I7ee
N 60M
Port a ptfau ( mme\
14 ft&Ulst VfM
I0IEGTRUR IPROPRITAIRi:
IVPMMEVR
Clmenl Afagloire
BOIS VER\A
1358 Rue Amricain*
NUMERO 20 CENTIMES
Quotidien
Tant qu'ils n'auront devant
eux que des victimes isoles."Isa
diffamateurs de profession use-
ront Ici matres de liez noua.
Oue tous ceux qui ont horreur
des procds que nous stigmati*
sons ; tous ceux qui. veulent la
libert pour chacunjetla scuri-
t, se donnent la main ' \sso-
cions contre la diffamation pu-
blique- | Charles WAGN'UR
IBLRFhQbS No ,242
Etude sociale sur la Presse
et le Journalisme
1 Extrait ).
III
Excs de l'tatisation franaise
iPourpeuque l'on veuille bien
'lesyeux sur noire organisa-
d la vie publique i n France,
Ifacile le voir .pie toute ijues-
Ipolitique conduit fatalement
querou dfendre le gouwr-
ueul, le pouvoir central
j&iefjol, ptrtu il il est en cause,
[ppuisprs d trois sicles, il a
Ha pu. envahi le domaine qui
|init t interdit jus jue-l, re-
feant toujours devant lui, 'sur
lerriloire de plus eu plus res-
y. des loi ce. di> plus en plus
mantes. Au.jouri;iiui, il pi.
Mrachev si Insi.yvicloire.
""t prend toutes les initiatives,
(pour tous, au nom de tous.
I s'ensuit que partout on I?.
p quelle que soit la question
Ion traite. l\.r exemple, les-
partisan de l'instruction lai-
gfderdtii-ation religieuse ?
tl s cas. vous serez imin.v
neot class comme soutien
Wnaire du g-ouverneinjnl.
eUeU'Ktat a sa doctrine sur
matire, doctrine variable
eurfi avec les dilVrjnts rgi-
.'comme soii action est ton-
ivoxatore, si le genre .lY.bi-
quil vous impose est con-
Jjvos lgitimes volonts de
fiimfle, vous ne voyez.
* moyen le reconqurir
Jjwrteque de renverser le
wnement.
M
lav;
Pnscetexemple entre mille.
,ye nettement que toute dis
JwrUallaires pub......es
"1 ncessairement a blmer
"wer le pouvoir central.
r^'^'lo journalisme pii nai
,",l)n |,a>'s in*i constitu
mtm le caractre que
/* icoonuu d un la pres-
^ul; 0|'(s-dsintresser des
dans'!! .,lq"'s- " bien lu"
\S Cl'11'' "lanire-
^U^ene.q, beaucoup de
g*M assez peu soucieux
fe^l.qu:,et.lse,ui,le-
Rgt .d,rreoednau
' ne. iaViM,;w lanwiiar
Il i!Je ,a ')aMion Politi-
; ^ilroi.ve un autre
M la chasse aux em-
m
ollque alimentaire
IJ^J^iit .le tou, le. int-
RiS? "^^uffire
pte- ||(..''dl ll"iiomlwable3
fcpfiS^^wiled-uiie
,r,',"1 riants du
Ouco:.ui!i les causes de cette
habitude. On sait comm* t l'ini-
tiative des jeunes gens, compri-
me des l'ge le plus l(.n,jre ,,..
I internat urbain, est successive.-
ment dtruite par la conscription
mihlairj et les lois do partage
gal.
Il convient d'ajouter que, dans
une grande partie de la France,
oiie initiatives lonjous t peii
fco nie. Dans ces contres, se
faire une position quivaut depui*
longtemps I, reclierchc doue
fonction publique, civile ou mili-
taire; on n'a gure I ide de rien
crer de personnel, par sa propre
I >rce. en donnant sa mesure ; or.
vient simplement se placer dans
in cidre dtermin, dna un:; bu-
reaucratie irresponsable, o, com-
me dans la communaut, forts et
faillies sont confondus.
Ainsi prpar de longue main
aux dveloppent mis du fonctio-
nari.stn3 et constamment gouver-
ne par un n uveu. parti politi-
que oblig de satisfaire ses amis,
la France se divise de plus en
plus en deux camps, le camp des
lonclionnair.'s en exercice, le
camp des fonctionnaires rvo-
qus.
Ds lors, les affaires publiques
peuvent se reprsenter exactement
per un gteau disput entre deux
enfants gourmands.
( Seulement il m s'agit pas ici
d'un caprice; pour beaucoup.aiwr
uns plaec, 'est manger; la ir-
dre, c'est mourir Je faim.
Voil qui va donner la politi-
que on singulier intrt I
Mais aussi voil qui va faire pi-
voler tout.s les ail.lires publiques
sur 'v seul poin. subordonner les
intrts miioiiaux cette seule
considration : transformer toute
question en nue comptition.
Vous verrez des gens se frotter
les mains, parce qu ; les temps
sont durs et que cela niiii la r-
publique, tonner contre les sous-
prfets en se jurant de les rtablir
plus lard l'usage de leus prot-
g.*, enliu profiler de toutes les
circonstances, mnr du danger
de la p ilrie, pour allein Ire ce but
unique: renverser le goiivern ;-
ment.
IlStl fo n ii> le m il:, ur bagige.
Aussi la presl est-elle la Provi-
dence de la bobuir littraire.
uan I un j'nu.' homme a fait
le ds s.ioir de sa | miille par s s
folies i n'est pis rare d,. le voir
tout d'un coup devenir lu gui le
de l'opinion publia; i . fombien
de respectables douairires oat
pleur d'moiion, en lisiui les ar-
ticles brillants o qu -Ique m m-
vais sujet dieu lait le ii me et
I autel !
