â–
...QU0T1DIEN
LE PLUS ANCIEN D’HAITI
Fondé en 1896
Directeür et Rédacteur en chef
LUCIEN MONTAS
Administrateur : Mme MAX CHAU VET
MEMBRE DE L’ASSOCIATION INTERAMERICAINE DE PRESS!
Adresse : RUE DU CENTRE
No. 212
PORT AU PRINCE (HAITI)
Phone : 2-2113 - 2-2114
BOITE POSTALE • 1316
No 20.135
tBime annit
MERCREDI 16 DECEMBRE 19 70
L’Orientation Scolaire
por Dominique Ltorenzi
(. onseiller - Pédagogique a 1'lnslitut Frangais
Election du premier Evéque
Episcopal d’Haiti
Les troubles en Pologne
Le soucl de l’épanouisse-
ment de l'individu, des rax
sons économiques et socia
les font de l’orientation sco
laire un probléme pédagogi
que trés important, inévita
ble, de notre époque.
H faut distinguer l’orien-
tatlon scolaire de l’orienta-
tion professionnelle. Celle-
ci dirige l’enfant vers un
genre d'études, celle-lá vers
une profession. L’orienta-
tion scolaire prépare l’orien-
tation professionnelle mais
ne se confond pas avec eLle.
Le choix d’une profession
est dans une certaipe mesu¬
re déterminé par les études
faites mais d’autres élé-
ments jouent au moment oü
il faut prendre une décision
précise : ce sont les débou-
chéB, les offres du marché
du travail, les besoins de la
région. du pays, les indus¬
tries, les cultures, les activi-
tés á développer.
L’orientation scolaire di¬
rige l’éléve vers plusieurs
possibilités de specialisation
entre lesquelles Torienta-
tlon professionnelle l’aidera
á choisir en fonction de -ses
moyens, mais aussi des cxi-
gences économiques et ;o-
ciales du moment.
L’orientation scolaire s’a
dresse particuliérement aux
enfants de onze ou douze
ans et doit s’étendre sur plu
sieurs années. Pourquoi cet
áge? Parce que les aptitudes
iifdividuelles ne sont pas en
core affÃrmées. Avant, les
goüts et les intéréts de l’en¬
fant caractérisent beau-
coup plus l’áge que l’indivi-
du. Ces goüts et ces intéréts
D’un iour...
... á l’autre
... Symbole de l’aveuir :
dans le ciel de France, alors
que le B-747, le paquebot-vo-
lant d’Air France entamait
sa desccnte sur Paris - Orly,
le Capitame sÃgnala aux pas
sagers qu’ils pouvaient obsci
ver dans le ciel le «Concorden
en vol d’essai. On ne vit, dans
le lointain, qu’un long sillón
de fuméc grise.
Symbole de l’avenir : le su
per - géant B-747 ouvrant
l’ére des transports aériens
de masse el le «Concorde»
inauguran! l’ére des vols com
merciaux á la vitesse super-
sonique...
X X X 3Ã
. Un usager du téléphone
nous sÃgnale qu ayant un don
ble abonnement, un pour sa
résidenr.e á Pélionville et l’au
tre pour son établissement
commercial á Port-amPrin-
ce, la Téleco refuserait de lui
donner deux exempl aires du
guide des telephones. Ayant
offert d’en acheter le second,
il s’est lienrtc au méme refus.
Est-il obligé de se «baladcr» a
vec Pannuaire unique dont
¡1 dispose, se demandc-t-il en
invoquant les inconvénients
de cctte pratique de la Tele-
co qui, á l’analyse, ne s’expli
que vraiment pas
xxxx
. . Dans ce numéro, notre
collaborates Anatole Cy-
prien, que nos lecteurs n’ont
pas lu depuis bien longtemps
— du moins l’humoriste et le
satirique — prend la défense
de la mini-jupe, avec le re-
tour en force de la midi et
méme de la maxi.
Sous les tropiques, quelle que
soit la saison, et dans les pays
tempérés,particuliérement au
printemps et en été, la mini,
je crois, a conquis presque
totttes Ies femmes et ce ne
sont communs á tous les en
fants. En effet, tous aiment
et pratiquent avec goút spon
tañé le dessin et le chant jus
qu’á dix ou douze ans. Mais
vers cet áge, le plus grand
nombre perd ces aptitudes
que conserve seule une élite
de futurs amateurs ou artis
tes. L’explication de ce phé-
noméne est complexe, mais
il est trop fréquent et trop
important pour le négliger.
Ii faut attendre, pour juger
l’enfant, la pérlode de la
puberté, cette période qui le
transforme profondément,
qui efface, confirme ou ré-
véle ses aptitudes.
Ainsi le voudrait-on, qu’on
ne pourrait charger l’école
primaire de l’orlentation.
Dana le premier degré la
matiére enseignée elle-mé
me contribue acessoirement
á l’orientation, elle est sur-
tout un moyen pour attcin-
dre le but qui est celui de
l’école primaire : donner les
outils indispensables á tous
et á toute formation ulté-
rieure : lire, parler. écrire,
compter, dessiner. develop â–
per les facultés d'observa-
tion, le goüt ele Mais l'é-
cole primaire ne concluÃ
pas. parce que l’áge de on¬
ze ou douze ans iv> permet
pas de conclure
/Volr suite en paee 21
an-
c.’est
Comme nous l’avions
noncé antérieurement,
ce matin qu’a eu lieu l’élec
tton du nouveau Chef de
TEglise Eplscopale d’Haiti. II
les deux groupes d’électeurs
Avant de passer aux votes,
Mgr. Marmione dcnna lectu
re ses dispositions canoniques
concernant l’élection d’évé-
remplaceta Mgr Voegeli qui ques de diocéses missionnairefc
atteint l’áge de la retraite. Il II existe deux procédés, a -
sera aussi le Premier Evéque
haitien de l’Eglise épiscopale
d’Haiti.
A cette occasion, La Cham
bre des Evéques de l’église
anglicane a délégué ici trois
prélats pour diriger les assi
ses électorales. Ce sont :
Mgr Marmion de Kentucky,
représentant du Président de
la Chambre des Evéques,
Mgr. Kellog , Evéque de San
to Domingo, R. O. Mgr. Mar
tin un congénére. Evéque
suffragrant de Long Island,
N. Y.
Les trois prélats ont con-
célébré une messe ce matin
á huit heures á la Cathédra
le en présence d’un grand
nombre de fidéles.
Peu aprés la messe, la Ré
union Spéciale étuit eonvo-
quée dans l’enceinte de la
Cathédrale. Selon le droit-
canon épiscopalien, les quel
ques prétres du dlocése mis
sionnaire d’Haiti sont élec-
teurs. Deux d’entrt eux qui
ont atteint l’áge canonlque
de 30 sont éligibles Les dé
légués laÃques des missions
du diocése sont agissi élec -
teurs L’élu doit réaliser la
majorité des suffrages dans
oposél
is Luc
DOlnte,
Inauguration de la Clinique
Dentaire Scolaire
AU CENTRE DE SANTE
Ce midi, le Secrétame d’E-
tat á la Santé Publique, Dr
Max Adolphe a procédé á l’i-
nauguration de la clinique
dentaire scolaire du Centre
de Santé du Portail Léogáne,
une étape de plus dans le
beau programme qui vise á
doter nos différents centres
de Santé, de cliniques scolai-
res modemes et bien équi-
pées
Le Dr Máxime Roumain,
Chef de la Division d’Odonto
logie prononga á cette occa¬
sion une magnifique allocu¬
tion, dans laquelle il porta a-
vec bonheur l’accent sur la
politique Sociale de S. E. le
Président á vie de la Républi
que. II dit combien le Quar-
tier du Mome á Tuf a tou-
jours été cher au Président
Duvalier. II rendit ensuite
hommage au Ministre Max
Adolphe qui, dans le contex-
te de la révolution duvaliéris
te, applique systématique-
ment et avec dynamisme le
programme du Président Du
rvalier, dans le domaine de la
SÃinté
Le Ministre Max Adolphe
qui a évoqué avec émotion ses
souvenirs du Morne a. Tuf, a
souligné que le Dr Máxime
Roumain et lui marchent sur
la voie drolte de la révolution
Duvaliériste. H a souligné
que les Centres de santé de
Carrefour Poix, de Baradéres
ont été déjá dotés de clini¬
ques scolaires. AujourdTiul,
c’est le Centre de Santé du
Portail de Léogáne, demain
ce sera celui de Pétionville,
de Mirebalais, etc. Nous con-
tinuerons, dit—11, & travailler
durement au bénéflce de la
DU PORTAIL LEOGANE
collectivité jusqu’au triomphe
définitif de la révolution du¬
valiériste. II a Ãélicité l’Ingé-
nieur Raymond Petit et les
ouvriérs — volontaires de la
sécurité nationale — qui ont
réalisé les travaux.
Afvant le Secrétaire d’Etat.
le Dr Nerva Gousse, chef de
la division d’hygiéne rurale,
avait porté l’accent sur cette
nouvelle réalisation du Dépar
tement de la Santé Publique.
Cérémonie significative.
Nous félicitons le Ministre A
dolphe et son collaborates le
Dr Máxime Roumain de cette
nouvelle et combien utile réa
lisation au service de la jeu-
nesse scolaire
vait-il dit, l’un consistant,
dans la nomination de l’évé
que par la Chambre des Evé
ques avec la cocpération
d’un comité local, l’autre qui
permet au diocése d’élire son
evéque, ce qui est le cás
pour le diocése missionnaife
d’HaitÃ.
Les candidats pro)
sont les Révérends Péres
Garnier, Lafont Lapolnt
Octave Lgfontant Christian
St Vil, Jean Michel, Limón
Louis, Previus Gay Dickens
Celestin.
«es bulletins com distri-
bués au groupe de prétres
puis au groupe de délégués
laÃques .
x x x x
ELECTION
Le premier tour de scrutin
ne fut favorable á aucun des
huit candidats. Les Révé¬
rends Péres Prévius Gay et
Christian St Vil qui n’avaieht
obtenu aucune voix du cOté
Rapport du Comité
de l’OMS
NATIONS UNIES (AFP)
Les experts du Comité de
la surveillance internationale
de la maladie de l’Organisa-
- tion Mondiale de la Santé n’é
cartent pas la possibilité que
le choléra continue á se pro
pager et réapparaisse dans
des régions du monde d’oü il
avait disparu depuis long-
temps, annonce-t-on á l’OMS
On estime done á l’OMS
qu’il est urgent d'informer
les Gouvernements aussi bien
que les populations des carac
téristiques du Choléra, afin
que soient prises les mesures
irrbtfonnelles et ineffieaees,
fondées sur une appreciation
inexacte de la maladie dans
sa forme actuclle.
Les experts rappellent á ce
sujet que le cholera El Tor
est aujourd'hui une affec¬
tion bénigne pour laquelle on
posséde des moyens de traite
ment efficaces et peu cou-
teux. En conséquence, rÃen
ne justifie qu’on le considere
comparable au cholera classi
que du siécle. La grippe, par
exemple, constitue sur le
plan de la morbidité et de la
mortalité. une menace beau-
coup plus sérieuse.
du Clergé électeur retirérent
leur candidature.
Par ordre de préférence ex
primée par les suffrages les
candidats favoris furent :
Luc Garniel, Octave Lafon-
tatn, Lafont Lapointe.
On passa au deuxiéme tour
de scrutin.
LE P. LUC GARNIER
L’EMPORTE
A deux heures 30 au cin-
quiéme tour de Scrutin le Ré
vérend Pére Luc Garnier Tern
portait. II regut les félicita-
tions de tons. II adressa des
paroles de circonstance á Tas
sistance.
II sera consacré dans deux
ou trios mois, le temps de
remplir les formalités pres-
crites par le Droit Canon.
Nous lui adressons nos vi¬
ves félicitationsv en y ajou-
tant nos voeux de fécond
apostolat.
PARIS (AFP). —
De graves troubles dus
aux difficultés économi -
ques que traverse actuelie-
étre á Torigine de cette flam
bée de violence qui a débuté
Lundi.
Selon certaines rumeur?
recueillies tant en Allema-
ment la Pologne ont Aclaté gne Fédérale qu’en Scandi
H O v» n IWA1 r. Trillrtn T i té Ann 1 1« 1*1 iri/\ w. A1 r. Z l j â–
dans trois Villes du Littoral
de la Mer Baltique : Gdansk
(Ex Dantzig), en Pologne
(Ex Dantzig), Gdyna y So
pot, localités qui forment
un ensemble appelé couram
navie, mais qui n’ont pu é-
tre vérifiées. Toutes les com
munications téléphoniques
sont coupéés entre le grand
Port polonais et la Capita-
le, les Services Publics et
ment en Pologne Tripleville les Transports en commun
(Trojmiessoie).
Ces événements d’aprés
TAgence Polonaise PAP ont
fait six morts et plusieurs
dizaines de blessés. De son
cóté, la RadÃo Danoise a fait
état «de nombreux morts et
blessés dont 150 miliciens
certains griévement at -
teints». Une hausse brutalo
sur les prix des denrées ali-
mentaires décidée lors de la
demiére réunion du Comi¬
té Central du Parti parait
In&t
par Claude DAMBREVILI.h
Hier aprés - midi, est parti souhaitons de connaitre chez
pour Lausanne Monsieur Ser nous le succés le plus com-
ge Rocha t, de nationalité suis ,-jilet.
LE PROCES DE BURGOS
Les Franquistes préparent
la contre - o£Eensive
MADRID (AFP)
Les partisans de l’Ordre
et de la Tradition Franquis
tes préparent- poqr demain
deux manifestations qui pa-
raissent donner le signal d’u
ne contre offensive spétacu
laire aprés deux ~semaines
pendant lesquelles le procés
de Burgos et l’agitation popu
laire ont été au centre de
l’actualité. Une annonce de
célébré en l’honneur du com
missaire Meliton Manzanas,
du garde civil José Pardines
et du chauffeur de taxi Mo
nasterio, tous, trois assasslnés
au pays basque, aura lleu á
midi dans l’Eglise de Tincar
nation, sur la place d’Orient,
tundÃs que fes espagnols de
tous bords sont inyités á ma
nifeiter paclliquement á 13
heures sur la méme place, fa
la rubrique nécrologique du ce au palais royal.
Journal Monarchiste ABC ap D’autre part, une conféren
pelle ceux qui n’oublient pas
á assister demain Ãi une mes
se á la faémoire des victimes
du terrorisme de l’Etat. D’aü
tre • part des tracts convo-
quent á une manifestation
d’affirmation nationale.
