Clment Magloire
1358. RUE AMERICAINE i
TELEPHONE N2242
Quiconque a naturel-
lement beaucoup o
fantaisie a pevi de ju
gen.viit et l'Anse proba-
blement faible.
WI\!\AII(.ltS
25 me ANNEE N* 7G0G
PO* T-AU [NCE (
\l\vn 23 l'-r.u : r r..;>
L'OPPOSITION
T
00
M. Dants Bellegarde, cri- 'sultat tourdissant des lec-
vant au journal amricain
New-York Herald Tribune ,
affirme que sur la question
de la complte libration de
la Rpublique d'Hati, de la
restauration de sa souverai-
net nationale et de son en-
lire autonomie administra-
tive, il n'existe aucune diver-
gence de vues entre le gou-
vernement et ceux qui se dres-
srent contre lui aux lec-
tions du 10 janvier.);
Et Hati-Journal , dans
une manchette flamboyante,
a traduit ainsi la pense de
notre ministre Washington:
Le gouvernement et l'oppo-
sition sont d'accord...
C'est exact. Ht cela fait bien,
a toute son importance dans
une dclaration1 de reprsen-
tant officiel hatien l'tran-
ger. M. Bcllegarde, qui est
d'ailleurs fort averti (les pra-
tiques de gouvernement en
pays civilises, sait toute la va-
leur de pareil argume it. Mais jj*'
il sait ;mssi. du m i is, on
veut penser qu'il sait que si,
sur le fonds, il a exprim une
Vrit infrangible, certain as-
pect formel tic la question
pml exiger mise au p )int.
Cela sonne fort et bien :
le gouvernement et l'opposi-
d'accord... Si ce
union sacre;', c'est
l'entente nationale
la Libration. Les
lions gnrales. Faut-il en
conclure que l'opposition n'e-
xiste pas dans le pays? Ou
tellement insignifiante*qu'elle
n a pas pu obtenir mme un
sige aux lections populaires?
Il ne parait pas. Il y a la
manchette triomphante cI'Ha-
ti-Joukxal. Il y a les ana-
thmes renouvels de la pres-
se gouvernementale contre
les opposants. Et ses chants
de triomphe au lendemain
de la grandiose opration du
10 janvier...
Alors une simple question.
L'opposition n'tant pas re-
prsente la Chambre, com-
ment pourra-t-elle faire en-
tendre sa voix quand soi
vriront devant celte assem-
ble les dbats sur la (pies-
lion nationale? Si, comme il
est probable, un vote s'en
suit, et il lau.lr.i bien qu'un
vote s'en suive, tanl don-
n la composition del (main
o tons les siges sont
occups par un seul parti,
le parti gouvernemental, ce
vote ne risque-l-il pas d'tre
affaibli du fait qu'une frac-
lorlanle de l'opinion
\!JX >Y
Mond
30
t
Mino
a
*.
ropos
m f-
\s
L'Amricain R.C.Joh i 'i i "
pli certes une belle prouesse
mont seul ;arane frle einbarc i
a fait la travers* du eanal il > \
',-'1 lui ;i pris si\ jours et autant de
iniiis, pour venu de Santiago de I
a Port-au-Prince. El il nous est
v h lis et dispos, awe le le .
t iiie mieux, beaue i ip mieux
rve rien de moins que d'tre \'A
Gerbaul du continent. Il vu, coin
liii-ei, faire son tour d'oc
bord de son petit canot, lit e'<
vue de ce long voyage qu'il esl <
ici pour s'approvisionner de U l
S MYTHE CACMKT D*()R, le
conipignon au |Uel il tienne.
LE HT DE I
' or
p
la chaim
de nuire ami.
o
k i i gehe
ritions le ! i
Dan i I' Ire
esl la rnli
c attendu j
E~ JEUNESSE
m ni par !<
GLANDOPHILE
des Lab. ORMOS PARIS
n. Port-au-PrirtH
liaroiRcUi
a.-^.- -
ve
nir
hon
ion mij)
C'est
lion soin
n'est pas
u moins
en vue de
partis, I
lu
De
gouverne-
icure prsente, ce-
du gouvernement et celui
de ceux qui n approuvent pas
sa politique gnrale, l'ont !
front uni. Tous les Hatiens
s'en rjouiront.
Mais oa sent, on
n y aura pas partiel
les partisans du
ment qui auront vot pour
le gouvernement. El ils sont
l'unanimit. La Chambre tout
entire. Pas l'ombre d'un con-
i tradieteur.
