L^assums .Vo 4175
Port U Prmee, Hati
Mardi 6 Septembre 121
jUUXTTEUR PHOPRlillRB.
flmant-MAGLOIRE
IINOMIR ^OCKNTIIIES
mm
im
Quotidien
Il faut une grande pr-
somption ou beaucoup
de lgret de conscien-
ce pour prendre de gaie-
t de cur la respon-
sabilit^des choses hu-
maines quand on n'y est
pas oblig.
Ernest RENAN
REDACTION. R .a amricaine No, 1jo
mutm
LA LOI LECTORALE est inconstitutionnelle JOutyiits Noies releve; dans le
Rapport k Receveur Gral
'slections de 1922 pourront tre
annules de ce chef par le
Tribunal de Cassation.
suffira pour cela de l'action d'un
oupe d'lecteurs intresss dans
ique circonscription lectorale.
Ucessit de modifications immdiates
r du Conseil d'Etat.
des Douanes
Exercice 1919-1920
Une anomalio conomie
lie
est encore temps d viter les plus
jjraves complications politiques.
124 de la Constitution A partir de ce moment, le Scrutin consl tut'onnalit de la dite loi '.ec
\'*loutes les lections se feront n'est plus secret, et le principe cous- totale de 1919 (article 99 de la Con>
H* secret i. titutionnel est ouvertement viol. tilubon), que cette loi ne constituant
[M'uneloi constitue la loi du Ap:scette premire violatioa, une plus ds lors la loi du Pays, aux iei
ItoU qu elle soit dcrte con autre suit immdiatement. Lorsque mes de l'article 127 de la Gonsluti
4 la Consl.tunon (article l'lecteur remet son bulletin au pr- tion. les lections qui auront et-.
Constitution ). jsideot, celui-ci doit l'ouvnr, le lift,.faite* sous sone.npije sc:out nulles
1 loi lectorale du-tAoti*^,1 lui en donner lecture voix basse, jet non avenues.
Mtttie de piOt^cr l'lecteuri A voix bassetsi charman. Le naf Gt'e s'tualioi peut donner lieu
(contient un article }6 abso jlgislateur de 1919 s'esi-il riguie
Icontrane au principe coosti-i qu'il sulfnait que celle lecture ou
do scrutin secret. bulletin de vote fut fane voix basse
Mm ne constitue donc pas la
TMux termes rrme de l'ai*
Jj7.au pacte fondamental qui
Mu.
JitsciM.en ttlst.que l'lecteur
liie son vote ou le faire crire
iMnd l'lecteur n'aura pas
rae son bulletin, il deira
niquer au prsident qut lut
**l*cture voix basse.
Ma premier meabre du Bu-
:iux plus g aves compl catioai poli
tiques.
Nous esprons que le Gouverne
pour conserver auscrutin ie carac re ment de la Rpub'ique, prvenu a
secret exig par la Constitution ?... temps, saura viter au Paya de telles
! compilations, en prenant ds main
Il ^'ensuit que l'article *6 de la leijtcoai t 1rs m sures ncessaires pour
lecto'ale de 19:9 est en contud c ,que le Coase I d'bt d, mme sur une
tion 11 g a: e avec l'article 124 de a conocation 1 l'extrsordioae, appui
Consutuuon; que cette loi e>i. par|te a la ioi de 1919 des modifications
consquent, inconstitutionnelle ; indispensables.
Le rapport noua apprend qu'un
quantit de prs de trente million*
de livres de sucre a t exporsdani
!e cours de cet exercice. Il n'ait pe>
trner*ira ae supposer que !a pic
grand* pirtie de ce stock, pour m
pas dire presque tout ce stock r<
prsente In production de la llay iar
American Simar Company.
Otte Compagnie, depuis quelque
temps, t'ait beaucoup parler d'elle,
prcisment depuis que la baissa du
sucre sur les mai cites trangers fai.
* ntrevcir que lus deux ou trois exei
cices brillants qua la Sugar a eu a
enregistrer aeiont probablement su>
vi8 d une priode dficits r*. il faut
uldrs aviser, et nous voyons, par les
>nfoi mations voisines de la liquida
tion et de la panique qui nous uni
veut depuis qii"lqu*>s mois Je New-
Yoik sur les indurs de la Socit,
avec quelle aitenticn aussi fbrile
que tardive on essaie d'aviser, au-
tant que le permet d ailleurs, l'tat
ns affaires la ve.lle des prochai-
nes loulaisons.