Le service funébre qui sera
ce qui devait étre prononcée
par Rancien Ministre Frede
rico Silva Munoz, á l’école
de Haute Direction et d’Ad
ministration de Barcelone,
sur le théme de l’organisa~
tion de la liberté, a été Inter
dite á la derniére minute.
LES SPORTS
Régime severe pour nos sélectionnés
Environ' 1.000 personnes de combinaisons
ont assisté hier aprés midi á conques laissent
la séance d’entrainement de progrés certains
- . . la sélection nationale. Le 1er
sont pas Ies hommes l^^on élément de satisfaction est
le rappel de l’avant centre
du Racing, Leinz Domingue,
dont on avait regrettó beau
coup l’écartement de l’élite
de notre football. Comme
l’entraineur
trarÃeraient celles-ci. Pnur-
tant, la maxi et la midi, a-
prés une premiére offensive
infrnctueuse, ont effectué de
sérieuses bréches.
Sans condamner ou rejeter
assez bien
espérer des
pour l’aye-
nir d’autant plus que les in
ternationaux ne sont qu’á
leur seconde joumée de pré
paration.
la mini U faut bien avouer nous le dlsait
ta mim, u , affinent fédéral, Ahtotae Tassy au
que le§ robes maxi
.la silhouette féminine et ne
sont point dépourvues d’élé-
eance. On ne pourrait dire
autant de la midi... C’est une
micro «d’Atout-Sport», Tab-
sence de Domingue de la lis
te des pré-sélectionnés n’é-
auvauu u*. tait due qu’á une fácheuse neur fédéral essale en défen
oninion et comme Técrit Cy- erreur de daptylographie. se le quator : Jn-Joseph —
_ V* 1A A Vfn«4 tMa 11lA.i«n rt nil AlMlfiO flu TIP- TIa *.l On/t T>A ** 1 ... A
Evidemment Tassy en est
encore aux tatonnements et
il est assez difficile de pré-
voir ceux qui auront l’hon-
neur «le porter le maillot de
cette sélection new - look.
Pour le moment, Tentrai- joueurs brésiflens, et consti-
Dans ce cas, pour perforer
leurs forteresSes défensi-
ves, la participation des ar-
riéres-ailes au jeu d'atta-
que est trés Importante. Rap
pelez-vous le travail de Eve
raido et de Carlos lors de la
finale Brésfl-ItalÃe de ia
Coupe du Monde. Carlos Al¬
berto avait méme inscrit le
4e but brésiHen.
Cette tactique n’est pas
seulement Tapanage des
se. Monsieur Rochat appar-
tient aux Nations Unles, sec¬
tion de l’Organisation pour
TAlimentation et l’Agricultu
re ou FAO. Monsieur Serge
Rochat, sgécialisé en Trans¬
formation et Commercialisa¬
tion, préte ses services au
Projet de développement de
la plaine des Cayes ou
EDAPS. Cet expert de l’ONU
sera de retour dans un mois.
Il fut salué á l’aéroport par
Madame Ester, épouse de Tun
de ses collégues des Nations
Unies, et par Monsieur Erma
no Pétoia, Secrétaire exécu-
tif de TED APS.
XXX X
Son Excellence le Dr Lc-
bert Jean-Pierre, Secrétaire
d’Etat du Commerce, est ren
tré d’Europe hier matin. Sur
invitation d’Air France, il
vient de faire, en compagnie
de sa distinguée épouse, le yo
yage Pointe-A-Pitre — Paris,
á bord d’un des Boeings 747
de cette prestlgieuse compa¬
gnie frauqaise. Madame Jean
Pierre, nous a dit le Ministre,
a prolongé son séjour en Fran
ce.
X X X X
«Bonjour, monsieur, e'est
mol la femme qu'on coupe en
deux». Je restai interloqué
pendant quelques secondes,
puis un déclic se fit dans
mon esprit, et je compris a-
lors que cette mignonne per-
sonne vétue de blanc et coif-
fée d’une casquette rouge fai
salt partle de la Troupe
«Show de Magie» de Richiar-
di junior. Franqoise Guillard,
dite Patricia, était la premié
re débarquée. Venaient á sa
suite les 'extraordinaires ve¬
dettes Richiardi junior, Allan
Allan, A1 Carthy, Igolen, Ka-
zuo Hatta. Ces artistes sont
accompagnés de Monsieur
Marouani Clément, leur im-
pressario, du pianiste Geor¬
ges Edouard Nouel, et de
Monsieur Claude Robinel, dé
légués par «Le Colisée», de
Fort de France.
Que nous offriront ces ve¬
dettes ? Un spectacle sensa-
tionnel, incroyable, dérou-
tantr, inoubliable. Au Capitol,
du 17 au 21 décembre. Alian
Allan, le prince de l’évásion,
Igolen, un prestidigitateur
exceptionnel; Richiardi ju¬
nior : ses trois Oscars mon-
diaux proclament son talent;
Al Carthy : son robot vous
coupera le souffle. «Comment^
définir mon robot ? Dlsons
que c’est assez spéclal, c’est
futuriste, c’ési un peu de la
science - fiction»; —- Nous
souhaitons la bienvenue á cet
te formidable troupe, et luÃ
X X X X
C’est hier matin qu'est ren
trée au pays Madame Jac¬
ques Fabius, née Monique Cel
cis. Elle est venue passer la
Noel dans sa famine. Moni¬
que réside á New York.
Est rentrée des Elats-Unis
le méme jour Madame Hans
Mqvs, née Jacqueline Cour-
tois. Elle aussi passera la plus
douce des fetes dans sa famil
le. Madame Mevs travaille au
Service de classement de la
First National City Bank.
XX xx-
Hier matin', est rentré au
pays pour un bref séjour Mon
sieur Fritz Momplaisir, Con¬
sul d’Haiti á San Juan, Porto
Rico.
Monsieur Glenn A. Munro.
Attaché au Département d’E
tat des Etats Unis, passera
trois semaines ici. Il est arri
vé á Port-au -Prince lundi
soil-.
XXX X
Notre ami André Supplicc
(Suite page 6 colonne 8)
ne fonctlonneraient plus
á Gdansk depuis Lundi.
Les liaisons aériennes Var-
sovie - Gdansk sont suspen
dues jusqu’á vendredi «en
raison des conditions atmos
phériques» a fait savoir la
Compagnie aérienne polo¬
naise «LOT».
Selon la Radio danoise, les
autorités polonaises ont qua-
lifié de houligans ivoyous)
les auteurs des troubles qui
protestaient contre 1’augmen
tation du coüt de la vie. A
Gdansk, oü des heurts sé.-
rieux se sont produits. les
manifestants auraient mis
le feu á des immcubles et a
des voitures.
Les navires ctrangers an-
crés á Gdynia - Port d’atta
che des grandes lignes océa
ñiques - ont été priés par la
police polonaise de quitter
le Port par mesure de sécu¬
rité. A ce propos la Radio
danoise a annoncé qu’un
bateau allemand avait pré-
venu par Radio sa Compa¬
gnie á Hambourg qu’ü a-
vait recu Tordre de quitter |
le Port en raison d un soulé
vement dans la Ville. Un au
tre navire allemand a au-
noncé dans un message que
la gare et le quartier géné-
ral du Parti étaient en flam
me.
Le Ministére Danois des
Affaires Etrangéres a décla
ré la nuit derniére qu’il sui-
vait involution de la situa¬
tion avec attention. L’Am-
bassade du Danemark á
Varsovie a tenté vainement
d’éntrer ¡en communication
avec le Consulat danois a
Gdansk, pour obtenir des
préclsions sur le déroule-
ment des incidents.
Dans le courant de la nuit,
la station de Radio privéc
américaine Free Europe qui
diffuse depuis Munich des
émissions destinées aux pays
de l’Est, faisant état d’une
Radio amateur polonaise an
noncait des heurts vioqmts
dans les trois Villes: Gdansk,
Gdyna et Sopot. Le couvre-
feu a été imposé hier á 18
heures daavs les trois locali-
tésigfflbiquait cette Radio lo
cale jiolonaise. La popula¬
tion a été invitée á contri-
buer á rétablir l’ordre P’au
tres Radio-amateurs cap-
tés á Hambourg font état
de gréves dans les chantiers
navals. Les ouvriérs se se-
raient joints aux étudiants
qui manifestaient contre les
augmentations du coüt de
la vie.
PRODUIT NATIONAL BRUT AMERICAIN
Les USA vont produlre plus de
1000 milliards de biens
Sous le regard ravi du Pré
sident Richard Nixon, -Técono
mié américaine a franchi
mardi, six minutes aprés mi-
di. le cap historique des mil
liards de dollars. En un an á
partir de- cet instant, les E-
lats Unis vont pioduire pour
plus de mille milliards de dol
lars de biens et det services
(produit national brut).
Poui marquer l’evénement.
retardé d’mi mois par la gré
ve de ia General Motors, le
Département du Commerce a
mis au point une «horloge du
produit national brut» calcu¬
la'rice cle-’tronlque fonction-
nant ,-.a rythme supposé de
La mort des genoux
PAR ANATOLE CYPRIEN
Deux virus des plus meur-
triers, la midicose et la ma-
xicose, sont en train de déci-
mer les genoux du beau sexc.
Selon une source ffcnénil'
:nent bien informée, tous les
genoux sont morts cux Mats
Unis. La situation est d’au-
tant plus dramatique que la
minicilline, le seul antibioti-
que capable de combatiré ef-
ficacement ces microbes, ne
se trouve guére sur le mar¬
ché. Sa préparatlon a élc pro
hibée par le Dr Jupier, á la
suite du rapport qui lui a été
adresse par Tlngénicur Tex
Tile.
Devons-nous assister. iin-
puissants, á Tánéantissement
des genoux, féminins ? N’est-
il pas souhaitable que pour
enrayer la géniculite, cette
maladie redoutablc engen-
drée par la midicose et la ma
xico.se, et caractérisée par u-
ne insupportable sensation
de chaleur aux genoux, un dé
cret ne vienne internationa-
liser et imposer le port du
kilt ?
Prévenir vaut micux que
guérir. En HaitÃ, que convlent
il de faire pour stopper la pro
pagation de la géniculite? On
nous rapporte en effet que
des etrangéres et des haitien
nes ayant vécu aux Etats-U-
nis ont contaminé, sans mé¬
me s’en rendre cómpte, une
infinie fraction de la popula
tion. alais le taux de conta¬
gion risque de devenir alar-
manl. si des mesures preven¬
tives ne sont plises dans Tim
médiat. Ces mesures, e'es*
nous qui devons les prendre,
messieurs. II y va de la sur-
vie, ou plutót de la survur
des genoux de nos femmes,
de nos amis, et de toutes ces
belles et girondes créatures
que nous coudoyons chaqué
jour. Au nom de l’Esthétique,
nous devons encourager la
préparation sur une grande
cchelle de la minicilline, et
y contribuer de notre bourse,
si besoin est. De plus, ne per-
dons pas une occasion de pÃa
cer notre slogan choc : «Lut
tez contre la midicose et la ma
xicose, deux facteurs de vieil
lissemenl prématuré. La mi¬
nicilline, voilá votre eau de
jouvence, niesdames».
Une information de toute
derniére heure nous partvient-
á l’instant. Nous nous empres
sons de vous la conimuniqucr,
bien iu’elle so¡t de nature it
commotionner les fervents de
la minicilline : il commence
á se confirmer que nos dro-
(Snlte Page 6 col. 7)
Texpansien économique.
Mardi matin, lorsque le Pré¬
sident Nixon, ses Ministres et
plusieurs cenlaines de hauts
lonctionnaires ont assistant
passage des cap des "mille mil
liards, l’horloge progressait
au rythme de 2.000 dollars
par seconde. Le temps que le
Président fasse l’allocution
de circonstance, les Etats U-
nis avaient produit théorique
ment pour plus de cinq mil¬
lions de dollars. Je n’ai ja¬
mais fait un discours aussi
enrichissant-. a remarqué en
suite le Président Nixon. Le
Président a célébré la force
c.t la productivité du systéme
économique amérieain. Mal-
gré le ralerÃUssement- qui ac
compagne aujourd’hui la lut-
te contre Tinflation, le pro-
duit Ãmiionai brut des Etats-
Unis a double en vingt ans et
triple depuis 1940. II est su-
péricur a celui du Japón, de
l'Allemagne, de la France, de
la Grande Bretagne, de Tita
lie el du Ganada réunis.
Le Diplómate
vietnamien,
Bui Diem sera ici
en février ou mars
M. Bui DIEM prestigieux
et influent ambagsadeur de
la République au. Vietnam
Sud á Washington a écrit
á notre confrere D. Char-
lier directeür du «Matin»
pour le féliciter des passion
nants récits de son ouvrage
<â– TERRES D'ANGOISSE ET
D’ESPOIR» et lui annoncer
son projet de visiter HaitÃ
dans un proche avenir.
Charlier á qui nous avons
parlé ce matin, nous a dit
que M. Burck ministre con-
seiller á TAmbassade des
USA a Port-au-Prince, ami
personnel depuis sa mission
á Saigon dij diplómate vief-
namjen, lui a confirmé cette
intention. Pendant son ré-
cent séjour á Washington,
Burck a appris que Diem se
va son hóte en Haiti en Fé-
vricr ou Mars 1971.
ADMIRATION AUX USA APRES LE VOL DE VENUS-7
WASHINGTON (AFP)
Présidffnt
renversé et
prien, Ies
bon train...
xxXx
... Hier aprés - midi, pa-
raÃssáit notre information
sur Tétat de l’entrée dn réser
Paul Roe — Paul — Formó¬
se.
Les arriéres latéraux Jn-
Joseph et Fórmese parais-
discussions vont D’ailleurs^ au coprs du pe¬
tit match qui oppósa les pos
sibles «A» aux provisolres
«B», Domingue justifia tout
le bien que Ton pensait de
_ lui en réaUsant quelques bon
voir, á Bourdon. Aveo son dy nes acti0ns á l'alle droite.
namysmc habituel, le Secré- revenons á la petite
taire d’Etat Max Adolphejf confrontatlon d-hier. Elle
donnait suite immédiate- noug lalgsa me lmpresslon
ment, dépéchait ce matin n fayorablle et m6me s-u n-y
ne brigade, en-vue les rear de but les tbuucI1Cs i« ctlonnent lo , enterneció
sements tiecessaires.
tue une des caractérlsti-
ques de Téyolutlon du foot¬
ball moderñe. Les meilleurs
arriéres latéraux que Ton
connalt actuellement sont
trés offensifs : Facchettl de
sent asslmiler asez bien la TItalle, Doblas de la Tchécos
tactique élaboréé. En partÃ- Ãovaquie, Gemmel de l’Ecos-
culier, leur róle dans Torga- se, Cooper et Newton de l’An
nlsation offensive de l’équi-
pe. Qn pe doit pas oubller,
en effet, que les équlpes alie
mandes ptiur la plupart af-
gleterre pour ne clter que
ceux-lá.