Dans ces conditions, le ca-
binet pourra-t-il prtendre
qu'il prside l'Entente na
lionale'
Il faut se rendre compte
voit, on que la Chambre des dputes,
entend le parti gouvernemeil- Cesl la principale assemble
lai.Lui seul. Ouest l'opposi-, politique du pays Et nous
lion? sortons d'lections gnrales.
Il y a un lieu o l'on doit su-, Or, l'opposition n'est pas i ta
renient la trouver : la Chain-: Chambre, encore (pie toutes les
lue. Sa place s'y trouve na- manifestations du Pouvoir,
lurellemeiil. Pourtant, elle j l'action de sa preste, l'activit
n'y est pas. Les 36 dputs de ses partisans, leur parais*
fins rcemment dans les .'iti tante agressivit indiquent son
circonscriptions sont des gou- existence dans le pays. El
vcrncmenlaux... C'est le r- qu'elle compte.
' milieu du XIXe sicle (8
i i
de
loriginj
:
, elle ei que la pro
te vrit qui i
la ero\
e chrtien ci
conilil mondial que la guerre Opportuu
sioo-japonaise permet lorlemtnt Ile matri
'oprer se i
Un Billard en
S'adresser :
HOTEL SE \ VTE\Y
'ion 'tes Etats U lis d
mi
de conjecturer.
Une telle vunlmlil^ es
'aile pour agir sur notre i
el l'inciter de profond) s
dilations. Elle suggre, en efl ,
deux hypolhses : 1" le colosse
tu Nord, s'il n'est pas bris
le choe, risque tout au moins
d'en sortir mortellement br-
h; car il ne srail pas impos
: j>' '! r t;. ;
me p iur ratifier i a
du Vu
i gloire e 11
-e Mre, une
tant du u
birons n cevait, au i
d'une des 18 appariti s
Point d'interrogation
o
A certaines heures de la vie i sont oilertes, ces ides seron1
de individus et des peuples, le J comme le. tableaux brosss
Mlence.s'd est partois d'or, se- giands traits el soumis aux lois
Ion une maxime del sagesse de la perspective, comme le ca-
onenlale, devient comme l'une ntvas que devront dvelopper
ible que la dfaite provoqut ; elle (ut honore,
des commotions intrieures sus- I direct del 1
reptiblea leur tour de h- s isi'lmn
le
grgerla conldralion toile ; (Depuis cette da'e,
2- le rsultat del narre p : [d mrac'e a, des ...
.'oelelr.ompiedeshla.s l j ,
Dans
de p.-dire que (imprialisme ,n veUe d.u '
des expressions de la lchet.
L vertu du citoyen consis-
tant moins dans son respect
des lois de son pays que dans
ton obissance aux inspirations
del vrit, celui qui, avant de
Jarler ou d'agir, s'y dcide en
^Jedes laveurs de I opinion pu-
blique ou raison de ses pro-
ies initiatives subsquentes.
Il est hors d- doute que la
correspondance entre le Secr
laire d'Elat des Finances el le
Conseiller Financier laquelle
nous avons t uitis ces jours
passs, donne l'impression net-
tement marque d'une joule s-
rieuse p'ulot que d'une discus-
lies avantages,commet une Ira- \ sion plus ou moins amiable-o
l'iioa contre ses Iries, un cri- sont changs des projetsi de*
lie contre sa patrie. C'est pour-
quoi j'ai toujours pens qu'
cent les attributions que leur
lermine la constitulion des
ftels, la presse * j'entends na-
'urellement celle qui et sou
lieuse de son pret'ige inter-
vient pour apporter sa sanction,
"us s'inquiter de plaire ou de
^plaire : n'esl-elle pas, dans le
lncipe, le jury appel ren-
'feson verdict dans les dbals
'leanels o sont dise ls les
n'rts suprieurs de la nation ?
Us ides lgrement esquis-
ses dans cet article gagneraient
Peut-tre tigurer dans un cs-
''e plus large. Mais, oulre que
I"1 expriment la vanit des
'^ugs discours, parls ou crits,
|J"?e sens qu'ils sontiantt subis,
!Utt applaudis en une minute
'J. ^uusiasiiit-.tuaument sui-
[ a'ellets pratiques apprcia-
rM l'estime que telles quel.u.
mlroration de no're tat fi-
nancier et conomique. L o
l'on s'attendrait trouver des
collaborateurs, on a vu des ad-
versaires aussi prompts l'un que
l'autre l'attaque et le riposte.