Mais c'est un point de vue plus
lev, parce qu il est plus national,
que les atianes de cette socit in-
dustrielle et linaucire nous iute
ressent : au point de vue qui non-
occupe eu ce mome.it, de a* proruc
.ion expoitable La situation, & c
joint de vue. mise au regard d
X10O1U conomiques qui ont couis
j.aitou', constitue a nos yeux un<*
noomalie que r.ous allons exposer,
sans grandes prtentions doctrinales,
1)8 1 10 profl des Icteuia que la
question peut intresser,
qu-aucune loi ne pouvant droger a
la Constitution, la let re de cette
Constitution devant toujours pt-
valoir ( article 26 de la Cous 1 uuoo)
u Tribunal de Cassation ne saurai.
- r-----^.* m .11. mu. eu *-*** - .- ----------------------------
iabord le votedel lecteur. | h. iter une minute a proclamer lin
Le Corps lectoral dc-narde en
out;e qu on revienne aux garanti.s
de sincrit de 19:7 par la piscoce
dans ies bureaux a : voie d un le.
leur reprsentant chacun des candi
dats en lutte.
>n de la Presse
LT!*kurs de animaux se sont
' <**x bureaux du Matin pour
l* dcision relative l invita
Jf fasse de Honelulu. On
* projet d une lettre de ili
,a" Prsident de la presse de Ho
ri*Priant de transmettre au Con
l*hfoni
Varits
MERCREDI
Vlnstinct
D aprs la pice de Kistmstker
regret des journalistes
* pouvir se taire reprsen
U
ot
* intressants travaux,
'prsents cette runion.UU
\iu Nouvelliste. tiruc Dr
,,:;- 'jiur Lanoue, du u
iJT^m D. Vieux, du Courrier^
n Clment Maglotre,du Matinale du Tigre .
lie
lie pisode
r La pluie ayaat empch plusieurs
r c.lieu s de voir diinautbe le 0tt eP'
Reprsailles du
Commerce
Par suite de la dcision du Gou
vernement d'appliquer la Loi de l'ira
pot sur le revenu, ies commerants
on dcid d'augmenter le prix d*
ver.te de leurs marchandises.
Oa devait s'attendre une cons-
quence pareille; toutefois, cous atti
icn. l'atieniion de l'Administration
'Sipirirure pour que celle mesure
;cte hausse ne uepa>e pas ies bornes
et shn que le psuvre hibitrnt n'en
50' p?s encore l'ternelle victime
l'accord pour dclarer que ce p*v*
wst en tat de prosprit cononu
lue, tat qu'il s'agit lors de co 1
wver eu essayant de l'accentuer le
plus possible.
Lorsque des ngociants tablis eu
Hati et y ayant if> aige de leurs
uincipaux intrt?, exportent de^
lenres. c'est qour en raliser le
o
' hinge, soit de la merchandiae,oU
les espces, merchandlses et es
pces qui viftunent en Hati mat
riellem^nt. ou constituent, l'trsn
xei par. contre valeur, un crdit en
tttveur des n^go Jsn exportateurs,
qui. par profession, l'utilisent d'une
faon ou d'une aine pour les be-
soins de leur commerce en lleiti-
Voil un ins dont ou peut riirn
qu'il reprsente on lment normal
de notre commerce, un cas o le
r'''. le miel, le cuir ou les bois
hatiens sont appels jouer un loi*
ians l'amnag-rrent du bien-tre
tsconomiquo d'il nti.