Le public francli-; niorl tou-
jours l'b uueion d' 11 politique,
l.'n fois que vous avez d :ouv ;rt
l'appt qui lui convient, vus es
maiue d'en laire ce que bon vous
sembli.
Dans un [nys nemblable, la
presse est mioemm ni dange-
reuse.
Kile devienl f ici le m ml un in--
trtimentde perversion.
Sou influence ne peut j imais
tre salutaire.
Ksl-.-,e dire qu'il en soit ainsi
partout ? Kaut-il donc proclamer
le journalisme corrupteur par es-
senc, nfaste, detvi.bh? Voyoas
si les I iih vont n > is r'">) i Ire,
Par Cable
N luvelles ^rraufires
Un grand match le boxe
NEW|JER5E) acourad'un
malch i.e Ki,. i t| \\ || n,,| |.,
premier lemp rl uns vutoira d
eiiva au Rme round par koockoit
qui le Jigoa c i ntna I versa ire pro
bible de ! >mpsej p ,ur I : litre je
champion do moiide.
Discours sensationnel de
lonl fi.-ililwin la chambre
des Communes
// suivre )
\\\
Parisiana
DIMANCHE
l'n aouveau Gala
Le lp Rouge
d'Anatole Praoce adapt par Mau
rire de Marsan interprt par lei
clbre : Sti/dinie Doive, Cirris-
liane Vernoii, Georges Laooes,
Maagin ix Jmu Dax.
en (it cls
Entrs g. 2
Balooa :
?
14 Juillet
C'est aujourd'hui le I i Juillet,
fftte Nationale de la (Jrande Rpubli-
que franaise.
Cette date voq ie pour l'humanil
toute entire, I souvenir glorieux
de la rYioca, port" flambeau de la
Libert et de 'a Justice, -font elle
est la Gardienoa Slle etjalnuse.
A oatla Seeascd lei ls|atiaai et
consulats ont art) >i" leurs dnpejuc.
t?euvi,
S de .. ''*' i( l")'"' l
feetia "1 K t"'S
lSe",eie"t de mulli
'*irt
emplois
""''ne sans rai-
r"l0Ut s,l ""-. mus rai-
!^
Ils refltent Isa proccupationa
de leurs lecteurs.
Sans souci d * intrts qu'ils
dis'.uteiit, ne les connaissant pas
d'ailleurs, ils n'y voient qu'un pr
texte diatribdSi ou dithyrambes,
ou railleries : ce dont il s'a ,ot
pour eux, c'est uni pi'in Mit de
rendre leur paiti iinilre du pou
voir.
A celle li 'so^'ii de pilies ou-
vriers kuflisent. I >.i n l'ur de-
manda a n r a I e m e n t ni
honorabilit de vi . ni lvation
de caractre, ni tudes srieuses ;
un style clair et bien trempi I in-
ve;live vigoureuse, l'a-propos des
polmiques, voil pour un journa
L'tat de \v'laoonslo
ne sara pa3 i sec >
On tlgraphie de Mtdtson ( \Vi>-
con ) que l'Assemble lgislative a,
par 47 voix SODlrs t3, repouss |*ap
pliration de lu loi de prohibition le-
diale dans son Etat. Cette dcision
est semblable celle prise rcem-
ment parl'Btal de Neir-York. (Matin)
Le Conflit du Rgime sec
dans l'L'tat rie New-York
Ai.hany. Legoaveriieur de l'Etal
de New-York s sign un dcret aluo
gant l loi de prohibition conlbr
mmeal la I gislali n vote par
IBlal de N* York, Uo'aavaol tes
autorits dePKlal de New York as
veilleront plus i l'application de la
lui de prohibition et cz sera aux aulo
rt?*- fdrales qu'incombera cette
tacb'a i
L0N1>RBS BdJwin a prononc
a la Cingle des Communes son
discoun tant ntten lu. l'ont d\d. rd
le Pre nier minitt e a insist sur le
fait qu'il n y a\ .il qu'un point du
problme des rpartiona sur le mj
lea nilis ne l'entendaianl i>hs. relui
de Bavoir quel serait le m-illeur mo
yen de rsoudre la problme dont la
solution ost vitale pour I tus. Les n -
lis n'ont jamais mtrchaad leurs
edorts pour assurer cette solution.
Ls fouveroamenl de 8i Majest sera
guid, coiiimi le cur du lu France
lsera, et rela SappUpjA lOitS n.is
allie, par l'uni |ue dsi de voir | ib
lister entre I s nali mi qui ont aouf
fert ensemble le solide bn vouloir
et voir que ehicuoe d'elles obtiea
ne ce qui lui e| ,|. Nous sommes
aussi dtermins que n'importe le-
quel de nos allis, obliger 1-Alle
nrtgne rparer l-s dommages de
la guerre qu'elle a causs dans tou
Isa les m sures de sa capacit.
Nous irons mme plus loin en di
saul que nous somin s prta, ainsi
que nous l'avons dit en munies oc-
casio ta, a. e nplojer t uls les mesu
res ncessaires pour contraindre
1 Allemagne h piy r t .ulVe qu'elle
peut paver. Toutefois, sa lanl que
nation commerants, nous avons
conscience que si nous de.-iian.lons
l'Allemagne de paver phts qu'elle
ne peur, nous n-? russirons pas. D*
le dbut nous avooa clairemaol lii,
qu'a notre opinion, l'occupiti n de
* Ithur ne pourrait pat produire le
miximum de paiement sas rpara
lions pour les allis.Kn ja ivier non-
avons BOUnfh Paria l'oirre que nous
ro.isidioiH comme un rglement
g i.ovux aiiii d'viter tout ce qui
nous semblait un dsaelra cooomi
q ie. Celle oflre lui r jets al depuis
ous nous sommes tenus a l'cjrl,
loaia toujoura anims d'un esprit in
cre de loralisma Palliaaee quia
i et qui continuera tre, notre
i ii-. la prineip de ac irisi de l'Ku
ro.