L’entraineur fédéral at-
(Sulte.page fl Col, 2)
La déscente de la Sonde So
viétique «Vénus» á travers
l’atmosphére de la Planéte
Vénus a suscité plus d’admi-
ration que d’étonnement»
dans les milieux scieqtlfiques
amérlcains. •
Les savants spécialisés se
doútaiént ehmffét que les res
ponsaüles soviétlques de Tex-
ploratlon spatlale utlllse-
raient Vénus 7 pour l’étude
plus approÃondle des caracté
ristiques de 1’atmoSphére de
«L’Etoile du Berger». En ef-
Ãet, les précédents vols, Vé-
viétiques de prendre des me¬
sures atmosphériques á moins
de 40 kilométres de la surfa¬
ce de la planéte. Ces mesu¬
res aivaient alors confirmé
que la densité et la tempéra
ture extrémement élevées de
cette atmosphére rendaient
trés difficile une tentative
d’atterrissage sur Vénus.
Certains experts estlment
cependant, que les savants
soviétlques ont essayé de fai
re atterrir en douceur «Vé
ñus"" 7» sut Vénus. lis
tent touteÃo's que le seul
te ver.-, ;a surface de la Plane,
te est un grand exploit. Mé¬
me si l’engin a été détruit en
suite, comme ils ¡e pensent,
par les éléments qu'il a ren-
contrés.
Cette expérience prouve, u
ne fois de plus, estime-t-on
dans les milieux -sc'entifiques
américains, Tavance prise
par l’URSS dans le domaine
de l’exploration de Vénus.
En effet, la NASA n’a, á ce
deux Mari-
Nou.s avons demandé au
confrere si Bui Diem est un
parent de feu le
Diem qui fut
tué il y a quelques années
dans des circonstances .pé-
nibles. II a répondu : Ãors-
que j’étais á Hong Kong, il
y a 2 ans un ami européen
me disait il y a 700 millions
de chinois mais il n’y a que
100 noms et 100 pronoms
pour les désigner tous. Et
ces 700 millions ne sont pas
pour autant des parents».
Toutefois. Bui Diem qui
est un diplómate populaire
á Washington écouté et res
que
infoÃ
ñus 5 et Vénus 6, en 1969, a-
valent pertnis aux savants so nptes au cours de sa deseen Surface.
jour, lancé que
„ v. v v, ners en direction de Vénus,
i ajou-v-'quà tous deux, ont étudié les pepté au Département dE
tul fait« carac téristiques de la/plané- tat sera le bienvenu dans no
. . - - ■■tre pays qui n’est pas trés
connu des cit
est dé TAsle.
sonde ait transmis des. te en la «frolant» á plusieurs
.tlúns pendant 36 mi- .rniniers de ‘ Ailométres de la connu des citoyens du Sud-
PAQK 1
MERCREDI 16 DBCEMBRE Id 70
Medecine-Sciences-T echniques-Arts-et Lettres
INDUSTRIE
SCIENCES
TECHNIQUES ET ARTS
UNE NOUVELLE VERSION
DE «CARAVELLE»
La Caravelle-I2, nouvelle
version du bi-réacteur tran¬
cáis a voié pour la premló-
re lols ii Toulouse-Biagnac
lc 29 ortobre. Cette navi-
pntlon o duré deux heures
ei demlÃ* j , ¡
SCIENCES ET TECHNIQUES
LE VOCABULAIRE
TECHNIQUE ENTRE
A L’ACADEMIE FRANQAISE
La commlslon du dictlon-
nalre de l’Académle fran-
calse ylent de publler une
Usté de déÃlnitlons de mots
une meule.
— Pergage : opération con
sistant ó. taire un trou au
moyen d'un outll appelé fo
ret ou méche.
— Profilé : prodult métal-
lurgique de forme allongée
techniques fréquemment em ayant une section constante
Oetlo nouvelle version de
Cnrnveile est ofÃerte aux
cn.npngnles aérlennes qul
ven lent disposer d’un %ppa-
ren dont la capacité a été
portée á cent trente ou cent
qua ran te passagers, selon
la uimposition des sléges, et
qul est parfaitement adap
tée aúx réseaux «court ec
moy en-courriers».
Avec une charge marchan
de 13.200 kg, le rayon d'ac-
tion de la CaraveUe-12 est
de 1.870 kilométres.
ployés. H s’aglt de
— Clsaillage : action de cl-
salller; décoúpage £i l’alde
d’une clsaille, d’une feullle
ou d’une plaque de métal
sulvant un tracé donné.
— Etau-llmeur : machine
á raboter dans laquelle le
mouvement de coupe est ob
tenu par le déplacement de
l’outll.
— Fralse : outll formé de
plusieurs lames qul attaque
le métal, le bols, en tour-
nant rapldement sur lul-mé
me.
— Fraisage : action de fral
ser.
á profll détermlné. Un rail
est profllé.
— Profiler : fabriquer des
proflls.
— Rabotage : action de ra¬
boter.
— Raboteuse
til á raboter.
machine-ou
— Recult : traitement ther
mique controlé d’un prodult
métallurgique destiné ü a-
méUorer ses qualités de due
tlbüité.
ques: tumeurs cancéreuses,
anglomes lnfarctus du myo
carde pourront étre dlagnos
tlqués plus tot et avec plus
de precision.
Ce tube utllisq une anode
en graphite d’un dlamétre
de 15 cm, partlellement re-
couverte de tungsténe. Le
graphite permettant un é-
change thermlque excellent
11 est possible de faire at-
telndre au tube alnsl équlpé
des puissances de 200kw en
poses répétées. L6s tubes au
tungsténe utlllsées jusqu’a-
lors n’attelgnalent que des
puissances de 50 kw pour
une sérle de clichés et 100
kw en puissance instanta-
née pour un cliché lsolé.
UNE INITIATIVE
INTERESSANTE
A MADAGASCAR
— Usiner : enlever de la ma
Ces hautes performances
libérent le radiologue de tou
tes contraintes concernant
l’emplol de son équlpement
Comme dans de nümbreux
pays du tiers monde, les Mal
gachés se nourrlssent trés
souyent de facón peu ration-
nelle. lis mangent certes
dans la plupart des cas a
leurs falm, mais le manque
d’albumine et de vltamines
est parfols caractérlsé, La
maladie s’lnstalle, les en-
fants meurent et les survi-
vants sont souvent attelnts
de troubles physiologiques
ou mentaux incurables. Des
Interventions sporadiques
n’ont que trés peu de sens.
Ce qu’ll faudrait chercher á
réaliser, c’est un programme
d’enseignement de grande
envergure. C’est ce qu’un co
mité local contre la falm a
entrepris de falré & tytáda -
gasear. L’allmentation a été
Incorporée dans les program
mes scolalres. 2.Ó00 monitri-
ces bénévoles rassemblent
dans les villages les ména-
géres autour d’elles et leur
expllquent comment, avec
leurs moyens, avec ce qul
pousse dans leurs champs,
éviter les maladies qul ne
résultent bien souvent que
de l’ignorance. Ce program¬
me est en partle flnancé par
les autorltés locales, mais
cette aide ne sufflt pas.
La Communauté de tra¬
vail «Joumée du Partage
fraternel» constituée par les
Eglises protestante et catho
lique d’Allemagne a déeidé
desoutenir cette action. El¬
le a organlsé début décem-
bre une collecte et se propo
se de consacrer 280.00 DM a
cette intéressante Initiative
qul pourrklt faire tache d’hui
le dans de nombreux autres
pays du tiers monde.
medecüne
UN NOUVEAU PROCEDE
DE RADIOGRAPHXE
Un procédé nouveau utili-
sant un film a colorant
bleu, le «Médichrome», pour
les radlographles a été rnls
au point par deux cher-
cheurs francals, le Dr J. Bo
rÃes, radiologue, prdfesseur
agrégé a la faculté de mé-
declne de Paris et M. M. J.
Blanc, directeur des labora-
toires de recherche de la
firme Agfa Gevaert qul fi-
nancait les travaux.
tiére sur une piéce brute ou radiologlque et luà permet - S »
désrrossle. ,v. .i, ^,nvi uton . 4
La compagnie danoise de
transports aériens a la de¬
mande (charter) Sterling
Airways recevra le premier
exempiaire en mars 1971.
Elle a demandé sept" appa-
reils et pris quatre exem -
plaires en option,
. i.,7 A. 14M
— Fraiser : usiner une pié-
ce au moyen du déplace¬
ment d’une fralse fixée sur
une fralseuse.
— Fralseuse : machine-ou
til servant pour le fraisage.
— Fralseur : ouvrier chargé
de condulre une fralseuse.
— Meulage : action de meu-
ler. 'i
— Meuler : user, jdégrosslr,
alguiser ou pollr a l’alde d’
dégrossle.
— Usinage : action d’usiner
a l’alde d’une machlne-ou
til. .
— Usineur
d’usiner.
ouvrler chargé
MEDECINE
DIAGNOSTIC MEDICAL
PLUS PRECIS AVEC
UN NOUVEAU TUBE
A RAYONS X
DUBO
DUBON
DUBONNET
Les services du Professeur
Ecolffler, a l’HOpltal Brous
sals, utilisent avec succés un
nouveau tube a rayons X
mis au point par les servi¬
ces de recherche de la Com
pagnle Générale de Radlo-
logie, filÃale du Groupe Thom
son.
tent de choisir des constan
tes radiologiques Jamals at-
teintes :
— un temps de pose extré-
mement court (de l’ordre
du millléme de seconde);
— un renforcement du pro¬
dult de contraste en cholsls
sant la tension optlmale
(50 á 70kv):
— des écrans de renforce -
ment a trés haute defini¬
tion;
— la posslbillté d’obtenlr des
clichés de trés haute déflnl
tion, sans écran.
EXPOSITIONS
LA FRANCE DE L’AN
200 AUX HALT,ES DE PARIS
PGUR TRAITEMENTS MÉQICAUX ET ESTHtTIQUES : *
CELLULITE, RHUMATISME, OBÉSITÉ, LUMBAGO, ARTHRITISME
DOULEURS GASTRIQUES ET HEPATIQUES CONSTIPATION '
TROUBLES CIRCULATOIRES, ENVAHISSEMENT GRAISSEUX ele'
MAS$OCHO é^e.dÃ
ESI SUPERIFUR PARCE QUA TRIPLE EFFET
© ADTiQN de MASSAGE
©afGAGEMENT ijjttl
BAlOpiEST d’IGEBA-BOU
'UTJU5ANT S
cgue
Désormais, les médeclns
peuvent radlographler le sys
téme vasculaire avec une
préclslon de l’ordre de l/10e
de millimetre, effectuer une
sérle de clichés répétés et
done suivre revolution cine¬
fique d’un phénoméne, sans
provoquer la détérioration
du tube. Cecl aboutlt a un
diagnostic plus sür de l’état
de la vascularisation des tis
sus et a la détection préeo-
ce d’anomalies pathologi-
Une manifestation a ca-
ractére exceptionnel est ac
tuellement présentée aux
Halles de Paris. Sous le tl-
tre «France 200», un specta¬
cle audlo-vlsuel complet ln-
troduit le vislteur au cceur
du probléme de l’envlronne-
ment, devenu un théme trés
actuel.
ryraisse
/
S'UTJUSÃNT SUR TOUTES LESPÃRTIES'
DU CORPS, " MASSOCHO ’
FAIT MAHiRIR par ¿Hcnmation des
supcr/Ines i’/T/o UÃxines
I>I:( (>.\(,T S T(JT\,\F et'RAF&kRMIT par /
ai t ivaà ioii/dc U¡ circulation oà des échanges nutriti/s
AOt l A/Tl: et OTE 0,\'T/\A(/TF en abaissant la terjsion
nerjd-use / / /
jMussocho utilise ensj/Ãnble 3 moyeiÃs thércfpeutiques
LE MASSAGE
LA CHAÃEUR
eiation
/L'IRRA^
MASSOCHO FAIT MAIGRIR ET ACTIVE & CIRCULATION DU SANO
“ MASSOCHO/' on obtient
AMAÃGRISSEMkNT RAPIDE
DÉSfNTOXICAYlON TOTALE
DÉJENTE IMMEDIATE
/ 120-130 Volfs ou\ 4 á*C\f\ f
V 220-230 Volt» ) W-OW
f L'APPAREIL COMPLET
GARANTÃ UN AN \ 220-230 VoÃlt
) /-MASSOCHO" Ã
' MEDICAL INSTRUMENTS.
' ^ocumen/tlion tuf demende confro 2 L/tibre»
Des Images se succédent
sur six écrans sonorlsés.
dans le but d’alerter et d’ln
former les spectateurs. Cet¬
te exposition a, en efÃet,
veiller l’lntérét et la curio
sité en faveur de l’aspect
que prendra le pays a bré-
ve échéance. La grande mu
tatlon urbaine qul touche
Paris et les villes de pravüi
ce, la nécessité de protéger
la nature, les dangers de
la pollution, la beauté des
réalisations routléres ou de
certains aspects de l’aména-
gement du terrlfólre, efe.
sont illustrés par des ma-
quettes, des photographies,
des projections, des enre-
glstrements sonores.
Une section entlére de
l’expositlon, lntltulée «Bes-
tialre 200», est consacré au
spectacle de la nature: plus
que toute autre representa¬
tion, ce montage fait de sons
et d’lmages évocateur des
mervellles de la flore et de
la faune de France, Incite
á prendre toutes les mesu¬
res nécessalres pour empé-
cher sa disparltion ou sa
degradation.