A t'aide de cts donnes, dtOMP
lous.nous hous quel point de vue il
tau cousidrer les oprations duuj
grande corapanniesucrire.quipien l
ies cauues a sucie de no plainas
ta plus fertiles, lus mauueuCiouue,
es convertit en sucre dont elle ex
un la msse, non eu vue de l'e-
.lianger (tranger contre de I ar-
gent on contre d'autres marcliaiidi
ies qui. revenues dans le pays, cu-
raient ainsi augment U puisaai ce
d'achat liaitibnne ou le crdit ha-
tien, mais en vue d me.Ire tout ce
suce la dispos lion du tige social
de New-York, MM itfrii de retour,
esst dire que laigeni frovananl
des ventes reste I eliaogei
La 1 1 i-1 lit* commer'jiaie de Cu
bti considre daus les temps nur
invux, set, en grande partie 1 oeuvre
de sa production sucrii'io parce
que cette uvre se taliBe daon d'au
trs conditions que celles que nous
venons d'exposer. Les grandes coin
pa^n'es d'exploita'iou de la canne a
bUcre sont des oi bcamsines cubaine
pour la plupart, tt ont, dans tous les
cas, le :.<,< de leurs inttu Cu
ha; elles sont li lances par il.s uan
ques nationalor. et le produit de la
; I tranger des sucu.s co-
pairid Mvitnt (Juba sous une for
me oa sous une autre' entrani ainsi
en li^ne de compte di>a les le
uifiii* qol delermiuent Is balance
lomin ic aie de ce pays.
Le suce hatien, au coutraire ne
i.uo aucun rOle diiit> la balancecom
uerciale d'Hn'.i : encore une fois, il
sort du pays dfloltteemeut, sane
stprit de re our euus aucune tortue.
LVconomio politique saine not-s
apprend que les produis h achtent
avec des produits; ce qui signifie
que le bien-tre conomique, poui
un payi, consiste pouvoir payer
les uiaichaudiees qu'il reoit du do-
uors avec celles
mesure d expdier son tour an
dehois Efl d autres tenues, le si
vices commerciaux d'un pays con
siaieui tlieoriquement et esseutie1.^
mant daus l'change des produits.
S'il arrive que, daus le cours
d une puode donne, ce pays a re-
u du dehors pLis de produits qu'il
n"'.-u a pu lui-mme exporter, le re
subut d'une telle activit commer-
citie est considr comme fiant d'vento
lavoi'bble et ou dt que la Palace.-
coin netciale est d-favorable pour ce
Il lanC alors aviser a comblui
le d> licit conbtate l'exportation et
i ne pas le laisser se rei.o;Ve.ler
sous peine de courir littralement
la ruine- Tout le monde Ht d ac
cord Mir ce point-
Inversement, si la balance com
meicu'e est' en lin d'exercice, :v ,
rable au pays considr, c'est--dire jet les marchandises que nous irnpor
s'il a pu arriver (lacer sur les mar tons doivtut .re payes su >jovh
chs trangers plus de piodui'b qu'il, d toutes nos ecti-s expo.tniione,
n'a du en importer, on est galement moins le sucre, mom la canne.
J 011 ie M. .u d s 24. 30 bo&t d M Septembre
I E MATIN
Brlenieut
11 iti brl ce maltn, apris Us for
mslttis Uzaui ;j ojo gourdes de billets
retraites dis anciennes animons.
Ntus rappelens au public que ces bil-
lets seront compUtenientdmontisesaprrs
6 heures du soir. Un brlement suppl
mentaire aura Iteu sitt la rception des
stocks de province par la Banque.
m
Noua pouvons donc dire que le
march hatien ne lire aucun profit
de cette dernire exportation. Lin
ouitrle agricole de la canne rend, il
est vrai, dans le pays, quelques snr
vices individuels, en assurant le p)a
cemeot dea cannes de quelques
rendes habitations et d'utilisation
d un peu de main d uvre. Mais II
en est ainsi du cal, du miel, de nos
boiade teinture, du coton qui toot
vivre une grands masae de travail-
leur! et une proportion d interra^
diairea indispensables. L'industrif
sncrire ne lait, cet gard, rien d
plue.
Mai, part ces avantages indivi
duelg, nos denre d'exporfatio.j ren
dent au march haitien le service
essentiel de l'enrichir, puisque leu-
ralisation sur les plac* trangres
dtermine l'entre en Hati de nou-
velles rtcbMMa, diiia lu sjub eono
inique du mo*.
La ricfnsre rsultant de la ral
astion des sucres de la Hayian
American Sugar Company ne ren
irent pie, elles, dansje pay*; elles
restent o elles sont ou vont ailleurs.