En toute autre circonstance,
nous serions satisfaits d'tre les
heureux spectateurs d'un enga-
gement o les passes rapides
sont suivies de foudroyants
coups droits el de brillantes pa-
rades de prime. Mais ici, l'assaut
a lieu aux fleurets dmou.he-
tsle cliquetis sec des lers d-
uoi.ee un duel violent el l'enieu
en est terrible, car il suppose,
d'une part, l'abaissement d'un
orgueil intraitable et la conci-
liation d'un paiti-pris outr; de
l'autre, la perle d'une aulono-
i
De" plus MonM-nr Wnnvon.
danses dpches des 5 11 25
Janvier, prvoit avec u .e cei
tuue assez apparente la parti-
pr aire que I imp
amricain enserrerait dava
tage le moi de entier el rend'ail
par consquent invitable le
maintien de noire situation .h-
uelle, sinon son aggravation.
Ecartons donc cette seco
possibilit pour demander son
mol celle qui lui lait penda
La ruine politique denosfu-
eurs laisse.de son ct,la place
i une prsomption prsentai t
un double aspect : vu notre po-
sition par rapport au Cinal de
Panama, il se pourrait que, pour
maintenir l'quilibre entre les
ntrts de l'Atlantique el c
du Pacifique, noire pays con-
nt (tes propositions d'uneCom-
mission internationale.
Il n'y a aucune lmril
mire que les Etats repraen
se contenteraient de limiter h
ction collective dana h m n
icii de la neu'rait au pi
gographique qu'occupe notri
ile, sans se proccuper d'i
dre leur conlio'e sur nos acti-
vits nationale--. Nous nous vei -
rions donc affranchis dsormai
de toute ingrence IroissM
libres de nos mouvements et di
l'orientation de nos aflairr^;
on mot, le nationalisme
'occasion de se rjouir d
afin dbarrass d'un coup
ractationa diplomatiques el di
- eto spcieux du Conseiller 11-
nancier. Ausx' bi< n. c'eat le veto
Lque nou^ torino: s tous, t
nous sommes.
Ici, nous posons le point fi-
nal, qui sera un point d'inli
rogalion sur h quel nous a
DS II Tlgil inec des pair (il
cette nouvelle ind
ainsi qu'il est juste de l'api e
comporterait-elle en elle-nu
tes garanties morales de sa du-
re et les condi ous matriel
irer contr
choc en retour de nos mla '
qoe p
Philippe STEHLIN.
ime Bppai ni i u
jeune lilic- ; elle ca me
Irayeura
bouche sain e lui on
conception imn
ne).
Ce tut jeu H 11 lvi Fer
la 2me le,.
I" cf. L
g. otte figurativi de celle de
Loin des. I) s [milliei
grottes sont difie
monde pour qu-
ia gurison so enl
detous:ilyen
1 0 | i ol e,honon i
la prseu ..
du ciel Roi hera i
' ^ i lillin ton ils
eaux sali
De plu
ai^v, chapelle trop < .
mais simple et i
Quand on so
mations proj le
vieil hpital mi ilaire t
tjet, on ni peu
rconnaiti
reus a t le choix de \.
de Lou pair
de cet El ment h
lalier. La b nd cl
de la \ ierge el
grotte.par le .
qui lque in ans fui u
ment difiant.
Ji udi n ~,
en prsence pom la i
lois depui
du h I
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de l
et d
t ai
lu ttCl
ics et de l'attil
e i
.i
:
I
lia-
eau,
l S. .
li ai
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t part p
tans ton!
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tout bien Appropriai i
in I cliiru
i Je l'ai
i la ltedu i >ur,
rron exhorte l<
: ne pas d
. le prtre nni
i suprme aup i
rs m idi
|
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uni les services i l no
ainsi qu tn
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pi irea.
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bre des t.: dadt j
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mo rs qu'il
' id pour gurir tandi, '
, ou bien '
ceci vaut m
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. '" son j si -
p, m :in:.
infirra i
i'// hatien
es q i
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- i i
I
i ne le siear Liio
ne I pas pailagenx ea
urne. Avec rais >n.
I de lu 11 lvi ier
'il publie dans r [ e
> ou\, !(. eQ e||(.f au
'"''' nerce en parti*
^t plus r< -p,:i-
k lis 11 ai ions i k -on
Auguatina Loi h id,
te d'adul(r*. \li!