S. A. F. I. C. O.
Us mi daas l’Economie du pays
S. A. F. I. C. O.
Plus de $ 35MN esseutiellemeut haitieus aldaut á la
revalerisatiou de la vie paysauue
S. A. F. I. C. O.
Oes milliers de bras haitiens gipeit chaqué Jeur
la batallle de la preductiou
S. A. F. I. C. O.
Ua nillieu de sacs de Sisal au service de la Natiou Haltiene
S. A. F. I. C. O.
Oae Industrie Natieaale au service de la Natieu Haltiene
S. A, F. 1r€. O.
Dans les salons de VU-N- [
E.S.C.O. oü 11 présentait sa 1
découverte, le. Dr Borles' a
préclsé les raisons qul ont
présldé au cholx du film en
couleur et plus pEirticuUére-
ment la telnte bleue. Alnsl,
11 a été constaté :
— qu’une couleur est moins
«opaque» qu’un gris de den-
sité equivalente;
— que dans le bleu, l’aculté
visuelle est la plus grande;
— qu’un développement chro
mogéne prodult une granu - •
lation beaucoup plus- fine
que celle d’un développé-
ment en nolr sur blanc.
— que la tolérance du film
en couleur est plus grande
(une erreur de constante ra
diologfque permet d’explol
ter tout de méme le cliché); •
— que le film reste llsible
dans les grandes densltés
lie médecin peut alnsl re -
cueillir beaucoup plus d’ln -
formations);
— que les détalls sont per-
5us facllement, cette percep¬
tibility pouvant varler & vo-
lonté, qn fonction de Tinten
sité de la lumiére du néga-
toscope.
Les nouveaux films sont
utillsables avec l’équlpement
actuel des radlologues et
leur coüt n’est supérieur
que de 17% á celul des füms
classlques.
ARTS ET LETTRES
LA RENTREE
DES ACADEMIES
V
Chaqué SJhnée, les mem -
toes des cinq Académies
(Francalses, Inscriptions et
Belle-Lettres, Sciences Beaux
Arts, Sciences morales et
poll tiques) se réunlssent á
l’Instltut de France lors d’
une séance publique.
J
AVIS
I«s Produits jj ^ Ji| p Q peuvent étre achetésj
tu adresses salvantes
A PORT-AU-PRXNCE
Mme. Robert Gaetjens
Lalue
Coles’ Market
Lalne
Boukngerie St-Marc
Ave Jn Jacques Dessalines
Maison Rigaud
C’est M. Paul Belmondo,
présldent de l’AcadémÃe des
Beaux-Arts, qui a ouvert la
sérle des discours en ren-
dant hommage aux acadé-
mlciens qul sont morts au
cours des deux précédents
semestres.
M. Félix Lecoy, délégué
de l’Académle des Inscrlp -
tions et Belles lettres, a en-
sulte tralté des liens qui
existent entre une légende
pleuae du Moyen Age Le
Conte du Sénéchal et sa
version oriéntale dont on
trouve trace dans la tradi¬
tion -persane.
M. Bernard Decaux, déléT -
gué de l’Académle des Sclen
ces, a posé le probléme du
temps réel et du temps psy-
chologique en utllisant la
formule de Saint Augustin :
Qu’est-ce done que le
temps? En analysant la va-
leur relative Ties différentes
unltés de temps et de ses
formes prindlpales (les du -
rées et les rythmes), M. De
caux a effectué un passion-
nant chemlnement ou l’es-
prlt sclentlflque venalt á
chaqué Instant compléter une
vision poétlque et sensible
ide l’homme dans la dlmen
slon temporelle.
Le délégué de TAcadémle
des sciences morales et poli-
tiques, M, Jean-Jacques Che
valller, a parlé de Lénlne
fut l’un des hommes qul lais
sa la plus forte emprelnte
sur notre aléele.
M. Jean Guitton, de TA--
cadémle francalse, a couclu
en dégageant les constantes
de notre époque qul connait
la tnolsiéme mutation -de
l’esnéce humalne. Au mo¬
ment oü la survie des civi¬
lisations est en jeu, 11 lmpor
te, a dlt M. Jean/Guitton»,
de préserver uñe certain e
contlnulté, une/certalne di -
gnlté de 1’llomme».
MSROREDI 10 DEC. 1970
(LI HOUVftUm>
â– m
3
RHUM BARBANCOURT REPUTE
!T1M2
TOYOTA
TOY OITA
Tel: 20.658
TOYOTA
TOYOTA — Solldlté, TOYOTA — Resistance, TOYOTA ia melllenre pottles rentes d’H&ti
TOYOTA — Service spécial en vue d’nn e commantfe nr gente de Pléces de rechanse par avion pour les clients..
TOYOTA : La voitnre éconemiqne UNIVERSAL ENTREPRISESCO. S.A.
jV (gW
VOTRE HOROSCOPE
Par h rant es Drake
[
i-'LL vi>. 0Ã5Ã
JEUDI 17 DECEMBRE 1970
21 MARS au 20 AYRIL (BE-
LIER :
Ne déviez pas votre llgne
mate évitez l’lnquiétude etla
soucleuse anticipation des en
ñute. Conflit d'lntéré's en cer
tains secteurs, ? Vous almerez
la lutte
21 A VEIL au 21 MAI (TAU-
REAU) :
Ne vous occupez pas d’af¬
faires qul ne vous concer-
nent pas particuliérement
parce qu’on vous le deman¬
de. • Certaines suggestions de
vront étre rejetées
22 MAI au 21 JUIN (GE-
MEAUX) :
Vous n'avancerez pas aus
si rapidement que vous le
vouddez et recevez moins d'
atouts \ne vous le pen.siez, Ac
crochez-vous, patiemment, et
vous réusslrez brillamment
22 JOIN au 23 JUIT LET
(CANCER) :
Vous dépasserez vos limi¬
tes par suite de votre inquié
tude ou d’une erreur de cal
cul. Veillez-y en nageant
dans le courant et en tout sui
vez les méthodes longtemps
éprouvées.
24 JUILLET au 23 A OUT
(LION)»:
Bonnes Influences du So-
leil. Vous devrez avoir un
programme bien équilibré
Réfléchissez avant de pren¬
dre des décisions. Pesez tou-
tes les offres avec impartÃa
lité.
24 AOUT au 23 SEPTEMBPE
(VIERGE) :
Vous rencontrerez des sitúa
tions bizarres et méme irri¬
tantes. Prenez-les pour un é
lément de l’ensemble et r/-
fléchlssez avant d’en tirer
des conclusions.
24 8EPTEMBRE au 2'1 OCTO
BRE ( BALANCE) :
Ne négligez pas des devoirs
précis A cause de vo’re désir
d’essayer «quelque chose de
nouveau» Développez la sm
bill té naturelle des natifs de
votre Signe.
24 OCTOBRE.au 22 NOVEM
BRE (SCORPION) :
N’attendez pas trop long-
temps avant d’attaquer un
probléme ou de remp’lr une
obligation, sinon la toumée
se terminerait par le boule-
versement complet de votre
stabilité nerveuse.
23 NOVEMBRE au 21 DE¬
CEMBRE (SAGITTAJRE) :
Met tez un peu de ferveur
et d’ardente ambition dans
cette belle joumée et soyez
optimiste. C’est souvent ce qu’
il faut pour assurer le suecés
Possibilités supérieures á la
moyenne.
22 DECEMBRE au 20 JAN¬
VIER (CAPRICORNE) :
Prudence dans les entre-
prises nouvelles Si vous n’é-
tes pas .sur vos gardes, vous
rencontrerez des situations
diffidles ou d’inutlles com¬
plications.
21 JANVIER au 19 FEVRIER
(VERSEAU) :
Montrez votre flair qul
vous empéchera de commet
tre certaines erreurs. N’ac-
ecptez pas idées et avis de
ccux qui peuvent vous éga-
rer en employant fcoute
lour seduction.
20 FEVRIER au 20 MARS
(POISSONS) :
Journée oü vous pourrezdé
ployer vos alies, si votre pro
gramme et vos obligations
le permettent. Il ne faut pas
rester concentré pendant
trop longtemps.
SI VOUS ETES NE AUJOUR
D’HUI :
Vous étes idéallste et bipn
veillant. Vous avez une loyau
té et une .honnéteté absolue.
Vous étes trés capable dans
la gestión des affaires, cons
clencleux. Vous agisrez vite
et avec compétence quand 11
le faut. Vous avez une Intel
ligence fine, douée pour l’a-
nalyse et un excellent juge
ment Vous pouvez étre un
remarquable homme d’affai¬
res, financier, juriste, savant
et homme politique. Sur le
plan de la création, vous ex
cellerez en littérature, dans al
musique ou l’art dramatlque
Le sport et le voyage seront
vos plus grandes distractions
aux heures de loisir
Nalssance de Antonio Sradi-
varius, célébre luthier.
Parallélement á la section
d’hlstoire «ocÃale et économl
que, A la section de pUftlque
d’éducation, celia des,pays en
vole de dévelopepmeni, Tune
des quatre sections de lTns
titut de recherche de la Fon
datlon, FriendrlchJ£bert, eÃ-
fectue non settlement. des re
cherches sur les pays du tiers
monde, elle attache ,’égale-
ment une grande Importance
a la cooperation avec les ca
dres de ces pays, ña tAche
essentlelle est certes de ras-
sembler dumatérlel ai de Ies
grouper par pays. Un centre
de documentation stoccupe
de la preparation du matériel
et est A la disposition-des ca
dres sclentiflques d’autres
instituts. Cette section publie
également une revue «Rap¬
ports trimestriete», qui a pour
sous-tltre «Problémcs .des
pays en vole de développe-
ment», et qul groupe les re¬
sulta ts des travaux de recher
che de lllnstitut . alnsi que
des articles de chercheros al
lemands et étrangers sur les
problémes des pays en voÃe
de développement.
LTnstitut de recherche de
la Fondation Friendrlch-E
bert attrlbue des bourses spé
cÃales de recherche pour pro
mouvoir la cooperation avec
des cadres afrlcalns et asia
tiques. Pour poser leur candi
dature, ceux-cl dolvent fai-
re état de qualifications scien
tifiques et travalller sur un
théme qui rend nécessaire
un séjour en Républlque fé
déraie. Trop consciente du
malaise qui régne dans le
Uninstrumentjirédeiixde
COOPERATION AVEC LE TIERS 'MONDE : L’INBTI- TUT DE RECHERCHE DE LA
FONDATION FRIENDRICH- EBERT
tiers monde,,.dans le secteur
de la recherche,- la. Fonda-
don FriendrichwEbm.-jnet
done A leur disposition des
moyens financiers, du maté
fiel de recherche et des pÃa
ces de travail.
LE! MECANTSME '©’ATTRI¬
BUTION 'DES ’ BOURSES
re, blbilothéque, reentre de. do
oumsntadon, tete. Les. collabo
rateros, setentiflQues de Tins
titut conseiUem le -boursier
dans le .choix de la literature
et L’aident --Aótablir les con¬
tacts néceesaires avec d’au¬
tres ’Institute
LE SUJET CHOISI
formation des adultes ét les
t 0 , ¡u La politique économlque et
.. ^ ^ ,cooP^r^^ociale,. l’hlstoire socÃale, la
tion de I’InaÃltut de *echer-f'Ã^rirmt>H
ohe de la .Fondation -Friend B
rlch-Ebert veut -offrir ¿aux ca
dres venant du -tiers.-monde
la posslbllité de prendre-con
nalssance des travaux. et ex
périences faits. dans le see
tero de la recherche et de la
mise en pratique en Répu
blique fédérale, d’utülser ce
matériel et de vérlfler leurs
propres connatesances lors
d'entretlens et de prise de
contact. Le candldat choislt
lui-méme le théme de son é
tude. LTnstitut de recherche
de la Fondation Frlendrich-
Ebert finance les Trals de
voyage en cas- de-decision po
sitlve, accorde une- bourse
mensuelie pendant le -séjour
en Allemagne et-paye une as
surance supplémentaire ma
la die et -accidents- poro cet
te période. ■Les bourslers peu
vent-disposer A volonté de -ses
installations : sallé de lectu
cooperatives sont, les sujets»
d’étude privUlégiés des bour
slers: Dans les demiers mols,
les cooperatives de crédlt a-
grlcole, le droit du travail, V
éducatlon syndicate et la ré
forme-des universltés alle-
mandes ont "recueilli un lnté
rét accru. En cooperation a-
vec ’d’autres instituts, des
questions -spéclales de droit
ont 'été étudiéfes, une vue d’
HAUTE FIDELITE
Vial tez le studio de la «CONTINENTAL TRADING» et de-
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ensemble du travail des bl-
bliothéques allemandes et
.psychoiogjques de -recherche
ont été expllquées entre au
tres.
Depute le début du pro¬
gramme en été 1969, la Fon
aation Frlendrich-Ébert a re
cueiiil 18 bourslers, dont 4
d'Indonésie, 3 dü Maroc, 2 du
Kenya, 2 de linde, 2 de la
R.A.U., 2 du Congo-Kinshasa
un TunlSlen, un LibarÃais et
un Vénézuélien.
LES DOSSIERS DE CANDI¬
DATURE
Les bourses d'études peu¬
vent étre attribuées A n’ln-
porte quel moment. Elies sont
généralement llmitées á une
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vent s’adresser directementa
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bert (Adresse: D 53 Bonn-
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provenir un curriculum vitae
axé sur leur formation seo
laire et universitaire, les so¬
piés de leurs certificats étdi
plómes, des Indications pré-
cises sur le théme qu’ils dé-
slrent étudier en Républlque
fédérale, une liste des -ouvra
ges publiés, des références
d’un professeur ou de Tem-
ployeur alnsi qu’un certifi -
cat de san té et une photo.
L'ACTION «DU PAIN POUR
LE MONDE»
se déroule pour la douziéme
fois en Allemagne depute dé
but décembre Orgánlsée par
TEglise protestante d’Allema
gne, cette- collect» sert a la
lutte centre la faim. la’ ma
ladle, l’ignorance et i’lnjusti
ce dans les pays du tiers
monde. Jusqu’a présent,
quelque 248 millions de DM
ont été- rasseittblés, dont un
tiers a été consacré á la lut
te contre >les â– maladleg, .plus
de la molté A Lenselguement
et A la formation profession
nelle, un clnqUÃéme A. l’alde
en caá de cátastfóplies. Les
fonda bnr été dtetttbués á
ralson de 42'poro Cétot A l’A
sle, 36 pour 'cent la rAfrlque
et 9 poro cent á l’Amérlque
latine.