De l une snotna ie coooroiqni
grce laquelle la paya est const.
lue victime de sa proiucHon. an
lieu d en proticer. Toute-iprit srieu
pensera hvpc nous qu'il faut rem-
dier nne telle situation qui n'est
pes sbua pril Comiiien :'
Pot au Piince, le 4 Sept. 1921.
MM. lesDiecteurs du Nouvelliste
En Ville
Mes chers conLres,
Vous avez publi dans votre di
Septembre
tion du 3 Septembre courant une
note inexacte in iiu'eaL'atiaire Cor-
dasco a.
Vous avez, sans doute, lu dans le
t:rops, auesi bien dans le c Matin
que dans L'Essor , les dtails de
l'a fi ire en premire instance.
Les eftoita d'un intermdiairr qui
ivait essay de tous les moyens pour
soutirer de l'argent Cordasco s'ttnt
briss contre l'application saine, im
partiale de la loi par des juges corn
pteuts et incorruptibles, l'on a re
cours votre )ouroal poar uo. nou
veau genre de chantage.
Il n'est pas vrai que Cordasco ait 1
jimais touch mme un mois de
loyers. La vente de l'immeuble taie!
dans les conditions que tout le mon
Je sait. l'Etat,
CROYEZ-LE,
POUR LES
ENFANTS,
n'y a rien de tel comme
L'EMULSION DE SCOTT
Nouvelles Etrangres
PAR CABLE
PaRIS 2 Les lgionnaires am.4-
ncins clamas oar I* foule son
partis I h h. 50 oour le Havre ils on
t SHlua la*ro Dar y||. Bnnnd
Barthoa Bmerick.Le marchal Foch
sait, l'Etat, qui a toujours recon : 17''
gmces de Cordasco quant au paie Plusieurs millie: d'enf n'a da la
lient des loyers. Do le procs 1:1
tsnt contre 1 Etat par Cordasco qui
Seine soutenu oar la cimiN* d"
KVharleas Chi'd.'en assistaient au
dpart dea lgionnaires La
.\'o re lgislation douanu'-i-e. jus-
qucea derniois temps, prvoyait
une prions l'aiportitioj au sucre:
ruait le Dramback qal assurait au
ngociant ayant exporte du 80OT6 le
retour d'une valeur quivalente
celip de c*'tte exportrtion. sous for
me de dduction de droits d'impor
atioo. 3'tait an encoursuemem
wr t uu mouvement d'exporta
tion devant inlluencerUvorablement
aur 110.. e baiauce ooimuercuie. Les
rares usines aoorires du paye, qui
exportaient aiasi, soui le nom d'uu
ngociant tabli en Hati, de tafblet
quantit* de sucre, taient elles-
mmes tablira dans le pav-, de
aorte qu aucun don te n'tai possible
que l'argent provenant du sucre ex-
port dut revenir en Haiti De l
1 l'explication et la justification de
cette prime.
Or, eu ce qui concerne le sucre
Ce la Sugar, nous avons toutes sor
tes d'aseurancea c,ue le produit de
aea ventes ne revient en Hai i que
juste dana l'infinitsimale raejure
dei frais gnraux et dea besoins de
I entreprise; le groa de cet argent
tombe dana l'actif des socits d'ex
ploitatino sigeant New Yoi k ou
a Chicago, e, loin de revenir en
Hati aoua une forme quelconque,
vont probablement en Europe con
tribuer sa reconstruction.
A ce point da vue, il ne faut pas
craindre de le dire, Hati ne joue
qne le rle d'exploite. Il faudrait
aviaer. par une mesure lgislative
fiscale approprie tierd e*l
fcheuse situation d* la prodno'ion
hsltieooe via-e-vis .\ ,. ^ xti^t^.