Les gouvi roemeuta fianais et bel
ge non SSSUrsal <\ ie leur seul ofa
j-'i en oc jml la Rhur tait ds s-1<
soi r le paiements de* rparations,
Si c li est, la diilivn e entre nous
a i i qu'une diffreace de mthode
pluii que d b il, nous sommes con
voii'ii. que la coiitinualion indfl
"i 'I esl l il de i \x>- .t remplie
d<- dangers. L'Allemagne semble
Benainerrapi lemenl i ra lech i -
ionomi |u lequel sera neat-trs ra
pidemenl dvi de i i ruina lad .s
u ielie el soi iale
' I ml pins psiaa ince prodti lira,
' pye s'puisera pi ri. uemenl
,|,:| crdit m a retard.L opini n
publique en Kurope, t lurtoul en
Grandi Brel ig te, commi ,lar
mat de la ecatiouatloa ssci u titi
UOQ^ Cesl daus^ces circoastauces
que le : nivern im
i reconnu la m;. .--:- d'agir, lies
eflorh unis I .... u ,!, lenta pour
n r iv i h rea fins. Vous n'oMisa
di m-, pis la pti\ e: le reteamnl
qui l.ii v'ou auivr tant qu'une so
l.ilion n.- sera pas trouv < a ees quee
lions : le paiement dos rparatioaa,
la rglement des dellea inlarallias,
la scurit de I Europe pacifi*-.
Bn p isrsuivanl ces buta, le gou
vern imeul de Si M je?t pense ai
h u h ap diar la France el la Belgi-
q le .!. leurs ravao lictliona lgales,
o il dsira eo iprar avec les allis
P ur lea obtenir,msia nous dsirions
aller de l'avani si uela s,' peut et en
liuir si la chose ssl p Slbla. Dana
la ralisation da leur amiralionset
en vie- de l'amlioration da la situe
lion gnrale, no i< Mp4rona obtenir
le conc mrs de li France al de la
Belgique autant que celui de l'Italie.
G ira i "n mi ,| i. i,.s g rotera*
moiis franc us et belge ne sont pas
disp ua a ]>> n Ire I initiative d'un
rponse, qaoiqoa nous eassioni ap
pr cl une action aemblib!s de leur
part, no is avons inform res deux
giuvernem nlw ainsi q le l'Italie,
que mus issuuurions la respoqiabi
lit; I prparer un i-insmu un pro
Jot Ja rpons. Nous soumettrons
aussitt que possible ce projet aux
Sfiis pour qj'ili piisse,,! I tudier
si fifre leurs remarques. M. Bal-
dwin coacl il p-w un appel i l'unit
dactioaen vue de la pacification aie
I E irops el du releva nenl d'un mon
de puis.
M. Cuvtii donna devant la edup
bre des loi- U lecture de la mftme d
clsral m. L impression gnrale est
faite su toul de dception, car la
q lastioo de l'occupation d-; la Rhur,
de la rsistance passive, est reile
d mis mm certains mesure sans r
puise. Du,, fa..- mi gnrale, elle
est considre comme un neuvel ap
pol k U France pour qu'elle subti
lu ta m ithols celle d* ngocia
lions.
L' Jlemau;ne el les Allis
PARIS -'Quoique 1^ texte du dia
cours du Premier asiniatrs soit arri
trop tard pour aire soumis aux
membres du joui .rnameol, l'imprss
s "" ,,'>, l.....on nages iuterviewa
-i a In I alemenl aarsable. L'abaen
se do i iule indication d'une aclioa
par ie a pro luit !e meilleur affet.
Us note ivec satisfaction l'avertisse
jn nt p ) i m .i-, ferme dofin l'Ai
lemague au aujel d s lgers diff-
rend- saisi ml entre les alite.
D" prl lu Toogetkvie
PABfia La eliiiinl.re des dputs
h vot un pr jel d'un prt de 300
millions de ni.....s a la Yougoelaiie
Pi is voix oooIra 04,
Aprs asor vot le budgal des d
pans i couvrablas, la nambra el
le -en u m ml ajourns.
U Confrence de laustnne
losp indue lemporairemeot
L\l M\V. La 0 Mener de
Ll"- I lem orain ineal sus
peodut p i o.ita a un nouveau diff
rend sur les concevions Linlersea
lion des Ktats l nis qui dsirent aau
|arder le priocios d u uort yq
LE.MABi.N
r-*-*
verte, n'est pas trangre l'arit
des ngociations. Les dlgus am
ricains ont adress aux Turcs et aux
allis une protestation contre les pri
vilges accords des Compignies
briUnniqus et franchises. Un ignora
aneorc quand la confrence 9t.'ra re
prise.
One mesure belge
HRUXKLLES Le ministre de la
guerre a dcid de retenir sous les
drapeaux les classes 1921 et 19S1
eu raison de la ncessit de maiute
uir le nombre des effectifs belges
dans la llnur. Les troupe; s'lvent
10.500 hommes
1 ch;Heau de jorn
en aotivit
L\ H\YK -Li retraits de l'en-
baiser I i n prsente depuis quel
qui' temps une activit macontumee
On \ observe de frquentai arriv.*
d'Allem ign donl ls p us r -entes
sont celle* du prince K'tel Frederick
et du do dur II if irichi x ministre
des Bonnes! de l'Empire.
En Italie
HOME La dpartement italien
fo l'immigration a reu BtO.OO.ide
m in le de sujets italiens qui dci
raut migrr aux Etala Unis.