LE CÜIMAT SOCIAL
EN ITALlE
ROME (AFP)
Par dlzalnes de ‘ millÃers,
les étudiants ont manifesté
mard. dans plusieurs' Vliles
ltaliennes poür protester con
tre les incidents sanglants de
Samedi A Milan. tParalléle-
-mertt, la gréve proclamée par
les centrales syndicalés potir
obtenir des té formes - sociales
a fortement perturbé le tra-
fic ferrovlaire et onze ré-
glons de la .péninsule pen¬
dant auatre heures.
Tandis qu’á Rome, prós de
vlngt mille étudiants bian-
dlssaient des drapeaux rou¬
ges et des pancartes contre
la police, Nixon et Franco, u-
ne autre manifestation réu-
nlssait autant de jeunes A MI
lan sur la Place de la Cathé
drale. Des anarchistes, des
comnumtetes dissidents s ’é-
talent joints au mouvement-
étudiant. II -n’y a pas eü d'ln
cldent. A Florence, deux.mil
le étudiants oig tehté, sans
succés, d’fentra'ner les óu-
vriers A mahifester avec eux
contre l’état bourgeois. .
Sur le man syttdfcal, les
gréves orir été un'nét áüecés
selon les renseignements foro
nis par Ies-centrales. 'A*Bolo
gne, M. LuciatÃo Lama, Secré
taife Générai de la Cortfédé-
ration gén érale italienne’ du
travail (á majorité socialist*
et communis te) a soullgné
l’urgence de solutions aux
próblémes de la santé, du lo-
gement, des transports et
des -conditions de travail. Fai
sant allusion -aux événe-
ments de Milan. M. Lama y
a vu un nouvel élément d’un
dessi n réactlonnalre tendant
A affalblir limité et les lut-
tes des travail leurs.
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L’orlantation scolaire n’est
paa, possible sans la disparl-
tion tdes ijwréjjugés v.'tjul .met
tent le lycée classique: aiudes
sus du cubóle moderne, celui
ci au dessus ducollége tech
ñique. Quelle errqur 1 Par li¬
ne action sur 1'opinion publi
que il laut montrer aux pa
rents qu’il est plusleurs vo os
ahoutlssant a des diplómcs
do valeur et, ce qul est mleux
a l’épapoulssement complet
do i’enfant.
L’orlentation scolaire n'est
pas possible également si Ton
ne sc -léfére pas a la psycho¬
logy de i’enfant. Connais-
snnt les corrélations qui exis
tent entre le caractére et les
formes de l’intell .gence nous
devinotis les profits que peut
tirer un éducateur de la ca-
ractérologle. 11 est précieux
de savoir, par exemple, que
le sentimental dont l’émotlvÃ
té se tradult en sentiments
plutót qu’en actes a généra
lement peu d’lntérét pour les
matiéres.sclentifiques. II réus
sit m eux dans les études lit
téraires ou artlstlques mals
on peut l’intéresser aux sclen
ces s’il sent autour de luà la
sympathie et si l’on salt luÃ
falre goüter le plalslr de la
découverte. L’éducateur peut
convertir un sentimental jus
qu’4 le rendre act'.f s’il lui
propose une activité méthodi
que et un emploi du temps 4
suivre scrumileusement. Par-
mi les différents types de
caracteres celul du sentlmen
tal est sans doute le plus ti
mide, le dIus facllement dé-
couragé, le plus indécls fá
cause de sa faculté d’anaiy-
L'orieittationScctiaire
(Suite de la lére pagel
se), mals c’est aussi le plus
acrupuleux, le plus mécon-
tent de sol, done le plus exl-
geant pour sol.
prend que le nerveux est é-
La caractéroiogie nous ap-
motlf, lnactif et pnmaire :
ses reactions, A l’inverse du
sentimental ne se prolongent
pas dans un trés.long second
moment, mais sont instanta
nées.
La fa?on de travailler va¬
rÃe avec le caractére. Les pri
maires réaglssent dans le pre
mier moment. Actf, ils réagis
sent par des actes. Aussi, leur
écrits sont-ils tout de suite
presque définitifs; ils n’y ap
portent que des corrections
de détail. Les secondaires réa
gissent dans le second mo¬
ment ,et par des sent ments
puisque émotifs et inactifs.
Leurs écrits sont raturés, bar
bouillés, recommencés plu-
sieurs fois.
Etudions les brouülons de
nos éipees. Nous trouvons sou
vent ces deux fatjons de rédi
gar. Les uns écrivent sur le
champ et le texte qu’ils rolé
vent est celul du premier jet;
les nutres hésitent, surchar-
gent et ne se décident pas 4
relever. ' Nous nous trouvons
en présence de deux tendan¬
ces de caractére -fort’ 'diffé-
rentes. Cette précleuse obser
vation enrlchira notre . dos-
Pharmacies assurant
te service cette nult.
MERCREDI 16 DEC. 1970
LAVOISIER
LALUE
ST JUDE
Rué Pavée
â– sier.
Pour conduire un enfant, il
faut le connaitre dans sa to-
tallté, savoir quels sont ses
ressorts ou ses mécan smes
bloqués, si dans les composan
tes de son caractére il en est
une ou plusleurs dont on se
servirá comme de leviers
pour pallier ie manque d’ap-
, titudes. Le ressort de beau-
coup de nerveux est le senti¬
ment excessÃf de sol, la vani
té, le désir de réusslr. Chez
le sentimental c’est en fai-
sant appel a sa conscience
professionnelle, au sens d.u de
vor, et en l’entourant de
sympathy, qu’on L’aidera á
vaincre son complexe d’infé-
riorité. Ltapathiquea peud’on
téréts : c’est un inémotif, un
inactif; son intelligence est
affaiblie. dim'nuée dans son
efficaclté par le caractére. A
vec un apathique fortement,
accusé, le pronostic sera tou
jours sombre. C’est en recher
SIROP PECTORAL SEJOURNT;
Goút agréable,— Conservation.
A base de CODEINE TOLL et EEC A i. YPTOL
Tone, Rhwnes. Broachltes, Ewcnements, Influenza
Af lectivas des Poamoas
chant ses rares intéréts qu’on
pourra l’éduquer, le déiveiop-
per, l’orlenter.
SI les rapports des formes
de ¡’intelligence avec les ty
pes de caractéres sont indis¬
pensables á l’orlentatlon seo
iaire, .1 en est de méme de la
connalssance du niveau de
¡’intelligence. Ce niveau est
indépénjdant'des traits de ca
ractere; des tests, l’observa-
tion quotidÃenne de I’enfant
permettent de l’évaluer.
" Déjá, en gros, on peut dire
que la caractérologle aide á
connaitre le genre .d’études
et Jes conditions de trava 1
qui cqnviennent a la forme
de TirÃtelligence, lui, á.-.pré
de Tintelligence, lut, a pré-
voir, dans le genre d’études,
le degré qu’elle ne dépassera
pas.
Les moyens pratiques d'a-
boutir á Torientation varient
avec les éducateurs mais ces
derniers ne peu vent pas ’gno
rer les tests : Les tests d’ins
traction ou de niveaux de con
naissances (collectifs en gé-
néral et d’emploi facile), les
tests permettant d’évaluer le
inifveau mental (Individuéis
ou collectifs), les tests de ca
caractére (individuéis), les
tests d’aptltude permettant
dâ€apnréc'er la mémoire, l’at-
tentlon, la compréhension.
les .aptitudes techniques, phy
sÃques. On ne pent se passer
des tests pour orienter Ies en
fants, mais on ne peut les o
rtoater uniquement avec sdes
teats. Notre connalssance: de
i’enfant se fonda aussi (¡sur
à ubservaÃtan iquptldlexmeii de
son oomportement, sur le xon
trflte' de -son travail et est é-
tayée par les renselgpetnehts
que nous pouvons recuehi r
sur son mmeu Ãamuial et
sur son état physique.
L’éducateur n’oubüera ja -
mais que son intuition, son
esprit de finesse, son art aoi
vent luà permettre d’interpré
ter les résult&ts de ses expe¬
riences et Ães données de à ex
téxleur. C’est une tache dif¬
ficile. Lamentation- doit-é
tre lente et 11 faut se garder
de prononcer des jugem'ents
défmltifs, il faut vénfier plu
sieurs fois ses conclusions,
confronter ses observations a
vec celles des.autres jnaitres,
recommencer ses -essais s.
l’on se trouve en présence
d’un cas douteux.
A la fin de la 6éme, le ,con
sell de classe esquissera le
profil psychologique de L’élé
ve, complétera son dossier
scolaire. L’orientation .n’est
pas l’ceuvre d’une année. .L’é
léve sera toujours l’objet d’u
ne étude indivlduelle, d’une
observation globale; il pour¬
ra sans dommage, au contra!
re, changer d’option. En fait,
l’orientation est une oeuvre
continue.
Pour conclure, ¡’orienta -
tion n’est pas un somple cons
tat des aptitudes; elle n’est
pas non plus la seule exploi¬
tation de ces aptitudes; elle
est une éducation, peut-é -
tre la seule éducation.
Dominique LORENZI
Conseiller pédagogique
4 l’Instituti Frapcals.
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Le Ciment d’Haiti S.A.
Avis de Convocation
Messieurs les AcUonnaÃres
de la Soclété LE CIMENT
D’HAITI S. A., Soclété Ano-
nyme, au capital de deux
millions de dollars, som convo
quées en Assemblée Qén. Ordi
naire Annuelle qul se tien-
dra á l’Usine de Fond Mom
bin. Commune de Duvallei-
ville, Haiti, le Lundi 4 Jan¬
vier 1971, a 11 heures A.M
pour stamer sur l’Ordre dti
Jour suivant:
- Rapport du Consell d’Ad
Bilan et Comptes dea pro-
ministration.
- Rapport sur les Comptes,
fits et Pertes de l’exerci
ce 1909-1970, arrétés au
30 Septembre 1970
- Affectation des Fésultais
- Quitus aux Administra-
teurs.
- Nomination ¿’Administra
teurs.
Fond-Mombin. le 10 Tiéc 1970
LE CONSEIL D’ADMINISTRA
TION
â– > o
AVEC
LA
Mort aux Rats
Eh &OULETTES
GIBBONS
CUr.L CUE SOIT
LE RAT
¡L HERIRA
L'mtérét essentiel de l'ex
périence Venus - 7, la sonde
automatique soviétique, ian-
cée le 17 Aout dernier, et qui
a atte nt Venus mardi, est
de savoir jusqu’á quelle dls-
tance du sol de la planéte
la sonde arrivera a trans -
mettre des informations á la
terre. Si elle arrival! a y fai
tp jusqu’utt contact méme a-
vec la surface de Venus. )c
succé.s dc i'A.stronauLlquf
rus.se serait considerable,
car alors, potir la pn-miérc
fois, les savants pourralent
connaitre la température et
la pression qu' régnent au
ras du sol vénusien.
Les Lrois sondes venuslen
nes précédentes, Venus - 4
lancee le 12 Juin 1967, et Ve
nus - 5 et 6 lancées respect!
vement les 5 et 10 Janvier
1969, avaient toutes les trois
Interrompu leurs émissions a
quelques 17 kllométres du
sol de la planéte. Cette In
terruption avalt été provo -
quée par la m se hors d’Etat
des appareils de bord, littéra
lement écrasés et brulés par
les hautes pressions et les
temperatures eonsidérables
régnant á cette altitude, é-
valuées alors a 27 atmosphé
res (soit 27 fois la pression
régnant au niveau de la mer
sur la terre) et a 320 degrés
'â– entigrades...
Par extrapopula lion de
ces mesures, et étant donné
que les deux derniéres son -
des, pouvaient se trouver Tu
ne au dessus d’une montagne
'*>1 t’autre au dessus dâ€unc
plaÃnc, Ies spéclalistes sov é
tiques ont concia qu’á la sur
tace de Venus, la pression
pourrait atteindre entre 60
et, 140 atmosphéres et la tem
pérature entre 400 et 530 de
grés centigrades...
Dans l'enfer vénusien, la
Capsule munié des instru -
ments de mesures qui s’est
détachée du reste de la sta¬
tion Venus-7, a subÃ, au fur
et á mesure de sa descente
.des .contralntes thermiques
et mécanlques de plus en
plus élevées. Les Soviétlques
ont-ils xéussl cette fois á ré
.â– .aliser une Capsule pouvant
résister a ces contralntes et
continuer á transmettre les
informations 7. C’est lá tou-
te la question. Le communi¬
qué de TAgence Tass á ce su
jet n’est pas trés explicite.
II ind que que lorsque la Cap
sule aprés Ãreinage aérody -
namique dans l’atmosphére
venuslenne a attelnt la vi -
tesse de 900 km 4 l’heure, les
.parachutes se sont ouverts,
les antennes se sont.déplo -
yées et la transmission des
Informations a commencé.
Un pqlnt important,: cette
transmission, a duré 35 minu
valt 'attelnt la (Jurée de 53
m ñutes. Est-ce á dire que
les émissions ont cessé plus
tót, c’est-á-dire á une attitu
de supérieure aux 17 kilomé
tres fatidiques ?. Ce n'est
pas sur, car il est possible
que la sonde ait commencé a
émettre á partir d’une altitu
de plus basse que celles qui
avaient été choiátes pour
Venus 5 ct 6 et qul avaient
i JtiiÃfUÃ!5áj5ÃutÃtn5S5ÃIÃb!KÃu5á¡ÃÃiiÃ5qiÃÃ*'¡Ã***H**aa*^**ic,aiJui<14iiÃuriuÃ^^¡ÃáiS4(^.
Actualités Internationales
MESURES DE SECUHITE
EN ESPAGNE
été respectivement tic 36 et
38 km.
Ces precisions sont essen-
tiolic.s pour juger de la réus
site de Texpérience Venus 7
Etant'données les conditions
extrémement défavorables
dans Ip.squelles se prodult la
penetration dans Tatmospbé
re de Venus, il faudra sans
doute attendre un certa »
temps avant que les spécia-
listes soviétlques ne puissent
Urer des conclusions des don
nées reques.
MADRID (AFP l
Des mesáres cÃo sécurité
ont été prises par l'armée
dans les Centres névralgi -
ques du systéme de téléco -
munlcations espagnol pour
tpLOBAEXPORTu
DISTRIBOTRICE i
éviter les actes de sabotage,
apprend-un mardi de sour -
ces dignes de fu . Ses mesu¬
res tnuchent également les
centrales électriques, les ba
rages et nutres points straté
giques.
