais, f[ l'adaptation musi-
raie?. Chut I... C'est Du vil-
lrd nui s'en occupe et, vous
savez, personne ne le iiirptsts :
une fois de plm, Haitiana avec
lui a tenu le premier ranj !
FL1P.
U X1VME LGISLATURE
Par Antoine Michel
Le premier tome qui vient de
paroi re psi consacr l'ledioa
le lloyer Hizelais. On le Iroa-
vera ncheier au prit
jjourdos l'exemplaire: Aux Ar-
mes de Paris(irand'Uue), *'*
Pharmacie du Dr F. Coiccu,
(Lilucj. au Cabinet .td M'Henri
Adam Vf iche, (rue du Peuple).
Dcs
- M. I
uinlcve
a renonc
i irmer le
*
i\ la mission de
:auinel Iran lis.
La grande i flensivs j ipo<
a c sur le licuit de Sha
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leuit Port-au-Friu- j Pliai metr LU I B.
A l'occasn n de piolS pour
dvastations de mes propri-
ts j'ai pu employer les
voies lgales pour leur rro-
ItctioD, quand M R. becca
lionne-anne, alors juge de
I aix, a rvle son ne de
tratre.C'est pourquoi [e mets
i* la publicit les acles pour
permettre au lecteur de e for-
mer une 0,'inion saine, iut
et qtiitab'e, sur cette lpre
d'homme de ce nom.
1910
J'ai eu le 1" Aot de cette
anne l'UO signait r l'at-
tention du Commandant de
l'Arrondissement des Coteaux
les buts motivant mon atti-
luJe pour lui demander d'o-
bliger son auxiliaire le gn-
ial Paul Edm se contor
mer en restant dans son rle ;
celui ciour lissant con're moi
avec la coupab'e assistance
du Juge de pa;x un vaste
lompiot de mensonges et de
calomnies. Il me fut rpondu
par une tin de non recevoir,
comme on dit au prtoire.
En un de compte,cet inima-
ginable complot a abouti la
squestration de ma libert
qui eut lieu Welch de nuit
avec la prsence du Corn-'
tnissaire du Gouvernement
fryant sa suite une lorte ca-
valerie et de nombreux tan-
lassins qui errrent ira de-
meure pour procder contre
moi. Ce Commissaire, le ma-
tin, avait tait escalader la
maison jour en avoir ouver-
ture et prendre communica-
tion des moindres papiers qui
s'y trouvaient, Mr I). Nigaud
mon grant m'en avait mis au
murant dans la suite J'ai I
t contraint de lier connais-
sauce avec la prison de Tor- ;
beck, ensuite avec celles des
Coteaux et de Port l'iment, |
lieu de ma naissance et de ma |
rsideuce.L alors.J j'; i senti
la complicit ! ComroiMair*
du Gouvernement M Roland
Beautils ifiii je m'tais
p'aint 'es agissements inter-
-ux du juge Rbecca Bonn,
inne, son trs digne auxi-
liaie. Ce chetdu Parquet b'esl
d me taire compara! re
le nuit le 3*1 apr deux
joins de dten'ion a local
dit sige du tribunal de pa
iabandonnant sans autre
torme, la maison qui serva
le local, parce que j' fl
propritaire pour subir u
in errogatoire des plus sau-
grenus.
achemin aux Cayes If len
lemain, nouveau dp vs e
prison o j'ai gmi penl m
cinquante deux jours, j'ai et
relax sans connatre le mo
tit de ce traitement et de
tortures infliges.
J'prouve le besoin d'ex-
pliquer que ces procds
aient des plus cou ants e
tes plus rvoltants, ce qui
obligeait par leur frquence
i jeter le pays dans l'agita-
tion jusqu' disparition d'un
gouvernement d lorable e
dtestable.
J'ai ' toute ma ie un
jaune homme pass'onn de
l'ordre, et.par consquent, j'ai
toujours men une conduite
rgulire pour m'ad nner a
mes occupations afin de tirer
le pain de chaque jour. Ces
abus et ient rpandus dans
toutes les rgions de la Re-
publ q e, entav mt 'es hm-
et s et i ai ib e litoyens;
donc le pays tait un
fover incandescent pour re-
celer toutes les commotions
qui finirent par favoriser la
prise de possession, o hon-
te ll| par l'Amricain du Nord
qui nous convoitait dj, et
a profit de la grande guerre
europenne pour nous ravir
notre libert notre dignit,
notre indpendance...
Ce chapitre est une dso-
lation I II demanderait d'it
amplement dvelopp ; m
l n'est pal mon but.
Je commence la publicit
des actes de l'un des auteurs |
de e-'' inf>m:e y
ne- ces j u si i fi li\ >,
sanl 'u'rt sur c* ux d
c mplice. emp rte t
imbe dans le co
les plus mis ah es ;i
roix !Ka relia tan e.longl
avant le massacre qui a i -
're la rgion, aprs voi
com pli tant di ni ' i
pouvoir entrer
Prince il
ou -il
JJ Juille 13 t O
Procs ver b d de e
par le Juge R. R >nne n
e1 lit i des i n
i iikio' l e de M.
;ty mt i h
aires elle destruoii
'ique pi r le dit I le I i le
ectiou rurale de Port -Pi
meut de ses propres uns
ans cause ni motif.
23 Juillet 1910
Pioc verbal de constat
nar le nirn'" Juge IV Bonne-
Anne r< lat t la destruction
te la h ie vive en pingouins
par l'incendie de 11 naie mi
t yenne allum par !< dins
I >sii, u ranl surveil'a 'e
/ Molon Lubin a rotang
li section rurale.