!S peu galants, ,es
sonl dites! Lu no'e
s* i h n
i marital, i n-
! I< nient la siu i i o i .
s mot, dj (cre
Que Mo isietr
B i iM.ui t ni ne,
t n i .rau sous le ciel ..
^'ti la re jour u i bu
. notre b inorabla
p rval. Iloris-
> i tout mu de
i < m- u une
H il la.;c du
(Di 8 le ras
b. Duper-
t.o e i viserait,
1 >| Q II ll(ll)S-
'I t ni''! une
i i nill i ne | ei sa
je m son*
i Ire le nin.
. c r j'ai su
n i ire, n ail le
M ,
: p us rien.
"a s Ami. lesCa-
direc (meut
1 ir incoi i upti-
ident Vincent,
t prei vei a
1 ap| la concussion est
i ordre d t ] ur d ins le Nord,
r lordonner uns
enqu e p H i les n s| ou.
i blani ;
i souliers
aux pour dames, les
de soie, les ca
l I (bll! t'ill.) !,
I i le, li i pardeta*
' i iin, leag ir-
ii c'< si pet dre
de ne p. s se
le aux Grandi
'/".,"' //.'/ Auxil i.
i
is
doses
'" ont llecti-
vemenl [u' sept heu-
i que les cals-
icerls sont muets partir de
minud, i oup po-jr
i ' st . omme val
I Gii ral
lO sa
I /< irait n.r .,c (,ue les
soal plaints ref
d'allnr
d p r
: i lin iucIi i,
o i 9 La I) -
oit y a ordre.
iet
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loi:
i;i GENERALE
Le qu'avec
se li de la
N itionale d s
I ( r, les cour-
us pour Caba-
i S liut-Marc
oui ces points
est dus les piuis n
2 1/2 p, m.
MIELLES
.
rua
' ,\s AISV
m a 1 .ub.-si-P*-, l'AKU
LE MVH.N -23 F-ner I
umm
SER/ICE NATIONAL DWIKE
tl DaUlSTMCE flbUjJt
SECIIJN DE EtibLMtc'iuil
{[] DE U PAOPASINDE
D'HYGIENE.
Bibliographie
ON BMIAnit DE SANTE
riHiSUJlk Ef MULE
O
Cinfrenca d'Hygine
et Cinma ducatif
Mardi, W lvrier 1932,4 5
hi ires 15 exicteuieu, aura
tii i la Salle d'Amitoinlede
l'Ecole de Mdecine lu cou li-
re ne mensuelle d'Hygine,
ac -.impagne de projections
ci lematogiapbiques.
Les parents et les iustitu-
lejn y sont cordialement in-
vits ainsi que la preste.
tU CONSTIPATION
On doit el oi peut viter
d'tre constip.La constipation
est cause par la vie sden-
taire, le manque d'exercices
physique, l'usage abusil de
l'auto, un rgime alimentaire ^
ralliu ou trop couccutre.tout
cela rendant les Inteitins pa-
resseux, leuts se contracter
pinr se librer des matires
q l'ils contiennent.t'est la ma-
ta lie la mode, trs grave
pourtant dans ses eflets el
es complicalious (abcs, lie
m irroldea, obstructions), ma-
11 lie des dames et des jeunes
Milles qui rpugnent ou qui
oublient d'aller rgulirement
a cabinet.
Les aliments digrs laissen
dei rsidus connue le bwi
brill donne de la cendre. Le
rosi lus pousss par les cou
tractions plus ou moins tortes
de l'intestin,vont s'.euimuKr
daus la dernire pottioo de ci
lube m s'arrter un peu plui
haut. Mais ils doivent lu
i j -tes au dehors toutes les
2 titurettrgulirement, sinon
ils se durcissent, se | ulretieui
et produisent des gz malu-
donnls, Les microbes qu'il*
contiennent fabriquent atoia
des poisons qui se rpandent
d uis le sang. Cet i mpoison-
neiiieni se mauilesle par ueb
maux de tte, l insomnie, le ,
latigaea, la dpression,la ni.m 1
taise humeur, la neurasth-
nie, etc.
Se librcr"les intestins uni
ou deux lois par jour est dt
ncessit absolue pour se bien
p .ner. Les purgatils^et le
lixulils ne doivent pas tre
substitus-aux tions de la
n iture, que provoquent ailnn
rablenient la pratique des
bportaet^t'USage abonnant des
Aliments vgtaux.