Les chefs mÃlitaires ont
conféré lundi sur la nature
des mesures á prendre avec
les principaux dirigeamts de
la compagnie du téléphone,
au siége du haut Etat Ma -
jor á Madrid. S Ton salt
qu'ils unt éturilé ensemble
les plans de protection de tous
les points important^ du ré-
seau national de Télécommu
nications, on ignore cepen-
dant les détails concrete des
décislons oui ont été pr'ses.
Le dernier attentat ,con -
tre le systéme de communi¬
cations en Eapagne remon¬
te 41963, deux anarchistes a
vaient lancé .une puissante
bombe au siége de la campa
gnle du Téléphone, Avenue
de José Antonio, en plein
centre de Madrid. Lyxo’cston
avait fftit de nombreu-
ses victimes et les deux au¬
teurs de lÃattentat condam-
nés á mort par un Conaell
de guerre, avaient été exécu
tés peu aprés.
Le Gouvemement. Fédé -
ral.....allemand , une initiative
de Berlin-Est en ce qui con- ,
cerne la poursuite du dialo¬
gue inter-allemand. Le -Por¬
te-Parole .adjo nt, M. Ruedl-
ger Von Wechmar, a préci-
sé anardi qu’on s’attend 4
Bonn que les deux Sécrétai
res d’Etat M. Egon BahiM-RF
A) et Michael Kohl MBDA)
se rencontreront eneore une
fois avant ÃÃoel, mató lünitia
tive du rendez-vous doit é-
tre prise par Berlin-Est.
M. Von Wechmar a insis-
té sur le double aspect des
négoc,ations qui pourront a
voir lieu entre les deux alle-
magne sur la question des
transports.
L’an dernier déjá Bonn a-
vait proposé un accord gé-
néral dans ce domaine. Les
communications eptre la R.
F.A. et Berlin-Ouest 4 tra -
vers la R.D.A. dolvent égale
ment faire l’objet .d’un ar -
rangement. Ce dern’er tdoit
s’intégrer dans Taccord-ca -
dre 4 conclure á cqt égard
entre les quatre puissances
(URSS, Etats-Unis, .'France
et Grande-Bretagne-) .-.qui as
sumen t les responsabilités
dans l’ancienne capitale al-
â– lemande.
Conlocmément aux déolara
tions:faites par le Secrétaire
au- Département dlEtat, M.
W üllam: .Rogers, 4 la réunion
du .Consell AUantique le 3 dé
cembre, 4 Bruxelles, J’ar
rangement supplémentaire
entre.- les deux Etats alle-
mands-.dolt devenir partie ln
tégrante de Taccord cadre
des.,quatre.
Le porte parole « estimé
que ,1’UBSS étalt . di^posée 4
assume! ses >. ¿resptmÃaWitée
( nuiBoueUe. avait aocepté: de
^ négocier sw ce xujet Ass&les
3 alliés occidental!*.
MHRCREDI16 DBOBMBRE 19 70 J
«U KQVmUHBlK “T
FXGffi S
Uj>wy
SI vous avez mal á la Gorge
SI vous sentez venir le Rhume,
SI vous toussez, ,â–
Preñez
ri> r
Void un beau Cadeau de Noel
Parker 51 Pen
Une des plus belles
choses dans la vie
Scientifiquemmt sculptée
Une plume quon eet tier de posseder
La Prévision des Séismes:
Situation eft Perspectives
Selon toute vraisemblance,
les savants seront sous peu
en mesure de prédire les
tremblements de terre et mé
me de prévenir les séismes
en actlvité.
La prévision et la preven¬
tion des séismes ont des con
séquences d’lmportance vita
le. Alors que 1969 n’á été
marquée que par quelques
tremblements de terre ma -
jeurs dans des réglons peu -
plées, les secousses telluri
ques enregistrées au cours
des premiers six mois de cet
te aimée ont, á elles seules,
provoqué la mort de 165 per
sonnes dans les Etats sul -
vants : Iran, Ethiopie, Alba-
nle, Maroc, Portugal, Répu-
bllque arabe unie, Turquie
et Hes Célébres.
Faisant le bilan des pro-
grés accomplis, au cours des
années soleante, ear des sa
vants américains, japonais
et soviétiques, des experts a-
méricains prédlsent — dans
un récent numéro de la re -
vue «Science» — l’établisse-
ment, d’ici 1970, d’up systé-
me mondial d’alerte aux seis
mes.
«A «otre a vis», déclarent-
ils, «11 sera possible sous peu
de se livrer á des prévisions
á long terme (de l ordre d’un
an) concernant les emplace¬
ments généraux et la force
approximative des tremble¬
ments de terre.»
D’ici 1980, selon eux, «il
semble raisonnable d’espé -
rer que nous serons en mesu
re d’établir des prévisions á
court terme dans ce domai-
ne (valable pour plusieurs
heures ou plusieurs jours).
Les auteurs de cet art’cle
sont MM. L. Pakiser, J. P. Ea
ton, J. H. Healey et C. B. Ra
leigh, du Centre national d’é
tudes géologiques pour la re
cherche sismique, situé á
Menlo Park, en Californie.
Cet optimisme représente
un changement significatif
dans 1’attitude adopté par
les savants á cet égard. Au
début des années so.xante
en eflet, la majorité des géo
physiciens déclaraient que la
prévision des tremblements
de terre constituait un su -
jet de recherche utiie, mais
peu d’entre eux étaient opti
mistes quant aux résultáts
d’une telle entreprise.
Aujourd'hui, les 'savants
ne lim.tent plus leurs recher
ches & la prévention des se¬
cousses telluriques. Les qua-
ire chercheurs préeipités dé
clarent en effet :
«La découverte selon la -
quelle l’injection de liquides
résiduaires dans un puits
creusé & méme le roc (dans
une région des Montagnes
rocheuses) prés de Denver
(Colorado) avait déclenché
une série de tremblements
de terre — et la preuve que
ceux-ci sont déclenchés par
le captage d’eau dans des ré
servo'rs formés par de
grands barrages et par de
puissantes explosions nuclé-
aires souterraines — laisse
entrevoir la possibilité d’at-
ténuer les risques de tremble
ments de terre grace á une
méthode consistant á rela-
cher l’énergie accumulé dans
les zones en activité».
La prévision sismique pro
met d’étre couronnée de sue
cés Cet optimisme est basé
sur les faits suiyants :
— Des études détaillées
sur les changements surve-
nus dans l’incllnaison et la
nature sismique et les fluc -
tuations affectant le champ
magnétique local dans des
zones prédisposées aux séis¬
mes, au Japón et en CallÃor
nie. Ces changements, qu’ils
soient pris 'séparément ou
en groupe, sont général': -
ment consisdérés comme des
précurseurs de séismes.
— Une nouvelle conception
scientifique de la terre dont
l’écorce se déplace et chan -
ge sous la pression constan¬
te de la chaleur souterrai -
SE TROUVE AU MAGASIN
Le Soleil
PROPRIETAIRE : GEORGES JAAR
ne, unq tqrre doqt le plateau
contlnjentai et les fo«qs océ-
antques sont en expansion,
une terre formée par de vas
tes plaques rigidea d’une é-
corce solide qui .plonge sous
les maig.es continentales
pour former les zqnes sismi
ques maeujeures du globe,
be.
— La mise au ppint de
nouveaux instruments, ou u
ne vaste patiopRe d’instru -
ments plus anc'lens, qui per
mettent d’enrqgistrer des
changements normalement
imperceptibles dans l’incli-
naison et la -nature du sol,
l’activité sismique anorma -
le alnsi que les changements
qui se produisent dans le
champ magnétique local, le
long des zones, daqgeureu -
ses.
UNE NOUVELLE CLEF
. Des spéeiaUstes de la re -
Cherche médicale de l’Uni -
versité Hanvard ont accom¬
pli réflemment un vérltable
exploit: lis ont isolé pour la
premiére .fqis, á partir d’une
bactérie, ununique gópe, cet
te unité chimique porteuse
de l’hérédité.
Le gene ne mesure que 1,4
micron de long, le micron é
tant égal á un millioniéme
de métre.
. Cette découverte permet -
ira peut-étre un jour de gué
rir certa’,rÃes maladies ou de
modifier les caractéristiques
héréditaires en injectant de
nouveaux génés dans l’orga
nlsme.
Scarlet’s Glamour
Hair Pomade
Pommadé Médiqlnaie ga-
rantissant la psusse et le
traitement des cheveüx en
fortlflant le cuir chevelu.
Formule A : recommandée
pour allonger et bonlfler
les cheveux narmaorx
Formule B : recommandée
pour le» cheveux seo» et cas
â– sants (chute des Cheveux)
: Formule E : recommandée
; pour les enfants, allonge et
bonlfle les cheveux.
Dépot Central, Phamacle
Céntrale, Boulevard Jean-
Jacques Dessallnes.
AGENT : DON MOHR GALES CORP.
C \OVVELLES Ü*: L ‘ÉTRAJV€KR ^
DECLARATION LAIRD
WASHINGTON (AFP)
Le Secrétaire á la Défense,
M. Melvin Laird, a réaffirmé
cafégoriquement mardi que
les Efat¿ UnÃs mainlien-
draient leur présence militai
re au Sud Vietnam jusqu’á
ce qu’on aboutisse á un régle
ment satisfaisant de la ques
lion des prisonniers de guer
re.
M. Laird, qui se prépare á
partir piochainement pour le
Sud Vietnam, a ajouté, au
cours d’une Conférence de
presse, que tant que les pri¬
sonniers n’auront pas été re
láchés, il ne pourra pas y a-
vo’.r de retrait total et com-
plet (des forces américaines)
du Sud Vietnam. La fagon d'y
parvenlr consiste á négqcier.
Le Chef du Pentagone a
précisé qu’il partirá le 5 Jan
vier pour Paris oü il doit ren
contrei l’Ambassadeur David
Bruce, qui dirige la déléga-
tion amér'caine á la confé-
BR00KLAX
Remerciements
Vivement touehés par les
condoiéances et les témoi-
gnages de sympathie, qui
leur ont été expnmés a l oe
casion de la' mort de leur re
grettée móre, grand-mere,
amére - grand’mére, tante,
\grand-tante, amére gran rì
tante et couslne :
¡S^' MEÃloNran^1EvaDSt.
Louis, piusement décetiee le
23 -Novembre dernier,
ses enfants: M. Eugéne Du-
may Mellon et Minie née Dor
cély, M. Hermann Dumay
Mellon et Mme nee Limou¬
sin, M. Etienne Dumay Mel
, Ion et Mme née Raymond
M. Praxitéle Dumay Mel¬
lon ÃUs et Mme nee Sélde, £V
Mme Ermita Pierre-Pierre, E(
ses petits - enfants et arrié
res-petlts-enfants, M. le Dr
Gilbert Mellon et Mme née
Qauvin, Me. Roger Mellon
et enfants, Mme Gertha Mel
Ion et enfants, Mme. Antonio
Mellon, Mme née Jacob et g
enfants, Mme Giséle Mel¬
lon, . M. Isnard Mehon et
Mme née Day, Mile Eddie §|
Mellon, M. Léonce Méhu et
Mme née Andrée Mellon, Me £
Wesner Nérette et Mme née
Lolseau,
les families Mellon, St Louis,
Jeanty, Blain, Vieux, Geor-
ges, Pierre-Pierre, Plerre-
Noel, Dorcély, Limousin, si
Day, Méhu, Jacob, Lolseau,
ainsl que tous les autres pa
rents et alliés, affectés par
cette perte, remercient pro-
fondément S.E, le Président
a Vie \de la RépubUque, l’Ho
norable Dr. Francois Duva-
lier, Mme la Présldente Mme
Simone Ovide Duvaller, la
Famille PréBldentielle, les
membres du Cabinet Minis-*
térlel, la Direction et le Per
- sonnel de. ~ 1’Administration
Portualre, 1© Dépar temen t ,1
des Affaires Sociales, les Fa j
mllles Henry Slclajt, Luc ¡
Blain, Fritz Guéiy, Lan- ,
drln, Fouad A. MOurra, la
Direction et le persopnel de
la BNRH, les nombreux a-
mls de Port-au-Prince, de
Pétton-Vllle, de dlfférentes
’ villes de la RépubUque, des
Btats - Unû d’Amérique et
d’autres pays étrangers, qui
les ont asslstés en cette W»
te clrconstance et leur re
nouveUent l’assurance de
leur vive gratitude.
Port-au-Prince, le
14 Décembre 1070,
vous remet d’a.plomb
DU som AU LENDEMAIN
Pas éionnant que Brooklax soil le
laxaúf préféré de tome U famillc
il a un goüt délicieuX de chocolat 1
Et, unc petite pastille dc Brooklax,
prise le soir, suffit á vous soulager
^lc jdus süremcnt possible..
Mcncz-vous des imitations et cxigez
lc nom “Brooklax" sur la boiie
mcialliiuic rnugc.
rence de l’HOtel Majestic, et
son adioiut M. Philip Habib.
De de la Capilale frangaise,
le Secpétaife á la Défense ga
gngra la Thailande et le Sud
Vietnam oú 11 conÃérera avec
le Commandant-en-Chef a-
méricain, le Général Creigh¬
ton Abrams, sur les prochai-
nes reductions des effectifs a
mér'cain sau Sud du 17éme
paralele.
M. Laird accorde d’autre
part son appui á la proposi¬
tion récente du Sénateur Ro
bert Griffin, Républicain du
Michigan, de Libération uni-
latérale de quelque 1.500 pri¬
sonniers de guerre nord viet
namiens aux mains du Gou-
vernement Sud - Vietnamien
afin d’lnclter Hanoi á libérer
les américalns qu’il détient.
Cette suggestion, a dit M.
Laird, a des mérites conside¬
rables. Je_ feral tout ce que
je peux póur l’appuyer.
méricains au Sud du 17éma
paralléle
de vietnam'sation fonctiormé
ra bien sans que les Etats-U-
nis lalssent d’importants con
tingents de troupes au Viet¬
nam.
L’mÃiltration se revele d’ail
leurs inférieure au táux de
l’an decider. Davantage de
nord-vietnamiens se confinent
au Cambodgeiét au Laos. Les
Etats Unis, pour leur part,
sont véritablement en train
de procéder á la désescalade
de la guerre et le nombre des
raids aériens a méricains a
été réduit cette annéc par
rapport á 1969. —
WMn
LE PLUS CHIC
HOMMES.
el
1377, Ruelle Carlstroem, Port-an-Prince, Haiti.