financires e ..b'ie* S l'eCran^r, 'in
proli' pouvant DO(D0#ni*r le dAcil
que caus a notre ba'auce conmei
Ciale cite exportation sans conte
partie; et Isnt i'autres varfagps
liacaux dont bioiioie l'organisation
dont r"'f pailong
Nous croyons Bivoir, par eierarle,
que, excfoaj' d 1109 disposition de
notie iL'Kibiaiou communale, In 11 a
cne pi>e pu de lie >nce ni de pa
te'itH pjur uax franale partie d* son
pei.-nnii.'' traogsr il m iiamea. aona
prt-,m- >\ i C ro it des ouvrier*
agricoles I' r I* fut (pj on sige
aocibi ti tel pis tHbii *, Il 1 1 ell>
thajpyd 'galsmeatj aeioi toute pro
habilite, 4 uouibre de ctu-^es pe
saut hiu ib .intreii en reprises U un
tsiei
Nou>( aurions nnuvi's grce dt>
Tcriui ner contre pa eilleti faVenr:
aile sucre il* la ilasoj >osH d-toa
DOUe
Soi lu< jrvietu M*u ngua venons de
injiJii'i le'contraire,
1,3 rep. oit iij It.civo'ir n'-nral
de.- ilon.'im OfliiO*, a rg
notie Caf, dei r4dKlo.it tria jadi
cieuaes aur U dimuiu mn d- notre
pouvoir d achat du a la crise que
le caf subit en ce moment aur le
marchs trangira. Il fait reniaiquei
poteuimeiit que .: j^-ya rit puucipa
i t vaincu tant en premire instan JP*rt des lsionnaires La m'jor
e qu eu appel. lEnn-y remercia de l'accueil encore
Le montiot des loyers de la halle i'1 *."* IA8ion.naire8 dont ils garde
Irpuir la date de l'acte simul pass E}t222l 3^' 'eUr ,eri t0U
a veur de Cordasco, alias eS^EKJ^ rfl ,
.o;ePh es jndtf:i. B,.i:^?M
elvt 410Jf dollars. acclamaient rn4r|qne Ls IsgVn
Hi^n que (.ordasco et Emilia |o natre se sontar-^s a Houn ou eut
>eph a>ent acquiesc 1 l'arrt de la'liu u e rception. Ils on t reu*
..our d'appel eu prenan', en vertu
tu dit airi, hypothque judiciair;
ur le bin coatre Pierre Paul est en
Manquant a la Binque une Saisis
>ppOM:iOd sur les 4200 dollars de
fiPiiiite leur arrive au Havre
mairie Pt se sont embirqu sur le
Looold Dina qui est repari senr
te par dea avisos New'oo Pac- La
bous secrtaire d'tat d'agHoalton a
reu Mr Arthur, envoy de l'Aso
oyers encaisss au crdit de celui ci. cittion FofePp aajrjcrm, ,
.ls ont ceprudaut annonc par acte examiner* la ralliement coacu-
a 1 avocat de Pierre Paul
non I aller en Cisssation.
Monsieur Pierre Paul, daas ses
noyeos en appel, a volontairement
leur iote 1 tif aux d
es amlio
plantatians
Bareau de 1 Ageat
Fort au P ince le { Scsi
BULIfcTlNNolT
LeS,SGen W C Go?
teadu i Port au Prince.
7 septembre 1921 Teoiai
mot de New-Yo-k avec:
250 loones de ma
, 12 Passagers
70 sacs de lettres
et partira dans l'aprs
mme jour pour Cristobtl
directement.
0- B- THOI
d'nnn conf4rpnre in'erostionale-
GKNEVE La commission des
Amendements au pacte a abord le
amende la proposition Canadienne
'^ndant la suppression de l'article
10 du pacte imposant aux Etats
lin*.>rvention de l'arme au cas de
conflit et dont la dlsation fraoai
se demande le maintien intgral,
jusqu'au jonr qu'on connatra l'opi
niou des Eta's L'ois su sujet de
l-osjocia'ioo dea ngociations
Mr Balbur a propos le renvoi de.
l'article i la commission des juris-'
consultes pour l'interprtation. Le'
Conseil de la socit a reu corn mu
nicatioo v\\ les alli: d'une note
des Et le Unis relative i la question,
des mandats. Cette note constitue
un nouveau prog es dans les ngo
dations poursuivies dans les sens
indiqus par Mr Dacunhi. Il a t 1 SOIIoSiffQ DorlA l
dcid qu'il n'y avait pas lieu dn'er- -J S0us*7Ue p."e
vrnir. mais dedeminPder aux ilSs na^ance da P-Wl 60
de btir les ngociations de la dfi
nilioi pu le conseil des ternes &t
mandats.