Voulez-vous rgulariser cette
loaction et combattre voir*
i mstipation ?
' Allez au W.C.chaqui matin
et attendes patienmueut.
COLOilH H C' IX
( LIGUE GOLNMEME )
i l h )ne : 2323
d QS ses no,, n..-"--
. vr.ges ; Le Cln.ni n du
Iheun, Keatez Jeune:
iL homme ne meurt pas,il
te tue t. Cela,on le sait depuis
que et chacun va le re-
. tant,sans grand prolit pou.
, i nue. Mais comment
t homme peu il vivre, bien
nvre, ei io igiemps "' On ni
i uns Ta jamais si clairemea
nibi utilement explique que
le Docteur Victor Pauchet
d os ses trois b es ou-
du Bon-
s ) ei
iVnlanU. Dposaoi un ins-
tant sou bistouri sauveui
i'minent praticie i -> laii i>^ i
au grand public des rsultais
de ses rflexions et de sa lon-
gue exprience mdicoebirui
gicale.Nous ne rechercherons
pas si cest 1 impression di
lumineuse evi leuce qui se
dgage de ces ouvrage, ou e
sisie. (amilier dans lequel u
ont crits, ou bien eucore tt
puissant souille de vie, te dy-
namisme qui! exhalent,qui
a le plus contnoue a leui
tonnant su ces. Un lait ei
certain : ils ont reucoutredaua
la monde entier un accuew
que conaisaent bien raremen
les uvres ne ce genre,et l<
., nomme ne tait que croit n
Une autre constaiatiou s un-
pobet l'observatiou des iegu
1,.- ur ilaracoai.Voy
98. venant directement d
New-Y irk sera ici le 23 crt.,
lOntlo B le m ne iour pour
Puerto-C ilombia, C irta^e i
i ristoba Qaa il Z i le, Kings
ton etc.
Le maniteste de ce norvi
reu par avion est h dis > I
sillon des clients dans no,
bon ue Egalit
et Dantesque t m :hes.
William E. BLEO
Agent.
m^mw* ^""< aMHMn^^naMvaaA as*aaaaa
Un dentifrice
n'est pas
un remde
i es Haute autorits
ent 1res lo prouvent.
jLZ PAS .LA PUISSANCE"
Par la brisure du Ple.
1 La pointe en mtal protge
ton re le renflement o i la
l.ri-ure du p'e.
2. Plus de lumire.
3. Plus longue dure.
I. Economie relle.
5.Traits exclusif.
MTAL CERCLE
PAS DE CIBE R0 i
La Beaut est
prcieuse !
pri ut
' de vie que prconise le Ui
' Victor lduchet a ressuscnei
flD pombie considrable de
malheurttti pour qui exis-
tence tait un supplice.
Une .< rescape , une ma.
iade sauve par l'enseigne
neul d tre, a eu Iheu
reuse ide d'extraire de ses
irois ouvrages l'easenliel de
cci enseiguemtnt. fcous le
une Conai i i et Penses du
Docteur Victor Pau h b,
archer a group les aphoiia-
nes pai quel ceiui ci a
exprime le plus fortement s.
peu set.
route p rsonn soucieus*
ie sa saute i de o bouheui,
iout pre de lunule, loui
i ucateur doit avoir coustam
meut ce precien* .petit livre
sous li main.
Aux ditions J. Oliven, > \
Avenue de L l* > a donuai
pans ( ViL)
[je* promesses de gurir h s
maladies des dents et des ge
lV, s r,u-riii de grands tort.
Rcemment, un homme cl<
science bien connu a lait l*an
lyse ce i boratoire de plusieurs
I). ns aucun d'eux
,i n'a trouv aucune propri
mouvant [urii la moudre m
a i nts.
Il n'y < seulement qu'une fonc
non qu'un dentifnce peut et
doi! i i avec succs. .. le
mcanique des dents
' i |am us prie id
us. Mail d a procl
|U ,, ; mit ux tes dents,
, i mou se i : u
,,.. s les moindres i" -
lit crev s> b d s dei l- t ch s
let unpUiels dan un lioi tl
tei ^tut.