VA
M. Melvin Laird a ensuite
indiqué que le programme de
retrait progressif des troupes
américaines au Vietnam é-
tait largement respecté. En
effet, a-t-il precisé, ce pro¬
gramme prévoyait que, aprés
la cinquiéme phase de ce re-
irait, il ne resterait plus que
334.000 soldats américains au
Vietnam á la fin de l’année
1970. Or, a-t-il ajouté, nous
y sommes déjá parvenus. De
plus, 50.000 hommes seront
rapatriés avant le 1er Mai
1971. x"
Le Secrétaire á/la Défense
a également Indiqué qu'U é-
tait possible que | ce nombre
de 50.000 hommes' soit aug¬
menté.
En conclusion,» M. Laird a
évoqué l’opération héliportée
du mois dernier sür le camp
de prisonniers américains de
Soh-Tay, prés de Hanoi, opé-
ration dont U a, de nouveau,
revendiqué l’entlére responsa
bllité. Le Secrétaire á la défen
se a précisé á ce sujet qu’il a-
vait discu té de l’opération au
mois de Mai dernier avec la
CIA (Agence Céntrale de ren
seignements), discussions qui
s’étaierit poursuivies jusqu’au
joilr de l’opération.
Cette derniére précision
contredit done les propos te-
nus par le Chef de la CIA, M.
Richard Helms, 'et confirme
ceux du Sénateur William
Fullbright, Président ,de la
Comm ssion Sénatoriale des
Affaires Etrangéres.
Le camp de prisonniers a-
mérlcains de Son Tay avait
été évácué par.Ies troupes
nord - vietnamiennes trois se
maines avant l’opération du
mois dernier.
L«s Papfums Goya
Le soin. du corps est aussl
importantt que le régime,
Texercioe et le sommell. Quel
ques minutes par jour avec
MS -produits Aqua Manda de
Goya et la fameuse/Eau de Co
logue au. hpis, de cédre peu ^
vént vous alder A garder vo-
tre corps souple, saÃn et par-
fumé. ~
PAOS 6
LE NQUVELLISTB v
MERCRRDI16 DECEMBRE 19 70
**• ** t'« 4“
»M
RABAIS SKNSATIONNELS
Mesdameset Mesdemoiselles: Aiijourd’hui et jusqu’á la fin
de l’Année - PRIX EXCEPTIONNELLEMENT BAS
Changement
a auresse
foyer des Arts Flasti-
ques mlqrme :
Aprés la brillante partici¬
pation üu Foyer des Arts
mastiques au Festival de
Sonto-iJomlngo, le Foyer des
Arts Piastiques est retourné
¡l son locar propre k la Cité
de i'Exposition aprés le Gym
nasium de .Port-au-Prince.
Les Cours de Pemtures et
de JJessm enseignés par mal
tre Kerié Exumé et Louver -
ture Poisson pour assurer
la pérennité de l’Institu-
tion se font toujours á la
Rué des Miracles á cóté du
Bureau d’Assurance des Vé
lucuies les Vendredi et .Sa-
medi de 3 heures á 5 heures
p.m.
Au Foyer des Arts Plasti-
ques on peut acheter les ta
bleaux á un meilleur prlx
que partout atlieurs parce
que c’est la maison des Ar¬
tistes. j
Void des Peintres du F.D.
A.P. appréclés par le monde-
entier :
Marie Denise Day — Mil-
thiade Desrosler — Jean Des
ravines — Joseph Raynald
Exumé — Wilson Jolicoeur —
Joseph D. Raymond — Jo¬
seph Jacob — Ferdinand Mo
Un — Jacques St. Hubert —
Camille St. Aude — Jean Du
randisse — Willy Charles —
Lavancy Exumé — J. Oli¬
vier — Roland Bigaud —
Mme Edouard Janvier —
Jacques Gabriel — Daniel
Lafontant — Louvertv.re Pols
son — Maurice Jn. Baptis¬
te — Antonio Salem — Dleu
donné Cédot — Spencer Des
pas — Denis Vergm ,,— Jean
Remponeau — André Bou-
card --- Denis Emile — Max
Pinchina,t — Paul Beau -
voir — William Décilien —
E. Falaise — Jn. Claude
Jouissaint — Mijie Glga A-
zael — James Boulos — Lio
ne. EdouaFd — Jacques Vin¬
cent — Castera Bazile —
Henry Dubreuil — Ansy Dé
rose — René Exumé — Gé¬
rard Georges — Emmanuel
Jolicoeur — Kechner Jo -
seph — Léon Lapierre —
Christiane Mathurin — Gé¬
rard Séjour — Planes Joa-
chin — Marie Marthe Ci-
prien — Elzire Malbran -
che — Phoenix St. Hilaire —
Emile Lespinasse — Luisl-
mond Mérélus — Roland Jan
vier — Denis Villard — Emi
ie Lafontant — Erick Gi-
rault — Joseph Maurice —
Roland Dorcély — Charles
Ob as — Luckner Lazarre —
Enguérand Gourgue — Ber
nard Chenet — Luden Pri¬
ce Néhémi Jean — André
Pascal — Luckner Mira -
beau — Dieudonné Wanez —
Fauberl Smit — Adeline Ra
cine - Luden Jn. Claude —
H. St. Hubert — Fritz Jo-
seph.‘
Messe de Requiem
La famille ’ Bruny fait chan
ter, á la Chapelle du Petit
-■Sémlnaire Collége St. Mar
tial le vendredi 18 Décem-
bre courant k 6 hr.es a.m.
une messe de requiem pour
le repos de l’áme du regret-
té défunt.
Me Rodrigue BRUNT
et
des autres parents défunts
Ce présent avis tlent lieu
d’invitation aux parents et
amis
Port-au-Prince, le 14
Décembre 1970.
TENNIS : NANCY RICHEY
EST DEVENUE MME
GUNTER
SAN ANGELO, Texas- (AFP)
Nancy Richez classée ]oueu
se américalne numéro un,
s’est mariée lundt k San An¬
gelo (Texas). Elle a épousé
M. Kevneth Gunter, Prési-
dent d'une chainc de télévi-
sion Texane.
LES SPORTS
(suite)
tend done beauaoup du ren-
ucuiem ae Jn-jbsepn et ae
rumiase pour remorcer ie
poienuei onensii ae requi-
pu nauonaie.
ñus amuius centraux n'ont
pas encore acquis tous les
auionninsiiie.s Ãiucessiures ei
'mssy un piusieurs occasions
a uu arreter ie juu pour uu.»
consignes, notanmienc en cu
qux concerne ie placement
par rapport aux avaius-cen
tre auverses et aussi en ce
qui a trait k la reiance au
jeu.
En definitive, sur la vue
de ce man-match test 11 pa
rait que ia selection auopie
rau mi 4-3-3 assez eiasuque
avec voroe, Bayonne et uuy
Frangois (amer gauene U'es
repne; aans lenure-jeu. ün
suite, Roger St. Vn, ismma-
nuei oanua et Leinz Duniui
gue a la pomte ae lat-ta-
que. 1
ioutefois, la tactique déÃi
nitive ne sera etaDne que
aans tes prenners jours üc
Janvier, lorsque i entrai-
neur tédérai revienara du
voyage qun entreprendra a
la nn du mois a ia Jamai-
que pour «espionner» lequi-
pe auemanae. Les «Kiciters
OÃfenbacn» devront, en eÃ-
fet, anronter les jamaicams
aux environs du 28 Decem-
bre. Tassy ira done éturner
sur piace le jeu des alle-
mands en vue de preparer
la selection nationale en con
séquence.
Pour ie moment, les (Ki¬
ckers Offenbach» poursui-
vent leur campagne victo-
rieuse en Aliemagne. La se
mame derniére, iis ont litté
raiement puivérisé le Colo¬
gne F.C. par 4-1. * Cologne,
on se rappelle, est le Club
des internationaux Overath,
Loehr, Vogts. II est done
fort probable qu’Offenbach
conserve, son moral tout feu
tout flamme did au 6 Jan¬
vier, date de sa lére confron
tation avec le onze national.
N.B. — Les entrainements
de la pré-sélection nationa¬
le se poursuivent au ryth-
me de 2 par jour. Matin : pré
paration physique. Soir : en
trainement tactique. Tout
est amsi mis en oeuvre pour
que nos hommes soient bien
gonflés et ne souffrent pas
beaucoup de la supériorité
physique des allemands.
Morà de Canrobert
bcuue
Pax vnia annc.uce ie décés
survenu le 14 aé-embre en
sa resiüence a ia Hasco de
M. CanroDert Deniie isn ceote
pembie circonst? nce Fax Vil
la et Le Nouvelúsie presen^
tem leurs sincére.» i onaoié-
ances 9. ses enlirts’ M. Ra
oul Deliile et Ãamilie, M.
Joachim C. DeliLe son épou
se et Ãamilie, Mme Alired Lé
anche née Anüiúe C Dehlle
et son époux, Mme (J^stel
Miliord née Frfida C.Delllle
et son époux, M. et Mme
Klébert Pnilippe et Ãamilie,
Mme Mauri:e Volcv r.ee Mar
Kueriie C. Delille son époux
ei Ãamilie, ^ ses fiéres et
sceurs Me Maurice Delllle
et Ãamilie, Mme Dieudonné
W. Toussalnt née Lisbonne
Delille et famille Mme Pau
léus Toussainl née MarÃa De
liile et lamilla, aux Ãréres
Olpheilos. et aux soeurs
Ruth, aux families Delille, Lé
andre, Milfort, Philippe, Vol
cy, Toussalnt, et k tous les
autres parents e alliés éprou
vés par ce deuii. Les funé-
railles de M. Canrobert De¬
lille seroni chantées le jeudl
17 décembre k 4 heures de V
aprés-midi en l’Eg’lse St
Paul .
Le convoi parara de Pax
Villa, Champ de Mars, oú la
dépouille mortei'/5. sera ex -
posée dés 2 heures
INSTANTANES
(SUITE)
cal renlic cÃe JNew York lner
mu un. u viüÃh ay cunauue
¿un iiità Liuy. L/tÃiUi-ei-ü eoL le
eeimutuic xiuciuie . iu jtuiipe
lora u uu ueeiueni ae XUutuey
eieiiie.. jnuuü luiiiiujjiá yuur
uuy ouppuce at¿ vueux ae m
piut* ¿ueiioun.
X X X X
Hu?r malm, u¿i arrive a la
Ca^JALU-JO IVlUllOUJUi. AilUiliClCJ
1/1 Hult.,i«.U. ouil üUjOUt pul LILI
Hulls ocia UU 4,UiLi¿.e jUuis. n
i auiujjuiu, iViuiioAuui i_»i uuju. i
ZU lili aLC LU.1111 pul' lv±a.UaUi‘J
iviuiiu mi ÃjuiciiÃ-u üugaL, sa
liuu, sun Ueau-ius hcolic üu-
gUL, UL SUS pULiLS-CmaliLS.
lsuiu, tgaitinuiiL amvus au
pays iiiei niauii iviunsieur ro
uuiiCtL uiugaii, riuiesscui' ue
gcugiapiue u un u,uuuge ae
inuw luis., eL su luuuue Dull
lia. iis sejuurneiunt cmq
jours un Hum. ns sunt aes-
ueuuus ii i Rutel Piaza.
X X X X
Madame jeaiinettc Wen-
ter, employee ue ia Transua-
rmoeuii a JNew Xurk, est re-
purue puur les muÃs unÃs
mer matin. Son sejuur ae
cmq jours en Haiti a été un
enenantument. Madame Wen
ter, qui atarme avoir eté con
quise par nos sites et la gen-
tinesse des Haitiens, se pro¬
pose üe retourner au pays á
urei aélai.
X X X X
Lundi -soir, est rentré au
pays le Dr Roger Latontant,
Consul Générai d Haità á Mon
tréal.
Monsieur Jack Beaudoin,
arrive luà aussi lundi soir, est
Attache commercial prés des
Ambassaaes de France á la
jumaique et en Haiti. H pas
sera quaire jours ici.
xxxx
I-Iiur matin, est rentrée de
Gainte - Croix Madame Odet
te Wiener. Elle a voyagé avec
son umie Marie - Iiose Deslo
ges, lióteliére comme elle.
Nous souhaitons un agréable
séjour á Madame Wiener et a
Madame Desloges.
Est également rentré de
¿ainte - Croix Monsieur Gé-
raid Dorsalnville. Son séjour
ici sera des plus breÃs.
A l’aéroport, hier matin,
Monsieur Marcel Mayard a
accueilli sa femme et sa filie
Marie - Marcelle. Elies sont
rentrées de New, York ou elles
résident Marie - Marcelle une
grande et j<'lie jov.iip filie, é-
tudie le -nursery,.
Bienvenue á Monsieur Raul
Delgado, á sa femme née
Franqoise Turnier, et á leur
fils Raul jr. lis sortt rentrés
de New York hier matin..
X 1C X TÃ
C’est á 1'Hotel Oloffson
qu’est descendue la danseuse
américalne Rose Van Kirk.
Elle est arrjvée ici hier ma¬
tin, et sc propose de passer
trois semalnes en Haiti. Ro¬
se, qul en est k son deuxié-
me voyage en Haiti, a dansé
dans le temps avec Lavinia
Williams. Maintenaht, 11 n’y
a que le flamenco qui l’inté-
resse
xxxx
Monsieur Edmond J. Lautu
re est rentré de New Yoix
hier matin. II vient d’y pas¬
ser cinq ans. , â–
Karine Bonnard, rentrée
elle aussi hier matin, n’y a
passé que cinq jours.
Messe de Prise
de Deuii
Madame Démosthénes P.
Calixte, les autres parents
et alliés font chanter une
Messe de Requiem pour le
repos de J’áme du Colonel
Démosthénes P. Calixte le
jeudi 17 Décembre & 7h 15
du matin en 1’Eglise du Sa
cré-Coeur de Turgeau.
Cet avis ti’ent lieu d’invi¬
tation.
TAIPEH (AFP.), —
L’arrestatlon pour esplon-
nage au profit de la Ghine
Populalre de M. Li Ching
Sun, Directeur adjoint de la
Radio Broadcasting Corpo
ration of China, â– (BCC) a
été annoncée mercredi dé
source offÃciélle formpsane.
Un membre du Cabinet ' a
en effet reconnu que M. Li
avait été arrété U y a envi¬
ron un mols pour activités
subversives et espionnage.