One iolervief de
MllS.'lkill) P.icil.l
.IKKL'SALKdUn gouvernein -ni
arabe indpendant pour la Paleati
ne,r'est le minimum acceptable p >ur
la population arali a dcid Muta
ka un Paoha, praid nt du conseil
excutif le la l'aie tine arabe, dans
une iul rvievi donne la veill* do
son dpart pour Londres, o il s ef-
fore ra d'obtenir la reconaaLsanee
wfltift
L's Cours
r S
*. s t
,i\KW YORK 18 France
Sterling
PARIS i.t Dollars
Livres
ir, s7
4,5888
17 06
78 i5
r **m
Conseil d'Etat
Compltant notre compte rendu
d'hier de la saaceJdu Cooseil d'Ktat
nous informons qu sur la proposi
tion du Conseiller Dansons le vote
de la loi qui rglementa l'importa
tion, l'expert ition et la fauta dos
toxiques, narro'iqucs a t suspen
due pour tre repris la sance de
lundi.On est a l'article 11 et oeil loi
comporta trente tion articles et un
article additionnel d laseclioo.
Avant do isver tu sance, le Con
seiller Pr/eau. rapporteur de la sl-c
tion de 1 Intrieur, mdgi sa dd
mande n'avait p i <1 >m n. lecture
du rapport a ai a norme le S cr
taire d'Ktat de l'Intrieur d'acqu rir
un immeuble sise rue le la II nui >n
l'iraiuoplie au pilais >!; minuteras
pour causa d'utilit puli i
espre qu'il a la suspension d;
l'ordre lu jour la sennes de luudi
pour pr dune ce rapp >rl.
Le rapport ainsi que le projet de
loi q ti vient rgie, uenler l'ouveriure
des roules et ruas soi la voie publi
que avanl t disirihu. la diacusiioo
viendra immidi de ne il aprs le vote
de la loi sur las lsion is.
-suiSiGS, Mn&iiques,
C&nvalesoents
vc ,'erouverez les forces perdues en prenant
j/EMULSION SCOTT
t tonique par excellence, et trs facilement
tble, proprit qui la recommande aux estomacs
a.<
: ius dlicats.
Cour d'Assise*
Condamnation mort
Hier a t entendu l'affaire Bel-
lau llclande accus de vol arec ef-
EhtCtljn au prjudice de Lelio Tous-
saint.
Le Doyen Darau prsidait le tri-
bunal.
Ne l-naid Rtymon, Mini-lre
public; Jury \. (i ni-l; C mseil de
1 acm, Me N'.tifrv.iis. rat lie civile
Mes l iviollu I dlin.
L audience a ete des p'us intras*
saules. Kn lin de Compte l'accus
reconnu coupable, a t condamn
la peine capitale.
LU'.di comparatra devant la
Cour d'Assis s, Arislobuie Mo?e,
londde piuvoira,SOUS lt prvention
d'abus de CO liance au prjudice da
Dr Christian Nicolas, de Dieudoon
Louis, LouisGuria stBmm.OdiId),
Kti33ignement. necondaire
classique 1er cycle
Les examens du 1er cycle ont pria
lin, celle semtine. Sur lai 33 lves
prsents par le Petit Sminaire
Collge Si-Martial. :i1 ontitadms.
Le Juin tait ainsi compos :
Sous Inspecteur Cassus, Prsident,
Victor Ualbeau, A .Soray et C. Fer-
na id, membres.
Nos compliments aux laurats.
A farinani
La fle il linr soir a l'arisiana a
l un viai rgal,
Allai a de IV i Unes a chant avec
cette expression al ;e brio qui fout
d'elle une eaotalrio i de premier or-
dre.
Dana la Alla da rgiment surtout
Attela a prieur au* dilsltaots un
charme d s p'us Agrables.
Le prsftsaaur Basse aussi bien Ira
taill C'eut un m iltre Calasato
feroale mrite d'lrs ru C'est pa
tant.
Complftn ut a slmi Allais et n
professeur Basa,
Effets adira
La sous igns dclare avoir pai lu
deux r.'l'pi- es > s212 el ItOs'a
vaut la somma d fi. T7,Hel
130.18 mis en i tvenr l!i si i; ms
dcd.
l'Oit au Prince \1 Juillet IHJi
\>e Jh. StKOME
IL S Mavy News
Il Juillet
Sugge3tion3 britanniques
poar restaurer la paix en
Chine)
wvs.iiv,n>N-ii ,,U(it qieia
Grands Bretagne a inggerd un plan
pour une aciioo conimu is par es
puitsaness alin de resta irar l'or Ire
ei Chine, en faisant le police ds
cotes et Ue l'intrieur au moyen d'u-
ne forts gendarmerie chinoi'.e. Les
chinois u ont pris aucune dcision
au sujet de celte proposition.
I espartss cau3ss par
le oyelone Paraguay sont
estimss I million
MOSTVID80 Trois jours de
tempta et inondation onl eccaeion-
n la ville el aux poils de Moilvi
dso uns perte qu'on esli ne un
million de dollars.
Le baron Kvance l^oppse en
tat d'accusation pour
haute trahison
BRUXELLES i.e baroo Kvenc8
Cjppeeqii, pnlinl la nuerre. til
pilleur de propos! lion S ds p.ixde
l'vllem igu aux Crmiers mini tr s
franoais et blg-i, a ; auvifd*
vani la Cour le .lu lias BOUS la pr
vonti >,i d'iutallueocearse l en.iemi.
Cu es Rteiimaiiou
Sance du 13 Juillet 1923
ItlOeil si'olaircs
No is avons dej'i prsoil nos con
plimants aui laur les des Bravais
simple ei suprieur. Not nous
raisons la plaisir da fliciter d'une
I'hi' m pai tien liera pu loues anaa
d'entie elles dont les noies trdiuMnt
suprieures leur d mnaol une pi me
l oit < ds distinction : nous nom nous
Mas lemoiftel as libert Mayard. Aile
lins Maaimilian, Honamy du brevet
simple et Josette Salomon du brevet
suprieur.