Col jate rsi fait aussi en \
i. I i l'on Ire
La concussion
dans le Nori
Notre conlrie" Les Vnoalei
Capoisea , dans son dition ti
'.0 lvrier, dnonce vertemeil
la coneussion qui, dr.-il, eut ;
l'ordre du jour (fans lei nord.
L'acnsstion est grave II a'aji
i ait d'un personnage olflciel "
qui exigerait de chaque Mag>s*
Irai Communal de verser uni
valeur de CENT gourdes, poui
obtenir son prors-veibal d'-
laclioD. Et comme le dparti
ment du Nord comp'e JScon -
mmes, c'est une surniie di
2.800 gourdes qu'auu encais-
ses le "personnel ofBciel'*
dont il s'agit.
On n> peut SnppOS< i que DO
tre conlrre ail avanc pareils
faits sans en avoir la rertitnde
d'autant qu'il s'adres e, |>our le
re il ressment qui s'imposa di
rectement au Prside ni le la
Rpublique. Il appi i il ainsi
que l'atlaire, qui trouble assez
vivement l'opinion |n:l)li
dans le Nord, di pSStl If cadr
rgional.
Si comme le demandent Le-
Annales Capises . une soq
est ordonne, on arrivera, p
et i p, ;i connatre les aateuia d
ce ;e vaste opration de conus
u qu'un gOUVl i iiement sou
cieus de s'i dignit ne peut le
leur.
Un curieux
procs
o -
C'eal celui qn's ntent i\ I
ut, M. Duracin V w I, bd< i
dont la fonction *ln -
n m, ei \> i; d'u
i,,,,,., e la Magisti i re. \ .
;v;ii soutient "u co i i u
lue di cet e loi, pai co s-
uel l'illgalit di su i< voci -
ion, el <'< l sl i 'l; '"'," "
il m. Cassa i aurs si | ro-
nonce
.. mmissa re nu Gouvi i
h meni a i om u fl l'urecevi I
,u- de la don mde. L'aOaire en
est a cette phase. *'< stlend
l'arrt du Tribunal Suprme.
EVEREADY
..1.1 M
i.ami'I s & BATTEWM
_ elles lurent tongtemp
Patentes dans le monda entier.
\,\2 '
I evur
>* Ihux WfH ^^
lb,Huele ITniveiait.l'ariH.
DMvi vint L)h LA LlNn .!>.>
UU Li FcVHiEH ItWi.
Le Diamant de la Hem-.
remire partie... l'--ul Ifou-
. i de l'Acadmie tran tse
h armements de l'AHera
e...
LTmproirue Elisabeth Au*
nicha,- I. 1837-1868... Maurice
o ogne, de i Aendem tran-
se
i m, CI D rmie
,e< g I taum, d
A d mu h ais
L'EspaRne Musulman*. H.
. rveil de l'espnl national..
ous Bertrand de Acadmie
ranaiaa.
[j(. prlude del'-ftYrsiv Alle-
. ,.,t. ( 1905. Camill. Bar
en '' Il itu'.
Silhouettes parlementaires
\1 Andr Tai dieu... Fid is,
Po-.ies : A .Molire... Jules
Ti nlier.
I/O .te la Manque.. Michel
i sow.
\u^, vn.' Gan lens, sculp-
i. ,, in Gnral ''e
( !.: lu Un
Notes et impressions
i n !" Iioln r.
I', ne littraire. Les aven-
., es spirituelles de Saiote-
Meiive... Victor Girand.
Des 'ivres SUr l'A. O. F An-
dr D maison.
Revue dramatique. Made-
moiselle... Rei Doumte, de l'A-
cadmie franc ise.
Hevue musicale. MaximiU
lien... Intrim.
NE PLAISANTEZ PAS
AVbC VOTRE
TEINT
Ne mettez aucun savon sur
votre figure jusqu' ce que vous
sachiez de quoi il est lait.
Le Savon l'almolive est ddle-
renl de beaucoupde savon, eu
ceci qu'il ne contient aucune
misse animale, aucun sud de
n'importe quelle qualit. 11 est
lait d'huile de palme et d olives.
C'est pourquoi le savon Dahno-
live est garanti pour la peau la
plus tendre. 11 est si pur que
20.000 spcialistes de beaut
sont d'accord pour le reconi-
ni.iiuler leurs clients.
Tic Ut ment de Ihai.t
Chaque soir... chaque matin...
faites une mousse crmeuse de
Savon l'almolive et d'eau. Avec
vos deux mains, massez-vous
bien la ligure pendant deux mi-
nutes, faites pntrer la mousse
dans vos pores.Maintenant rin-
cez compltement... sches en-
tirement, mais doucement. 11
donnera votre peau un ton
beau et jeune.