Mr Noblemiiir, dlgu trars 1
a socit des na'iois. a soulev d - .......
vant la commission du dsarmement quelcoiquos
la proposition de MrLon Bourg-or, Port au Prince,
montrant que le gouvernement Irin
iis n'^ pas vari sur la question dui
dsarmement, depuis l'poque o il
susit la confrence de la pi>x de pro
Avis
et du commerce en pu.
qie devant parti'* aonr
ger, Monsieur WADYT
est charge de le procul
'ou'?s ses a liires gn(
'e 5 S'pie
VINCENT G MAI
4. 6 & 10 RueTrai
Pott au Priocel
Vente l'encl
Il sera procd vendredi
tembre 1921, 10 heures daj
rue des Miracle, en ftee da
t"re*tre. i le 1
rations forestires et les
des Landes-
nuycus eu appci, a volontairement' LONDRES- Etant doao les se
oitit dcompter Cordasco les 7000 rieuses questions 'raites le premier
dollars, prix auquel l'immeusl- a convoqu a la runion de la conf4
t l.vi au derniu. E-, la Cot d'an LV]!" ultrol,OQ'eip4ciale sur h
oel a.en tt\:t,condamn Pierre Pau' d**rrai,nent> (i*" Inqueile tous lei ~LTT. -
au rnboursemen de cet e va'wr" pay ' V0"1"/11 ' c,tM ouvrire P0;ill" sembles i celles quil
DVco"da!S a nraiisn J !.i MrrTnt r?fi"t". d"m,nda aussi (p^ente ata Hement. La France ne
i. M pratiqu une sa. q.,e le contro'ede la socit des na "mplit pas pou soa plaisir le rle
lil oppo non sur une somme de tion. soieot tmdu aux manufa^t de gendarmequi est impos parles
4200 dliais. Pierre Paul n'a plus res prives. cncontianr.. n- J rue a -, wr u
oue 283o dollars a lui verser, vafeur WUUji Le gnra. Wod lbS53bJll^^ d. TMgmX -
pour ?urei et garan-ie de hquelle oon. aoo acecotatioo au ooste de du dsarmt lJ. L vls ,avls l'en-an des marchandiseii
ca0irea;ur &T ""^ ** "^N ^^^pV"^^ ^VT^A
Vvo-i de Pierre Paul faisait che8 "nceot que l^ccord frsSe ***** st * La commis-' r ron de fil D0'; ?'
ix^ac.^^Jli?ltl!^!ni Tarquie a , re*8* "csmmen La SI0Q d" mements a adoo'. en l <*"" contenant a8te
rt1 :P larr. et le signi conclusion du nouvel accord a t Pncipe, la proposa on de Mr lou- v,ron ass,el,e$ tmi lel
U UrtMW en vue de lu. ae rendue ncessaire quand le, turcs haux au sujet de l convo'iwi l CaisM con,CDant ,8 deM
des oftres relles quand celui c. lui firent l'objection coi-re les clauses ventuelle dune ^teZ>
annona par exploit d'hu.ss.er son du premier accord ngoci Paris tionale su^ la suppression ou le w machine a tei" ""
tsouoo de lev.r lu. mme l'ant ptr f>kir Stm. Lim* armements 25 W birriques de vin .
pour soumettre au Tr.bunal de Cas J 5o Franaia, retenus prisoooisrs Paris ,,L,iitil.B An Mm Ebrdeiux et divtrsW
saion l opinion souveraine des premiers Par le Ta*. ont t conduit dans d!?. ***** da 5oasei11 Djraeaui
luges sur une question U apprciation de nn Dorl de ''A,le rai"eur pour U L rt^c i; aDt de TAU*et ,es
faits Ir rapatriement, accords hnanciers du 11 aot est in _____________
Vous conviendra avec m^i m-s J*iU*J*f'f9'^m aPr8 d n rouv; P"'es milieux pulementai et comptaient grdercs
chers confr-es, oue l'iateTcs'^u uTo^^'l'T "iS*09 U* "'',f """O" w 6nu:ei et la o*ae en cas de co."