Nonscr >\ons savoir que I > l)par-
temsal ds llnstroe|ioa t'ublique pu-
bliera prochainement les composa
itons franaifss les mieux cotes.
A sa aimas d 113 courant la Com
mission a tendu, en premier lieu,
les sa n tance j suivantes .
Rclamation in'rod i le Joiah (ief-
frar I el concerQ nt le py une qui
te trouve sur la proprit des dame*
Laroche o il a transport p r
ordre du Dpartement des l'rav ux
Public, pour servir de mitaudr.-
paau, alors que 1^ Palais N.tioatl
oeeupait la dite proprit.
Me GeflVa d ayioi l recoin i
proprittiiedu pylne pir
dpositions de tin lins, l'Etat, pour
indu-jouissance oenlnt but an ,
est con I tm i a l.ii piy-ir, en p'ui
des t&i d-) hrs 6J u nlimei, m n-
tint da l'evtl iitioa du pfiie par
1 expert Dort, la diffrance rormmt
au tola cinq ce.its dollars. Soit iOO
dollars en i\h et 303 enlilce S krifl
B. Le paiemaat de la valeur oonsti
tue un litre da proprit du pyl'me
po ir l'Etat hatien.
Affaire i-itroduta pir II. Bdcirat
concaraaol une crance de 10,999
gourdes, 98 centi ns pour feuillu
d'appoiatemeoi salon ro-piass
dposs. L'Etat est coadami pa-
yer la dile valeur. .Soit, aprs c in-
version, i i% dol, 07 doat Q)9 j7
cash et 1 iiOu dollars en titre.
Affaire Flix Visrd, concernant
une crance da 600 dllars p ur
ses frais de dplacement de PaiU
Londres, comme secrtaire de L'*Jta
ti >n. La 6'ommisuon a lun < 300
dollars I -s frais de dplacement d ;
reprsentation ata l'ancien secrtaire
de la Lgation Londres t elle a
coud tmu l'B al t\ lui payer cent
dollars ea cash et deux cents ou ti
Ire Srie B.
llcla-.nition introduite par la Western
Electrie Company et couc< rnant un>a
crance de 2olH dollars M cents
pour eff'ts vendus au bar au des
Tlgraphes. L'Ktat e>t condamn
payer la dite valeur,soit cinq ca itl
d x huit dollar soixante dix neuf
cents en cash t mille cent dollars
en litre Suie B.
Affaire No 139 i droduits par M ne
Vve Lunirliiiierc Denis et cousistiot
en u le crance
trais ds funrdlles dj son mari, vice
pr-id-ml du Tribunal de Cassation.
L Etat est co idamne a piyer la
dite valeur, soit aprs COnv rsion.
cinquante dollars eu cash et cent
cinquante en titre Srie B.
La Commission a pass ensuite
l'audition des affaires affiches.
La Commission a pass c isuits A
l'au lilon des affairas affiche*.
Holunitio.i No 0 iniroluile par
William vlor/ui et concernant une
crance d< i,300 gour le* pour arr
rages de sa ponatuu de retraits re
montant au 1er Ueembre L9I8. La
Commission, en vertu de la rcente
dpi^che du Sicrliire d E al de la
Justice, limitant |soa ae'bn aix r
clamalions pendantes jusqu'en Mai
191), se dclare incomptente pour
statuer sur I affaire.
Affaira Uucis Viard consist nt
en arrrages de sa pension. La Com
mission, pour la m^rne rais m. s'est
dclare incomptente p nir counai
Ire l'affaire,la c ance commenant
eu Novemlire 19 8.
Relamation Ho l;i6 introduite par
Mme Sey Cayemltta et concernant
une ordoeede quilre vingt gtu 1 s
montant de 20o|o de rata m vr |,,
pension de son mari. L'Ktat e-t
condamn payer la dite valeur,soit
aprs conversion, seize dollars.
Affaire DagramoD Jena consistant
en u ta crance pour travaux publics
excuts en 1901. Me Morgan, le
luindttaire, a demand le paiement
de ta crance q ii comp irle deux
puties dont l'oat a t eds ai
na'-rii Liriux Dgrann. La <^)-n
m si.n a l!ii acte \ Mi Mirgin
d ; s 1 pu DJ -se J i pra l lire l'acte Je
cession.
Uk-ia nilio'i iiitrolu'te par Vil
Lan; n In ick rapr wenl pir Ur Prs
80 r. Ls naihtiire lit avoir consul
t le registre l-ieoi'.es avac le
eo iseil la G mvra imint. Il a trouv
lt crance, 'e* feu'iles -t leich'ffrss
lap > ii s- d;va it cinq mi le cinq
cent trente trois guidas. Affaires
entsn lus.
.V't lire L mis G iMliume portant le
ninn Iro 51 L' r limant. Minent,
est appoint v.-riiier le registre des
crances av c le C'onieil da tiiuver
ne tient.
K'clamilion N > ti intro luile par
Ho i!i mn l et concern uit une crao
cid cinq cent vingt gourdes pour
a.),ni itamintsdj jastica.MinUUlra
\ir Pr.ii-oir.
Li C mseil S'en remit .1 l'esprit Ai
loatbsda la r.imn'Siiin, n'ayant
t ouv. lin-, la rcpiss obin
aiHsuas traea pmr avoir um opinion
pers malle.
A (Te ire No 33 111110.11111". pir les
hritiers (il ilhier Minoi et consis-
tant n une crance s'levanl au to-
ta- 6 S ooo gofdas environ pwr
pr vision- fouroiai au louverncme it
en IBfto. Mmlitiir-M; Il idicoirl.