30 Juillet I9IO
Rquisition au g < Hi. r du
trib nal de paix de Po t
l'iment tendant avoir copie
l< la lettre du Co nnnin I .ni
de I Commune deman la t
I renvoi le I a fia ire a i
ire audience, le i bel t i -t i -
ii n en cause est en mi u*
!.. Gouvernement. Li / o
" gnral iommau lani a I i
mur mes oreilles pai s
lt-'fine que je suis un bri-
md et un troubli ur le
I' rd e public et recevon une
i laratioo au grefle m
part
IZ .lai1. I9IJ
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?ar aquelle let rs .,., l)S1ii,,MS | i une cm-
_r il nie oen :
de trnubleur de l'o dre
blic.
Je vouv dirai, h i
sieur, aprs 11 l< c
dite lettre : le juge I
en ,s;i possession.
Agn ^. ptc.
Sign Is. | i
les justilienl ou Iron in e dco ivrir
Mit lit' l'intidtile I
lonctio
d ms c i enl n" >t.
i ut, que i i
ce ini Ile ''de
. IJIIW, \n.\! I
je I it
S'I'S
i de de ma condui.....t I*- res-
t que je |
loi s du p.i-
D ns l'esuoii q
ma sol lie ia je
.
(S. ) PLUVIOSE
n'a pas i l de
d
15 Septem..
Sommation mi ,\p.
bel us Pierre-
exploitant port j
i!l-> juins de c
rquisition tin juge W
AoniH -Anne.
Iti Septembre 101
\h Pluvise, S'" i
a 1 i S initiation
MSlf III I'
se prsente au u ibuuai ; i
i 1er les I les-
quels ava un
le .i t i n dni d i
2*eu i Bisou do s nie t o ribu-
nai par son personnel. S
remise de la signilitatiou du
dei nier a< te,l'buii >i i iru-
ii ( uianl lui brutaleint ut
voqu app ri lettre de i vo-
cation a la minute pi >> jg( ;
maigre la non partiel
dessupp .m: [uyan l'ai :
injuste du litn c .. i nu
.i la lo
l(i S
i tti
lt)
i l .lu.
V
m | le m lire
P.MO
de P. ix du
M i.. e\.r Pi \
E. V.
ur,
i ; oui e li. om i s Tisn
erre et Atis Dei
n carn d hier j
i ur ;ii di
i io pou; i j) es' u Cl
.u ii ibuu I m i Luu cou-
it, par i ou- qui i*i voua
nrez < "ii / (su )
jour-l le tgli mei t
le sui .
i, Bonne Ai nEi
20 S-|ie bre PJIO
UD bille du m. nie juge
I Bonne Ai : e ce mn e
oui donl t< r soit :
Mon ( lit | ; | n'.',
Jusqu'ici M i I Isni
I ii i :. n'est pas ( ucore ;i r i \vi.
Atteni ez jui qu' io heures.
Rien ;'i v<
Sgl : R. Bonni ANNM .
( (ii n v (h rnirea pii ces
onl ci il s de la main du
jnpi R. Boni ; Al ne.
I re II 10
Au "(ii.m
vernement | Tribu
Civil sant Aux
Mi le Comn issa
i
i
d*
de rentrer
per rie \uv > inti
i .i orl I
pi ison ; ce qui est p I m-
|e
. l'huis
nient il iCCompI &
o i ministi |ui
!' | .: r
191U
I de |) i x
A i liu r Et Hyppoli'i
le
h
) Vu : v| e vous '
m de i di \ oir
,.. vou! *que ate*
i ire ; it l'hui
tii
m
Ii
(Si ,r.)R. BONNE I l
bien d '
n
i la i
u
pi t d !
l< i
11 11;.
Prs dent,
i .
i.
I
je \ U8 i i ll pour Ii p 110-
I il
isi i
pi
II
il II p
i endre les instruclio
du i mmisaare [du Go
n mei t, qui < ii ai lui llem
i i. i n pu ie tous les stri i
tnei pour
a criminelle ou inla-
;n'il ,i tei i otre votn
Pei ; u point q
a di i os cbi z le |nge-! upi i
.m S i .In < I ri
le dire |
que, deux mille gi urdes p
i I Borgelas I
quj j'avi n i api
VI Il.il
lain cb i ; a de la Conimui i
t ; ( I en | i I i
drain j i i d t Si -
n .In (Ii, I est le
rhel
i I Iqvio! e. Ce j
reau C
n al que i< lu
n
ij'il
' e
h-s
in-
i s-
i et
M i' ml que ci s is
ir
i st loisibli.....'oi i l
faits
on jus'. i v ('
de l'inlame l\ -
e. Pi i n ire
venu s Inspecteui de< < o-
1 ei l I une! libre
cout rs dpravation^ eo
(nn- i l,i :aissi pub |iie
le i m i men s d deu ;
oti
i donn leur <
lan .i Cuba,
uivti nemenl fu
bu i la, il l'obi i
valeurs a l'El
n > I tche
i |ui est un lar-
i ne laisse pi ,(e
e snufl'i i p ysans et bour-
is de cette rgion. ( 'est ;i
juges de jiiiix qui
n'onl cm e de toute digni'
i .lis lui is incal-
ctilabli s el des injustices cri
,u u- ; tels : ci u ^ des Col nus
|ni, par leur
se n'inspii ni aucune cou-
laissant loup*
co ivoitisi sdes
s < istance Duval et
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hi i "i.t t les dupt s da
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