Vrifia si le Savon Palmolioe
i/ur vous (ulule: a la band
oire avec le moi Piilinolive
en lettres dores, lenveloppe
verte et le hceaii rouge-
si
JEUNESSE, oigutar,
charme Comment ne
( pendenl-il pus d'un
vrai neltoyatje avec un
: avon doux mais effectif:
Valmoive
I
"*i,e Savon Palmolive
est entirement l'ait
la machine. Aucune
main ne le louche jus-
qu' ce que vous dchi-
re/ l'enveloppe.
iOML^XjM^
ECHOS i
Le vi ut de la rlorme
souille a l'Administration coin
munale de l'ort-au-rrnce.On
y tait des coupes sombres.
Le iNouvellisleadit que.
ce n'est pas par erreur que
la bei veillante circulaire du
I secrlaiie d'Etal des Relations
l intrieures a nos agents di-
plomatiques et consulaires
l'Etranger a t publie, t'ar-
taii.
Nos ministres se repo-
sent sur la conversation du
einporisateur Dana Munro
pour laisser la banque s'en
H*y* : ilier en douceur sur le lleuve
perfide des ralits, dit La
Lihre 1 ribune.
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i heures du matin. Li seule
maison de Mme Veuve Meaux
Alain a brle.
La conlerecces des augu-
res qui devait se tenir veo-
diedi dernier Damieni et
prside par M. A. Etienne
a t renvoye.
M. Fianck Chenet, direc-
teur techuique de l'imprime-
rie de l'enseignement Iproles-
sioun 1, nous a tait savoir
qu'aucun vol de papier n'a
eu lieu la dite imprimerie.
L'tait donc une tausse i'
vcllc.
M. Andr Bonny a t
nommcprolesseur de quatrij
me ordre au Lyce national
et iM. Delorme Alcindor, mil-
tre d tudes.
| Le Secrtaire d'Etat de
lm_.i.u... t, n____ lut
_ Lu incendie a clat aux l'Intrieur, M. Rsmpy, W
, iE.MTIOJiMEI.LEt
i ru
|,,(,-. 'OlO.iU*. lu' T-
i*a*asM>ur -SeraUdes Kt\fkM*2!
i hcvtrf
SOCItHr FRANAUifi
6S. ru* du F x\S-Otnii, PAU1S
Pour demain
I otre dition de de
,.., noire Irois'me article s< r
, i s fr/i lions administratives
art le traitant des
i, ,,y v, i v ci b installs a Dami^n
e> ta li iinen' de la place du
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ne sont pas vendre
o
l n membre du Parlement
amricain a en l'audace de
parler publiquement de la ces-
sion et not Antilles contri re-
mise de nos delt s /Amri-
que.
Une telle proposition son*
lve l'indignation gnrale.
Sous n avons pas lim une
luerre de cinq uns qui a //'*
br lA'sace et la Lorraine,
our aujourd'hui voir nos An-
tilles passer sous un dra/ eau
liaiyjer Elles nous soid aussi
chres (pie nos d parlements
continentaux, bous ne les
abandonnerons jamais.
' *l \ oici la lettre que les six par-
lementaires de la Guadeloupe
et de ta Martinique ont pris
l initiative d'envoyer au pn'si
dent du conseil :
4 janvier 1932.
Les reprsentants jxulrmen-
taires de la Guadeloup et de
la Martinique & Prre
Laval, prsident du Conseil.
Mr le Pisident du Conseil,
Des informations ritres,
de sources amricaine et an-
(tlatre, ont tait connatre an
grend public franais qu un
membre ou Parlement am-
ricain, prsident ou ancien
prsident d'une de ses com-
missions financires, M. Mac
Fadrien, aurait prconis rie-
vaut ses collgues l'abandon,
par la France et la Grande-
Bretague, de leurs colonies
de la mer des A .i les en pa-
yement de leurs dettes de
guerre aux Etals Unis d'Am-
rique. Il a mme t publi
que les milieux bancaires
londoniens en rapport avec
k M. Harrisson. gouverneur
*< de la Fdral Reserve Bank,
( sont partisans de la p opo-
siiii n rcemment taite par
M. Mac Fadden ri que cette
666
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Soulage les mani de
oula neviat"ie en 30 minutes, j
sjurit un r'icj l le piemi
louret la malaiia en troia
jours
666 sauve le bb du fro
' F '
m gn li pu i ;
cemment au cour*- des en
(retiens qni onl e < I
entre M. Lnun hill et Mon-
i sieur Bernard Barnch, I un
des banquiers i an i
t les plus influent
Ces informations ont pro
voqu la plus lg i ind -
gnstionl dans les rte-
nents frai is ri: s iris
lue nous avons l'honni ur il
reprsenter au Parlement na
Les Roses Blanches do
Gilmorc
Mer1 r par 11
Li i a vi-.