M. Li a d’ailleurs recon¬
nu devaht les services se¬
crets de sécurité de Formó¬
se qu’ll était depuis une
vingtalne d’années l’un des
principaux agents (de la Chi
ne, de Pekin dans l’Xle, a
ajouté le membre du Cabi¬
net. Ce dernier a précisé que
l’espion était depuis long-
temps surveillé par les auto-
rités iormosanes qui l’accu-
sent en outre d’avolr procu¬
ré un permis d’entrée á For¬
móse & Un agent communls-
te de Hong-Kong qul a dé-
já été condamné pour es¬
pionnage.
A la gamlson de Formo-
Remercieitienis
Mme Vve. Frangols Geor¬
ges et ses enfants remercient
iré sincérement La Secrétal
rerie d’Etat des Finances et
des Affaires Economiques, le
Département des Travaux Pu
blicp. Transports et Commu
nications, l’Assoclation des
Ingémeurs et Architectes
Haitiens, les Drs. Manes
Liautaud, Anthony Lévéque
et Gérard Pierre, la Direc -
tion et le Personnel au Ser
vice National d Eiadicatlon
de la Malaria, la Direc -
tion et le Personnel de la
Belle Créole, les parents et
les amis tant de la capitale
de la province que de l’é -
tranger qui leu: ont donné
des marques de sympathie á
l’occasion de la mort de leur
regretté époux et pére.
FRANCOIS GEORGES, décé
dé le mardl 1er décembre 19
70 et les prlént de croire á
leur profonde gratitude.
Port-au-Prince, le 16 Décem
bre 1970
FIN DE L’ETAT
D’URGENCE
EN GRANDE BRETAGNE
LONDRES (AFP). —
Le Gouvernement Britan
ñique a décidé aujourd’hui
de- mettre fin á l’état d’ur-
génce proclamé samedi der
nier en raison de la gréve
du Zéle des électriciens, a
annoncé aux communes le
leader de la Chambre, M.
William WhÃtelaw.
Les employes de l’Electri-
cité BiritannÃque ayant re-
noncé Lundi dernier á leur
gréve, aucune coupure de
courant n'a été enregisÃrée
depuis.
Les seules mesures que le
.Gouvernement avait nrises
consistaierit á interdlre les
enseignes lumlneuses et l’é
clairage des vitrines de ma¬
C JVOtrVELLES M L’ÉTRAJVCER )
se, oú M. Li est interrogé
avant son procés qul pour-
rait se dérouler á huis clos.
on se refuse k donner des dé
tails sur feette affaire pour
ne pas compróme ttre la sui
te de l’enquéte et une éven-
tuelle arrestation d’autres
agents communlstes.
M.' Ll, 52 ans, est une des
personnalltés de la Presse
Populalre et influente. A-
vant de devenir 'Directeur
adjoint de la BCC, il a été
rédacteur en Chef de Cen¬
tral Daily News, Organe of-
ficiel. A l’époque de son ar¬
restation, il était égale¬
ment president du Conseil
d’Administration du Ta Hua,
Quotldien du soir, et l’un
des Directeurs ue l’Agence
de Presse officielle.
Depuis un mois, des ru-
meurs circulaient á Taipeh
sur la mystérieuse dispari-
tion de M. Li et de piusieurs
autres journalistes. Certains
avangaient méme que deux
Son arrestation et son exe¬
cution n’avaient jamals été
annoncées par la Presse de
Formóse.
De source proche du com-
mandement de la garnison
oü est incarcéré M.. Li, on
déclare que ce demler pos-
sédalt une carte de membne
du Parti Communiste de¬
puis 1946.
Un grand Mariage
Samedi dernier, á 5 H. 30
P.M., a regu la bénédlctlon
nuptiale, le sympathique
couple formé par Müe Maud
Compás, filie du Directeur
de la Banque Commerciale
d’Haiti et de Mme Lamarti
niére J. Compae avec M.
Frantz Bellevue, fils du Dr.
et de Mme Vanés Bellevue.
Les hetireux conjoints fu-
rent conduits á l’autel par
Mme Lamartiniére J. Com¬
pás et le Dr. Vanés Belle-
de ces journalistes s’étaient vue. Les jeunes Daniel Dau
donné la mort pour éviter phin et Danielle Klllick por
de subir des interrogatoires. taient l’anneau nuptial.
Les journaux avalent toute-
fois gardé un mutisme to¬
tal sur ‘l’affaire.
De source intormée, on dé
clare á Taipeh que le Direc
teur adjoint de la Radio a
été arrété le 16 Novembre á
peu prés deux ans aprés l'e-
xécution secréte de sa lem-
me, accusée d’avoir été un a-
gent communiste. Celle-ci,
connue sous le nom de Mile
Tsui Si a o PÃng, était une scé
narlste populaire et direc¬
teur dramatique á la BCC
gasins dans tout le pays.
¡gooopwpooooppoaooppooooooooBwnociuuoQPg
ENLEVEMENTS
NOUVEAUX RAPTS EN
PREPARATION, ANNONCE
UNE REVUE BRESILIENNE
RIO DE JANEIRO (AFP)
Le Commando de défense
interne du Gouvernement
brésilien a recueilll á la fin
de la semaine derniére des é-
léments indiquant que les ter
roristes envisagealent d’enle-
ver 2 autres Ambassadeurs
dans les prochains jours, an-
nonce mercredi la revue á
grand tirage «Manchette»
Selon «Manchette», des re-
commandations trés strictes
ont éte tnvoyées aux princi¬
paux membres du corps Diplo
maüque, leur demandant de
prendre des mesures de pro¬
tection particuliéres pendant
les procliaines semalnes : an
nuler au dernier moment u-
ne participation a des récep-
tions ou diners, éviter les pÃa
ges ou les déplacements pen¬
dant les week-end, limiter
les cocktails de fin d’année,
etc...
A la suite de ces recomman
dations un Ambassadeur se
déplacerait désormals avec
un appareil radio émettanl
un signa! permettant de le lo
callser
oooeooM
Samedi 19 Décembre 1970
au
Rond Point Night-Club
Les Mariachis de Jalisco
et les SHLEU SHLEU
Vous réserveront une soirée du
tonnerre
Faites vos reservations
1 L’Ecole de Commerce Julien CRAAN
Avenue Chrlstophe et Rué 6
Inaugure á la Rentrée de Janvier les Cours sulvanis :
1) Sténographie Frangaise GREGG (Janvier - Aoúi).
) Comptabilité Américalne
«'ours'intenslf'(Janvier - Beptembre).
Cours semi-Intensif (lére Année : Janvier • Juillet^
2éme Année : Aoiit - Décembre ou Oct. 71-Fév 72).
3) Dactylographie Bilingüe (Cours de 3 - 6 - 10 mois).
4) IBM KEY-PUNCH (Cours á partir de 6 h 15 du matinL
RENSEIGNÉMeÑts ET INSCRIPTIONS tons les jours, satif le Sahiedf
et les Jours Fériés
Le cortége d’honneur était
constitué par une dizaine
de couples formés par Mlffes
Michaelle Compás, Moni¬
que Francoeur, Myriam
Louis-Jeune, Gabrielle Dau
phln, Florence Staco, Jane
Angus, Rachel Danache, Jes
sie Bellevue, Betsy Dana¬
che et Lola Cadet, MM. Pa¬
trick Adé, Jean-Marc Elie,
Adolph Désir, Paul Compás,
Jean - Bernard Chassagne,
«auorges Charles, Daniel E-
lie, Emile Milhim fils et
Raymond J. Lafontant fils.
Le Curé de la Paroisse du
Sacré-Coeur, le P. Laroche
officia et prononga une bel
le homélie.
A l’issue de la cérémonie
religieuse, les invités furent
accueillls dans les salons
de M. et Mme Lamartinié¬
re Compás, xa Rué 5.
Au champagne, le par-
rain, le Dr. Vanés Bellevue
grit la parole pour rappeler
l’amitié ébauchée depuis
les bancs de l’école entre
lui et Lamartiniére Com¬
pás, entre Mines Compás,
née Louis-Jeune et Belle¬
vue, née Blain et se réjouir
de voir une si vieille amitlé
se renforcer ainsi par des
liens de famille. II prodi-
gua ensuite de sages con-
sells aux conjoints qui trou
veront dans 1’exempCle d’en
tente, de concorde et d’union
donné par les deux families,
des bases solides et dura¬
bles pour établir leur foyer.
Les invités» flrent ensui¬
te honneur aux trois tables
garnies et au buffet géné-
reux.
«Le Nouvelliste» renouvelle
ses voeux de féllclté aux
nouveaux mariés M. et Mme
Frantz Bellevue et ses com
pliments aux families Belle
vue et Compás.
A la Cité Dumarsais
Estimé
Une belle Galerie d’Art
vient d’étre mstallée á l’Ave
nue Marie Jeanne & la Cité
Dumarsais Estimé. Elle se
trouve précisément cans un
des plus coquets locaux de
cette Cité presqu’en face de
la Chapelle dite du Vatican.
Les divers rayons sont d’au-
tant plus dignes d’attention
qu’ils sont pourvus de tá-
bleaux des meilleurs artistes
haitiens, de robes confection
nées avec goút, de sculptures
sur bois d’une rare originali-
té et de toute une gamme de
prodults admirablement et
artistiquement présentés.
L’inauguration de la Gale¬
rie «Ouanga Néguesse» a été
effectuée awec solennité.
Tqjjt en féllcitant le proprlé
taire notre sympathique con
frére et aml André Albert,
nous pfenons plalsir á former
nos voeux les meilleurs pour
le succéa de son Entreprise.
poqooooojanrimnnr<
La mort des genoux
(Suite)
guistes ont décidé d’appuyer
sans réserve l’interdiction du
Dr Jupier, et d’en fairé adop¬
ter certalnes dispositions en
HaitÃ. Cependant, devant la
vigoureuse désapprobation de
bon nombre de consomma-
teurs, nos potards se sont vus
dans l’obligation d’adoutir
ces mesures prohibitives.
C’est ainsi que ia minicilline
pourra encore étre librement
préparée et vendue. Toute-
fois, elle ne pourra étre utUi-
sée que pendant le jour. Tou
te personne surprise de nuit
á un mariage, á un bal, ou á
un simple cocktail, un flacón
de minicilline k la main, se¬
ra impitoyablement ridiculi-
Vous n’étes pas obligés de
lire les lignes qui vont suivre.
Je ne les ai écrites qu’k l’in-
tention de ces ramollis qui
n’ont rien compris k mon tex
te amphigourique. Il fait vrai
ment trop chaud en HaitÃ
pour que nos belles portent la
midi-jupe et la maxi-jupe.
La mini-jupe, c’est exacte-
ment ce qu’il faut pour les
tropiques. N’ai-je pas raison?
La controverse est ouverte,
Mesdames et Messieurs. Mais
de gráce, ne me réfutez pas
trop violemment. Votre dé-
voué Anatole est un homme
qui réve autre chose que
plaies et bosses.
Attention Attention
MARIACHI
LOS LLANOROS. DE JALIS¬
CO DE «PEPÉT JACO» de la
Radio et de la Télévislon
MEXICAINES, sont parmi
nous.
Ces artistes, intemationa-
lement connus, ont représen
té briilamment le MexiqUe
aux Festivals de CALI, Dtl
VENEZUELA, etc.
Partout iis ont soulevé l’en
thousiasme des amants de
«MARIACHI».
Arrivés k Osaka, Japón
pour deux mois, iis y ont é
té retenus Neuf mois
L’Hótel El Rancho proflte
du pasage en Haiti de ces mu
siciens de marque pour ou-
vrir grandiosement Ies fétes
de fin d’année et la Salson
Touristique 1970-1971.
Le Groupe offrira au cours
de la soirée du jeudi 17 Dé
cembre 1970 deux «Shows» i
noubliables. Entre les deux
spectacles Ton dansera au
rythme du Super Orchestre
BOSSA COMBO.
Dans une ambiance excep
tionnelle, prés de la piscine
reflétant le scintillement des
millions d’étolles du riel des
tropiques, vous viendrez par
ticiper a cette féte de l’art.
Vous danserez, vous ehante-
rez avec LOS LLANOROS DE
JALISCO.
• Venez en foule vivre des
heures dé fo»e gaie*é. Venez
assister a cet'e soirée unique
Réservez vos tables.
L’entrée est fixée k $ 4.00
Remerciements
Mme. Vve. Charité Jean,
les enfants de Charité Jean,
ses fréres et sceurs, ses ne-
veux et niéces, tous les pa
rents et alliés éprouvés par
ce deuii remercient Son Ex
cellence le Président á Vie de
la République, le Dr Fran-
gois Duvalier, son Représen
tant, le Préfet Emile Augus
te, le Député Ulrick Saint-
Louis, Mgr. Constant, Evé-
que des Gonaives, Le Nouvel
liste, le Révérend Pére Byas.
Curé de PÃlate, la Maison
Madsen, Dufnr , ’e Magistrat
Communal de Plalsance, M.
Bossuet Ducbelne. le Notaire
Ludovic Saint-Louis, M Car
méluce Frangols, les 'Offi-
ciers de la Fanfare milltal-
re des Gonaives, 'es dévoués
léglonnaires qui veú'érent 2
nuits la dépouille funébre du
défunt, les bonnes Soeurs,
enfin les nombreux amis de
partout qul leur témolgné-
rent leur sympathie k l’oc-
caslon du décés de leur re-
gretté Charité Jean, ancien
Député au Corps Législatif. '
lis les prient de trouver
ci l’expresslon de leur pro¬
fonde gratitude
Pilate, 15 décembre 1970
HOLOBA EXPORT
INDUSTRIES
DrSTRIBUTRICE
POUR HAITI
Aux Ondes Sonores
(Mme GEORGETTE DUPLESSY)
41 Rue Macajoux, (Rué du Perpétuel Secours)
et de la Fontaine Mme Colo)
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Tous genres : Classique,
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LE DISQUAIRE BIEN CONNU
DE LA RUE MACAJOUX
a)
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SILVANA : en vente a la maison
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AVIS
de la Tropigas
A cause de l’approche
des fétes de fin d’année,
nous demandons á nos
1 aimables clients de bien
vouloir placer dés main
tenant leurs comman-
des de gaz TROPIGAS.
Ainsi lis seront certains
d’étre servÃs k bref dé-
laL
K’attendez pas. Placez
votre commande aujour
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S-S A 6 Hres et 8 Hres 30
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MARIACHI
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Les tickets seront en vente dés Mardi matln 9 hres au<
à bureau du CAPITOL ? /
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