Me ilonliis conseil er du Couver-
n un int, a dit, en con ;luuon. que le
Conseil v iqii! contre la rclamilion
1% grands prescription qui pse sur
la crance d'ail aursr jeie. au fonl,
par un arrt du Tribunal de Cassa-
lijn reconnaissant laonstitutionna-
lit des article' de la loi oppose
dans ie temps l'admission de la
delte. ( ie c'e-l en vain que les nerf*
tiers Mnes lisent que U loi consti-
tuions Ile gir.intitla proprit. Au-
trement son eieroi.e est rglement.
Las miidils dont sont porteur^ les
hrili rs Mmios. comportent la men-
tion pay' 1.
Me Hudicourl a pri la Co mission
de cunsign r dans son "record" que
Me Montas n'a pas oppos la force
juge a la rclamation.
Me Montas, au nom du Conseil a
protest contre 11 tendance do li pir-
tie adverse h fra dire au Cous il ce
nul n est j un us de son intention.
On ne peut pas faire une pirmlleeen
lie ia ion dnns le plumitif d^ l'an-
dinee et pour eiuse. Il a deintid
la1 onm'ssiin de ne point faire
nomme la dsire Me II 1 licourL n'a-
yaitjimiis voulu laisser entendre
q 1 il o qiosait U force jugJe h la r-
clamation soumise sa juridiction
spciale.
Me Hudicourl de rpliquer qi'il
tait, si eell, parfaite nenl d'ace >rd
avec le Oonssif. C'est p iur q loi il
tient a sa requte.
Pour mettra les pirties l'accord le
Prsident ibsl Lg -r leur a dit que
leurs rpliques dj M leigosi leur
donnan< nmples satisfactions.
Me II i licotrt n entuits expliqu
a ix msmbrsa da lat'o nmissioa qu'-
on ne doit pis oafoojdre la crance
de Ciuliiier Vt 10s avec I-s effets pu
bues nsgociiales, pour n'tre pas
des feuilles d'appointeraints, ni des
bons ou contre-bons.
Four ce mil s'agit de la mention
paye, on pourra procda iu
mvestigaiions. On verra aWr,
nance n'a pis t acquitte.(VI
une diffrence entre une otj
qui porle le timbre p^y et
porte la mention acquitte, m
avait prsent le raandut ^
ment avec \? timbre pay, 2L
vait pas eu le temps de toast* j
vnement politique l'en 3?
eb et la preuve se trouve
fiit que ses hritiers sont 1
possession du mandat de _.
non acquitt puisqu'il se trosni
les raus d'un particulier dont
clamalion est debout depi ||
gni-e aux pa-sion* politiqnsas
lchaient pas leurviclim.
M 3 Cirvington. inte-venial,tl
fait pour remonter le courtst'aj
saut ses connaissance* de \\
dure la dm mstration de 1*1
tas, "..-lit pirj renanire la* sa,
an poinlo v m'ait ei venir lit
smI. Ma Tu lie jrt l'acoilriielW
cisiM', sius pi ie l"ili)siry
lasresu insibililsqii s'ensiiivnjd
La Co.nmissioa. les laits pnaj
a fait consigner q-i'aprssvsiri
du las parties, elle se rserve 1
libr.
Kt la -mee, vu 1 heure m
a t leve.
Air Maumus remplacsl
visairemant Mr Mord
sionnaire
C.'.-l I.- t-impalliique Monsinrj
J. Mtiumu-. Bcr-vt-ur g^nlj
Boun-s. qui, depuis m
ci charg de l'office du <
Financier, devanu vncantpari
d.- Il dmission de MrHirl.
Varits
DIMANCHE
I Grand Path Revue N Il
t L"n dguis'rnent m
( co ni|U 1.
l'.\ La Ci :ine, grand drinw
partiel.
4S l 1 mil d: Taldy,
Knlre g.Mi-*ral G. Ligilj
Lej doj.i saxes en A
terre seront gauxif"-
lt divorcs
Loxnt-s 8 juin.Pir ii
outre 2'">. Ii Clumbndei esi
ns a voti cal apr-midisa I
simj lectiri un projet d-s sul
mis par le m ijor Bolwiitle, *
libral, projet de loi qui isljn
plus h m point toutes \ Ai
qie l-mrs maris trompent, sj|
ont h cruaut da ne pm H
les empchant ainsi d'obeairM
virce. .. j
Le Matrimeniil causebiiu
voit, en somn, une rensioii
ploie de la loi de divorce b*
qac, et se adversairw 000J
prtenlent qussi elle est apjir
din^ le Kixaurneloi. ! *J
et l-is Vnglaise peurroal >
se quitter et se reprendre""'
aiiJinentquo leurs cousine c
Atlantique. .
Acluellemml, une fenmeM
obi nir un decree nuiiin
de divorce ; que si son eqwM
manque de fidlit d*abordl"S
fait preuve de cruaut
oirabanli.nedfinit'v^,
l'n homme, par conire.Fj
mander le divorce coalrt "
ds que l'iulidlil de cette<"
est pro ive. .. ^
Il va lo.c injustice. j
fministes .. ^HSl
plus fieiiemj.il le divorce
lemms !
Les adversaires du proje
proiioncerenl des discosr
Le dernier des onM-.