:
ni Mit H -,
. i ri o .
e ha il'-'1 i ,:,i,-m )s ( |.u i i
si
i C.VNDA
a reine Pc y
j reprsenter au Parlerai i na franaise
I iional. Aussi \ nus si r ions
ions obligs de nous laire instituant.
, u- n kl- la loules )lN ,,.,.
, llu '-1 i mo.vi,,;,, chez Sjud.i
loonaltre la ti neor exacte des
propositions laid s par \'. M. r
Fadden devant le l'. rlemenl
imricain et des circoi i lan-
ces qui ont acco a ou
Miivi de telles propositions.
\'ous dsirerions aussi s \ i
quelles dclarations le (i a>
ernement de la Rpubli \\ i
ranaise a tuiles ou ente d
ire pour couper imm li ni
ftiailtm
.
I
ranaise a tuiles ou eut d ^
idire pour couper imm b m
tnenl court a di .
aussi coutraires au droit i U :- f \ >
u rnational qu' i mi }. -
e ilm
Htionueile existant ti a
France et les tats Unis d'A-
mrique.
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pon sont labi iqus dans le
iin\ oductii n de l'an ne
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plus de L20 ()Oi) dollars.
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:iit. i s animaux malades,
un lion me du Connecticut a
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quelle il peuvent tre asphL
x s par te gaz d'chappe-
ment d'une automol ile.
On estime que l'Idi
consomme plus de cinq l)il
dons de yards le tissus"Mi
mi annuellement, desquels
prs la moiti est pro-
luite par les lubriques du
pa
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bandits, un nouveau sac
main pour transporter l'ar-
geu mel un Ilot de g>/. la-
, i \ moj te quand il est eole-
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qui le porte.
Le Venezuela a cou truil
une m ute m > lei ne sur les
mont .ns d^s Au les pour
laire j : ction avec u ie autre
seml)' I 'c e i Colombie q;u i
,'l e u n e altitude de
14 001 pcls
|/i s un nouvel instru-
ment i our mesurer l'inteusi-
l de l'illumination, l'nergie
('e la lumire t le-mme
opre un comp eur qui enre-
gistre ouvertement sur un ca-
dran lectrique.
Parce que les coi des vo-
cales des tnmes sont plus
lgres et fonctionnent plus
aisment que chez les hom-
mes, rel ima il inoins d'el-
(ort pour en user, les femmes
parlent plus que les hommes,
d'aprs un s.vint allemand.
Un a pareil d'enregistr*
ment leeti ique a l invent
pour m ;llre 'Vpcuve la r-
sistanc des pardessus au
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passe i ira' er. divers textiles.
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peau l'huile < haufle par
des i lectriques obtenues
tans l'appareil.
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t inventes en Ang'< 'e- re poi r
tie insres dans des murs qui
t l'air chaud d'un building
|uand le veut souille, hair Irais
tant admis sans tirages quard
il n'y a pas pas de vent.
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varits de c c'us peut ; irifrr
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systme de i halliage a vapeur
et empcher 1 accumulation de
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l'exprience de ihan.h es d'o-
praiion peintes en noir, les
chirurgiens et leurs aides por-
tent aussi des vlern uts noirs
pour attnuer la rverbration
usuelle des murs et vlements
blancs.
De lorl cables place dans
les barrires de croisements des
chemins de 1er sont invents
par un ingnieur de New-York
pour arrter les automobiles
qui peuvent s'y |eter, les bouts
(les cables se joignant q ad les
barrires sont abaisses.
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ladics se lenrontrent p: ri >is dans \c lail acln l des mar-
chandes ambulantes, par niii'e lad >it'en tranduleiue ri>i
pollue On vite tout Innuer de c ntamioatlon en l^isart
usa se d'une maque d- l i conserv, de tout lepos, c.a-
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