. remis i vot.e ou.n.l note paae AnLor. Laf.s. Z ? " Ver* P T' o u 'o- d meurt.ier du
uns I, aumJo de LfflSB SESVft^fa^jRtS Doamef ELA uf.T Mf M^ .
v.ns a nul reoacigia rieurs en nomhreVavaiet JSV I 7 dr Bma'lf ^^? ,rn L?' PARI-S" L" ,oa,MMM
Veuilui agrer, mes chus confr diflalois centre tonte l'arme are- .nini d, vnVi"Let Kjme xP0lCr le flwe Carp-ntie. reoconreri
' n ce.nbre i Londres le cniO|
Mootbrotl
hncaniej
c, mes salutation dis j gara.
Ptlers K A VEAU
Dite tnt de Li Souvellt haiti
que Les grscs sont maintenant 8j
kilomtre! d'Angora- Avant de corn
mander leur re-raite Iss turcs dirig
rent une violente contre ataiiue
Liliilvers tire r'uutificalc
Aujour.l but at I ami vnsaire de l a
iiiKiiient du pa^e Iha.nt XV au tnhu
p.mlifhiit Sur la demand du Clerg,
le\ Ugationi et L'onsukls ont arbtrt
lUTS couleurs
ue bruit repioduit par que'ques lourd australien Cork,
journaux que l'ex kaiser se s. rut en Le ministre de l'Intrieur M
ui ne Ujurn en jviou pour une des d au maior Flool. % U
' utton inconauf, t dmen.i par ricaine. la mdaille T-
LO.NORBS- MrLloy George en/o un,? depeche d Amsterdam,
yi LonJrea pour communication U dp.h d Oppel 1 annonce
L W?lbrM dU CJ,,inef' la rPn8e qU'ua h'niaire britannique de la
p/b,"',,... commission et son cbiufiur trai-
^AHIS-.'-Lclnv de Paria"dclre as ari es le jo aot p . dOjoeln
qn. le cabinj B^^lnert.,. P de. allemand*.,m ^ ont'^Sme
gent de lre classe pa' I*-1
1 en lus pendant la guerre-
Le, docteur Ernest Dap
de l'Acadmie de MJdecu*.
aujourd'hui. ,
Le ministre de l'Agi a
L3 PEUPLE HAITIENDEMAI
que noua tirons un licence certain lempltcf tait Mr Dnmor t un
JHie.pKUtio.rtuc.h rbnflea aaUnr p-nira.t U por..tsoUls da
om.u-iculluu. serai nul si. nom rgion.T| brBe. H ffaSbS on!
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2
1
la
Trop faible
pour travailler
La vie courante des femmes n'est souvent
lu'un travail incessant. Combien plus ardue
est 'a tche quand des malaises particuliers
leur sexe rendent chaque mouvement pnible.
Le systme nerveux est drang et la vie est loin
detre gaie. Les femmes qui se trouvent dans
cette situation devraient profiter de l'exprience
de celle qui nous a envoy cette lettre:
Uaez Co Que Cette Femme Dit >
Manzaniiio, Oriente, Cuba." J'tais anmique et souf-
frais lors de n^es rgles. Ces douleurs me foraient souvent
a rester au lit. Les douleurs, toujours dans le bas ventre,
taient quelquefois aigus, quelquefois sourdes et je vomis-
aais souvent J'ai souffert de ce malaise pendant quatre ans
avant de faire connaissance par l'entremise d'un fascicule
de votre Composition Vgtale de Lydia E. Pinkham. Je
l ai prise avec complte satisfaction et je me fais un plaisir
de la recommander a toutes mes amies qui souffrent de
mme malaise." Srta. Marina Milan, Calle de Caridad,
4. Manzanillo, Oriente, Cuba.
1*3 femmes souffrant* ne Verraient pu felr* d'Huit
Mla doivent lnilitcr pour I*
Composition \fegetale
de Lydia E. Pmkham
"*1 HNKHH M(D CIMK CO. IV I. V.*-A.
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manl " ex-*anla habituels,
manifeste u:m* action reafle-
riient utile et persistante. Il
abrge la convalesnenoe et
autfiniTite. pour ainsi dire, la
forte de vivre, oont tout le
secret rcside, noua l'avons
vu, dans le soutien des con-
ditions essentielle* de rsis-
tance.
C'est pourquoi nous pres-
crivons les cures de Globol
a la plupart de nos malades,
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trant aucune contre-lndlc-
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