.rrand-srb-vaelfsjgn
lescons.piencc-de'eduHJT
aurai graves.die* IheaujQ
la femme fut tr* mj^
L'ass -inble n'en votai'"
bili en Iroisime lecture-
L Einpi'w"lvier,5
Prie Ls personne "J
Cubadevenirsinscn ^
rhez l'Ag nt. l''>rJLuA
dmarches* I H.^eB|r;l
toucher ce port p rie P^l
critsoulr Mi'Mf'lw/it-H
l, piecUMUl0AfrH
UMtlN
, BELLE PTIliiiE
a duz jt ois :r : '
PILOUS ORIENTALES
ta |t*#* tfd dvl Ly'L' >t1r< -
**,.!, gr*UUtUtl kt Mk
k ritiorot In MUm hhim 4m
1 paum i donnent nu boita un
pMtroi nbonpotnt.
m flir*-'----'"* f **
IvwMa'W*'!"11' -niJ'cni
J.KAlf.lt- *. M^EtliitaHr.nrn
>K
2S&|
v4,
1 hniU< MM Hiriw;
fouvemi'iil It's ffavir.'s
! |^b tapeur Cirna arme nnjour-
(Je.N'-V A
aajourJ'Ii >i p'-ur les porta du
L Posidon venant de llaw-
, Amsterdam, Anvers, Cap-
pri*, esl arriv aujourd'hui en
la pour 8tatingo de Cuba. Man-
ln, Kingston, Puerto Btrrios, et
[ogston.- Auront venant de Kiugs
l et du Su', *' attendu ici au
nJ'hui \i
ni pour l'Kuio -. Le Klort
in de New York If 12 du ert.
elejwnt pour Poil au Prince,
iquni itu milieu de !a semaine
Suite.- Agamemnon est parti
jterdam le 4 a I.
&S(UorgaH )_Iju"- New York
inl'hui 14, directement pour
M Prince
(Bogota) laisse New Yoik lo
liment po w Port au Prince.
quai le 'i.
Avis matrimonial
jllOUnsign 0. in| Oslin dcla-
public u'eli'i* (lus responsable
licU. et actions gnralement
ikoaque de mon pouse ne Lu
iTirnol, et ce, pour cause des
tfv>$, en attendant qu'une ac-
w divorce lui soit intente
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Bulletin No 2yl
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mZdfqu 're9SeDl ntrc h,S,0,re nR,ion", el h enP,eignam.nr
ledirenes ona^?U*S ab?olTeni no"veau- ce, * o.oa,
l*h!-! i ?P frojel*r des ,am,M insouponnes sur les laits de
1 histoire hatienne et a en renouveler compltement l'enseignement
Le aupplinent du HmmO offre actuellement, titre d'avant sont
des fragments qui ne feront que confirmer tout ce que noua venoufde
dire de cet OUtiafavdont voici les grandes divisions :
i orne 1 remlcre Priode
I Les Oiigmts
i Le Peuplement amricain
3 Les Inu,ru-
4 Colonisation espagnole
'i Chrouologie de ia 1re Priode
'l'orne 2 Deuxime Priode
1 Le Peuplement africain
2 La Colonisation franaise libre de Sl-Domingue
La Goleniealioii Franaise administrative de el Dominne
4 Formation d la Race hatienne
5 Chronologie de la deuxime Priode
Tome 3 Troisime Priode
I Us troubles de Saint Domingue el son .Indpendance
Le Socit Hatienne r
3 L'Expansion Amricaine en Hati
4 L-Avenir de la aa lluilic.ine. Conclusion*,
o tliroiiotogie de la ] roisicme Priode
L'ouvrage sera rendu en librairie Cleo. GooRDna le volu ne
Un APPaL eat fait aux paraonoea qui von.traient aider,
cnption, aux travaux d'slllloua suivant* ; P^iar|eoue
La collection des .1 volume. : Dix GouRoaa
Le to urne spar : Ql.ATRI ,
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d.-. artre Paa1iU*n>t1 0
relna. Ira varier* cl l'obrait* dot
liminer !'** d'aride uriu..-.
ce. r-c*on Ce notre orran>*me,
et f..lr des cure rgulire*
dURODONAL.
lave le sang
. l'Indication principal'. < J*
tr*l^..r... dt I 1*1*0 "^ ""*,* t
a.,At tout k '',? r,rrtrt
HMIOA, on devra, avant toute *at.
chose, lutter ?vr1*>"'1T'r . d'aildi
utmmnt conti-B '*. ment en a ^'
ure dfciu rdrcantHOT en emi>lo>ant
l'Urodonal
Prefueuf Fivm.
rrt de en .m I UMNfMi M-*n
Cm Chsteisin Vaincl.r,n Psr'S
l W ph"f*
i ;rho S""'!l. """'
ciernr.
frmmr
DlALIROi. i r HNM-i
'lli;JB>no. CardiOPMlUM-
ralfies______
Vaillan- fi Nouai 1/fliH gi'
aifi7JUMMtfe MigMin da PDat
Grand Htel de France
0t par ta situation unique au rsntre /> nttnim M retommwl*
plus que iawn au public et nomhrnt* et distingus mmu
dnur fa CUISINE soign* et tout le c\nm tnbl*n*CM*ur* out Yogi
genrs de Commerce et particuliremei' aux commerants de passage
a Port-au Vrince.
L'ittcl dbile m** Galtom # par
1 Bariqws des Vins de Bordeaux
llouqe et Blane.
Ces Xin viennent dircct>m
fus de routm nous pouvons l* prouver par d*t CsMWIGAla <7
roui /no '< toujours la di*PO*i*M des Clients.
Champagne et Vins Mousseux prt*
modrs. Conserve moutardes fran*
ait*. premier choix
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^Etablissement di li h vit
Pharmacie F. Sjourne
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biologie appliqu sous la Uiracou du
Dr Ricoi et t. Sjoun
Le labora'oira es^ouvdrl tous les joui de 7 lue du matin 0
Qeures du siir pour toutes les reenerebes et anaiysea pievueg da. s
l'aunoQCj ci joint-.;, saut p j ir la
tasser .!;uu et U cousuald Ure*Scr rie
Serval rejues que la mardi de chaque semain .
ft'adriMV ia Pharmat pourtti rtutagiwinwtr
Analyes.d'urinen et Sut gastrique
K'acinu de WatMrnitDa
Haciion de Tnboulei,
tUdiiien du mu; e du pus
fc.xauen d inalires ltales
xamcn oe araefti-;
A Hmmmm \e ti r
1 r r.-an'e l rr &* taUe
hechtrche SpinhUl et Lv de wrrovf*,
La maison tope Kivrra
Reprsentant de Barton $ Guestier
[ Bordeaux )
A\>e 9% ditnlle qu'elle liouvera en s'rrk VUw bltBfll fi ro*p
ffoa pir If tipeuf "Mtitioiqii*'m barriquri et n <^mi rr
Que*, Vin4 ^nea^aaHi Me\toe Soprlrui S' JuHan Si 'mi'iTi
Prioa* Noir. Si Ratpto, PonlalCarai Chaieu PenUI GaaM San
Ifrne*. fir^ei BamBC thuieau Mirgan i | at.^u Li'>ur. iabliv
obaiaiu \qoenii Chatttn LaToof .Blancha. ( Irtniber'in. Peauur,
Pommai d "te.
\jtn V'nabl'nc*rirnuffM an bimqoea. co-^n^rativemenl leur
u'it pont d'il > fiix ttirmtn ent b, n ma-'ch*.
Un sont livr* ave iouljs les garanties de conservation.
I Maison rC m n anHe BOtai v ?a r.ln:al il I ai- CoBJeiis
m v-Dore danoi.s de qnwltt''ir t"trt> t d .'n prii dfiant 'oute
jurence. HaNM 0AIHlbS MlLh KAPORf % operhagne.
eau
Si vous avez
eu froid
pour viter
un rhume,
Pendant le rhume |
pour viter
une grippe,
prenez quelques Comprims de
RH0D1NE
"USINES duRHNT
Mayliants? Dupont
Agent Gnraux pour Hai'i
m
Voici une (mue rgee de 79 ans
qui a t gurie de M4 douleur*
rikulaires el DORSALES.
(
MADAME W1LD nous crit :
" Iiepu phnicum auues Jt souffrais dt
tcrriblrs doicurs dans le dot, dans ti.ut l*
corps et dans tous les membres : je ue pouvais
->!us dormir ni marcher Dr, j'eus l'oceulM
acheter un fl.Kon de l'ilules De Witt, et
h\ premire dose me pnmN un soulagement.
Aprs un essai de trois Jours, je me sentais
tellement mieux et mes terribles douleurs
antrieures m'avaient dj quitt'e A un tel
point que j'tais devenue comme une autre
femme. Je suis If* de 79 ans et, A l'Iiemrt
actuelle, Je me trouve en parfaite sant."
8-J, Worpole Koad, Wimbledoa prs I.oi:'!re.
I^s symptmes suivants hjlUniWaH tous un
mauvais Mat des reins : douleurs dorsales ;
enflure des pieds, des bras et des jambes ; urin
trouble ->u cuisante ; douleurs dans les muscles
et dans les articulations ; gnbt dsagrable
la bouche, une sensation gnrale d irritabilit
ou de dpression morale Tous ces maux et
toutes ces douleurs sont l'avertissement de la
aature, vous disaat que les reins et la vessie ent
besoin d'tre stimuls.
1> tmoignage spontan le Madame *BJ
fait ressortir clairement le fait que les I'iiulc
De Witt constituent le meilleur remde pour
viter ou gurir cas terribles affection daa
reius et de la vessie.
Les Pilules
Le plus grand remde du monde entier p~tr
es rhumatismes, les douleurs HnTusa. la goutta,
a raideur des articulations, le lombag* la
pierre et tous les autres dsordres provoqu*
par l'affaiblissement des relus et de la vesiie
l.e Ptlala* I>e V\'itt sont en raai d*M loulea
les pb iiinacies du moiiMe entier. Le grand
flacon en contient s fois 4 plus que le peut.
Si ,vous prouve/ quelque difficult lavons
procurer le pilules snthentiques De Witt "
adreswi-vous au rendes visite la -''-
Albartipi Rvald, Part-an Prt*e*.
w
I
!i
> k
Prenez le temps
S vc vous que 1* forte majoritadei mal*d
n'wi'i.-nt pas dans le domaine de 1chirurgie. Cacitaj
ti.re i|'.i elles ne sont pas causes pu des tua*an,ys
leur; v dplacement des organes.
vois nue les malaises ordinaires *t lt psjsj|j
temps fort simples out des symptmes uts simfluaJ
ceux de cas jemandant un opration.
Savez vous galement que beaucoup de fens,]
jeunes filles souffrent inutilement d* ces mslaisti! kl
plus i-lles risquent leur sant" en laissant ou il
continuer et s'aggraver.
Si le mal est pris h temps, c'est k dira j*Mtfaj|
p:ii.-iiers symptmes bien de* maladie* striai*
t-it dvilci.. !)ansdescas de douleurs pr^odiquat, i
:.iua.,;i't.,ci.ui>er\ciix 1 Composition Vf^Uk*tUjs*|
t. P!i kl-.-ii cevrait et.e |>iis sans dlai. Ci
est prpare avec soins et dans dos ronditiou 1
idales vt :st niiicincnt tu d'herbe* mdicinaam B||
entre aucun narcotique ou (Irogj;- dans sa coropaiiaC|
p^ut tre pria en lo'ite Ittfati
i ...... .;..<>! ut- pas e**avjrf ee nifUcainaat
Composition ^gtok ]
de Lydia E.Pinkham:
uvr. r..i-:Mx:Jirs Moiei* co. w,
Sa
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